Proposition incise

expansion − expansion : COD, COI, Complément circonstanciel, complément d'agent C) accord sujet-verbe – relation essentielle, le verbe se conjugue et le sujet commande – sujet : un groupe nominal, un pronom, une proposition subordonnée complétive (qu'il pleuve ne m'étonne pas), une proposition infinitive (parler est interdit) II) Arbres − on décompose chaque groupe – arbre : lisible quand phrase simple sinon trop complexe à exploiter Exemple : 2 représentations possibles de phrase « le touriste

«　pourvu que tu veuilles jurer　» l.27. Le verbe semi- auxiliaire vouloir est employé comme un modélisateur au subjonctif qui indique de la volonté. Ensuite, il essaye d’amadouer le pauvre «　si tu jures　» l.31. La conjonction «　Si　» introduit une proposition subordonnée circonstancielle de condition. On a l’impression qu’il s’agirait d’un échange comme quand on promet quelque chose à son enfant pour qu’il soit sage. Puis , jurer devient une obligation «　il faut jurer　» l. 31. La tournure impersonnelle

injuste. C’est la réaction impulsive d’une femme mécontente et insatisfaite. b. « Madame s'emporta, Nastasie répondit insolem¬ment. » Réécrivez cette phrase deux fois. Dans la première, vous coordonnerez les propositions et dans la seconde vous utiliserez une proposition principale et une proposition subordonnée. /1. Madame s’emporta et Nastasie répondit insolemment. Nastasie répondit insolemment parce que madame s’emporta. 10. a. Quelle est la nature du mot « insolemment ». Expliquez sa formation

forme de discours narrativisé puis indirect. Le discours narrativisé débute à elle faisait souvent à sa fille des peintures de l’amour jusqu’à où plongent les engagements, introduit par la proposition indépendante Mme de Chartres avait une opinion opposée. (Soit 2 propositions indépendantes + 3 propositions principales) Le discours indirect commence avec elle lui faisait voir + PS1 quelle tranquillité… + PS2 combien la vertu ; puis une autre principale mais elle lui faisait voir aussi + PS1 combien

deux reprises, grâce à la parenthèse, « ( Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes, ) » le Savetier emploie le groupe nominal « le mal » pour évoquer les conséquences fâcheuses de la décision de l’Église. L’enjambement met en valeur la proposition subordonnée relative « Qu’il faut chômer » pour bien souligner le caractère obligatoire de la décision. D’ailleurs, La Fontaine recourt au verbe « charge » pour suggérer le caractère pénible de la situation: […] on nous ruine en Fêtes. L’une

apparaît aussitôt après la conjonction « obwohl » Le verbe conjugué est rejeté en fin de proposition . La subordonnée introduite par « obwohl » peut se trouver soit en deuxième partie de phrase ( cf exemple), soit en première partie de phrase : ex : obwohl er krank ist, ist er gekommen. On considère alors que la subordonnée occupe la première place dans la phrase et on place le verbe de la deuxième proposition aussitôt après ( =les deux verbes conjugués se retrouvent côte à côte) Fais maintenant

elles deux propositions. - Un signe de ponctuation qui permet de juxtaposer deux propositions. 2/ Dans le premier paragraphe, soulignez : - En bleu, deux propositions subordonnées circonstancielles, qui donnent une précision (une circonstance) portant sur l’ensemble de l’action de la proposition principale. - En vert, deux propositions subordonnées relatives, en traçant une flèche vers le nom qu’elles complètent. 3/ Dans le troisième paragraphe, soulignez une proposition subordonnée

« heureux » « libres » (ligne 17) qui insiste sur l’idée de bien-être de cette population que les explorateurs ne font que compromettre par leur malveillance, cela est mis en lumière ligne 11 avec « tu ne peux que nuire à notre bonheur » où la proposition complétive qui dénote la certitude du vieux tahitien quand à l’effet des explorateur sur la félicité tahitienne, preuve faite par cette déclaration du chef « tu es venu allumer en elles des fureurs inconnues » l’emploi du verbes « allumer » dont

|=> permet de relier deux mots de même classe grammaticale |=> mais, ou, et, donc, or, ni, car | | |(noms, adjectifs…), deux propositions, deux phrases | | |Conjonction de subordination |=> permet d'introduire une proposition subordonnée |=> que, quand, comme, lorsque, afin que,| | | |pour que

qu’elle entraîne. b) La déduction : - L'argument de la cause et de l'effet : on utilise la relation d’implication, c’est-à-dire que si telle proposition est admise, elle entraîne (ou implique) telle conséquence ; de la première on déduit la seconde. - Le syllogisme fait partie de ce type de raisonnement ; mais une des trois propositions (majeure, mineure, conclusion) reste souvent sous-entendue (cf étude de l'implicite). c) L'argument de direction, qui consiste à dire que telle ou