Pronom

demande si quelqu'un qui vit ainsi est un homme. Le pronom démonstratif “c'” renvoie aux détenus qui vivaient dans des conditions inhumaines, car ce pronom démonstratif les deshumanise, Primo Levi n'a pas utilisé la 3eme personne du singulier. “est” est le verbe être décliné à la 3 eme forme du singulier ; ce verbe est très important car l'auteur s'attardera longuement sur le sens d'exister, d'être quelquechose ou quelqu'un. “un homme” renvoie au pronom démonstratif, tout dans l'autobiographie tourne

L’utilisation de l’imparfait de valeur itérative vient renforcer l’idée de répétition et de lassitude : « on sortait, étaient chargés, il fallait… ». Emma est également seule, elle ne se mélange pas aux autres comme Flaubert le montre en utilisant les pronoms indéfinis « on » et « tout ». En effet, on peut être étonné de voir que les humains sont évoqués comme des objets : « tout rentrait chez soi. » Ils forment donc un bloc dont Emma ne fait pas partie. Un sentiment d’enfermement est également perceptible

sur la ponctuation (point et majuscule). Les classes de mots : - reconnaître les noms et les verbes et les distinguer des autres mots ; - distinguer le nom et l’article qui le précède ; identifier l’article ; - approche du pronom : savoir utiliser oralement les pronoms personnels sujets. Les genres et nombres : - repérer et justifier des marques du genre et du nombre : le s du pluriel des noms, le e du féminin de l’adjectif, les terminaisons -nt des verbes du 1er groupe au présent de l’indicatif

parvient toujours à s'en sortir. MS Prop. Princ. Prop. Sub. B – Les propositions subordonnées Il existe deux types de propositions subordonnées. 1 – Les propositions subordonnées relatives. = C'est une proposition subordonnée introduite par un pronom relatif. Elles précisent un nom. 2 – Les propositions subordonnées conjonctives. = C'est une proposition subordonnée introduite par une conjonction de coordination. Il en existe deux sortes. a. Les propositions subordonnées conjonctives complétives

il pose l’idée d’une nécessité en droit de l’égalité. (Et ce malgré l’inégalité de fait dans la réalité.) 3-Dans le 1er paragraphe, le pronom « on » désigne la généralité des philosophes, penseurs qui cherchent à analyser l’organisation sociale. Dans le 2ème paragraphe, Rousseau affirme sa position personnelle en utilisant « je ». Dans le 3ème paragraphe, le pronom « ils » désigne les adversaires de Rousseau. Ainsi, la thèse adverse est l’impossibilité de l’égalité qui n’est qu’une illusion. Leur

simple, action soudaine qui ne dure pas dans le temps -imparfait, réflexion négative qui dure dans le temps -comparaison négative ("le monde...comme...") -"boue"= salissant -progression pied -> cou -"un" indéfini, général ; "le" défini -"y" (pronom adverbial) remplace "le monde" -"(ne) que" (locution adverbiale) restriction -"plus grand" (comparatif de supériorité dont le comparatif est absent : "que le monde entier") -présent de vérité générale, certitude -majuscules : Obéissance... -Obéissance=Famille

LA CRITIQUE DES RICHES -Tout le texte est basé sur opposition et comparaison riches/pauvres. Indices de cette comparaison= « ; », répétition anaphorique de « on » (mépris de l’auteur) face au pronom pers « ils ». Le jeu de symétrie et de //isme entre pronoms ind (l’un, l’autre) et dém (celui là, ceux ci) et adv de lieux (là, ici). A chaque x, riches évoqués en 2nd pour mettre leurs défauts en valeur et pour marquer leur infériorité foncière par rapport aux pauvres. -termes

un petit mot qui permet de former des phrases. C'est un mot outil. Vous trouverez sa conjugaison au présent dans la colonne "auxiliaire" ci-dessous. Sa conjugaison dépend bien sûr du pronom / du sujet de la phrase. Il faut également connaître les pronoms personnels "je", "tu", "il", "nous", "vous", "ils" |Pronom |Auxiliaire |adjectif |Traduction |Remarques | |I |am

sur ce qu'il a donné à A + accentué par l'utilisation des pronoms possessifs de la P2 du singulier « tes » et « ton », symbole de ce qu'il possède. Opposition une nouvelle fois, à la rime. Mots semailles et entrailles, accentués par leur place à la fin du vers, rimes riches, mais connotation différente. Baudelaire fait encore une fois un parallèle entre la vie pour A. « semailles » et la mort pour C. « entrailles ». On retrouve un pronom possessif pour C. « tes » mais la seule possession qde C

tournure impersonnelle l 3 « il manquait à ce pauvre homme » semble effacer la cause de l’emputation et les sentiments, les souffrances. *expression l 7 « c’est l’usage » : référence discrète au Code noir de façon neutre, sans contestation. *le pronom indéfini « on » dans le discours de l’esclave l 6, 9, 10... donne l’impression d’une objectivité, la responsabilité semble effacée. *une démonstration lignes 8 à 11 : la répétition du « quand » donne l’impression d’un enchaînement logique. L 11