Proposition

ces vers renvoient au contexte historique. Les fracas de la vie et des batailles (ligne 10) 5a) Caractérisez la voix. Pour répondre appuyez vous sur le relevé dans tout le poème: d'une proposition subordonnée relative de 2 adjectifs d'une comparaison Réponse : Une voix qui vient de si loin (proposition subordonnée relative) ligne 1 voilée (ligne 3) – humaine (ligne 9) - (2 adjectifs) Comme un tambour (comparaison) 5b) Relevez dans les vers 1 à 8 les 2 séries d'opposition Quels sont

La subordonnée : complément du nom « idée » C’est une complétive. 28/01/2015 Travail sur chapitre « Marie trouve un bar » Proposition subordonnée sur l’ensemble du texte, et parataxe depuis 11 lines jusqu’à la fin. Qui : pron relatif ou pron interrogatif Il fonctionne toujours comme sujet dans les subordonnées, et il régit la conjugaison du verbe. propositions subordonnées relatives  Le critère d’un pron relatif, c’est qu’il a toujours une fonction dans la subordonnée. D’abord, il y a deux

rime intérieure en «u» au vers 4. La deuxième strophe n’est, selon une tendance des surréalistes aux simples inventaires, qu’une succession d’appositions qui se continueront encore dans la troisième strophe où il faut aller pour découvrir la proposition principale qui définit la pensée de l’auteur : «Le monde entier dépend de tes yeux» (vers 14). Ces appositions décrivent les différentes beautés du monde dont la présence ou la découverte par le poète sont attribuées à la femme aimée : elles n’existent

textuellement les paroles d’un personnage, utilisation de «» ou marqué par la présence d’un incise Le discours indirect : il rapporte pas nécessairement fidèlement les paroles d’un personnage. Sans «» ni tiret, se présente sous la forme d’une proposition subordonnée Le discours indirect libre : évite la rupture dans la narration, aucun «» ni tirets, ni verbe déclaratif, difficile à reconnaître Type de discours dans un texte dramatique : La réplique : ce que dit un personnage à un autre

l’anaphore en « tous » (v 32, 36,37) confirme cette idée. * L’adverbe « autant » suivi de l’antithèse entre « sage » et « fou » montre que cette morale peut être généralisée même aux personnes opposées. * « il n’est rien de plus doux » : proposition indépendante désignant le fait que ces rêveries sont agréables pour tous. 2- La toute-puissance de l’imagination * 2 exemples de rêveries sont énoncés (v.34-v43) * Même rythme dans ce genre de rêve : début de songe, montée, chute.

pleurer." Mais le sens de la vue est également bien représenté: ""pour voir, vit" 3) Le mot quelque chose appartient à la classe des pronoms. Plus précisément, il s'agit d'un pronom indéfini. 4) a) Parmi les expansions du mot voix, il y a une proposition subordonnée relative: "qui appelait", deux compléments du nom (ou complément de détermination) : "d'enfant", "de bébé nouveau-né" b) Cela informe sur la nature du contenu du carton: il s'agit d'un être vivant. De plus, cet être vivant est un nourrisson

chez son père, lui a raconté l’expérience artistique vécue et est finalement retournée chez elle. 8. Devant la conjonction de coordination et qui unit deux phrases dont les sujets sont différents. Exemple : Je suis allée de l’avant avec ma proposition, et ils ont eu l’Air de s’en satisfaire. Je suis allée au Vieux-Port et me suis rendue au musée des Sciences. C Pour coordonner 9. Devant les conjonctions de coordination mais, car, donc. Exemple : J’irai t’y rejoindre, car cette activité

les lignes 5 à 8 de « Bientôt cette illusion » jusque « mais plus faible » en transposant les verbes au présent et en remplaçant le pronom personnel « je » par le pronom « il ». Tu feras toutes les transformations nécessaires. /5 10/ Relève une proposition subordonnée relative et précise sa fonction. /1,5 11/ Accorde correctement les participes passés dans les phrases suivantes. /3 a- Quelle nouvelle as-tu (préféré) dans ce recueil ? b- Charlotte, que ses camarades ont (méprisé), a (trouvé) un protecteur

ponctuation. Ces principes fondamentaux sont pour vous un repère. Un étudiant qui réalise un rapport de stage est amené à rédiger des phrases complexes. Ce sont des phrases plus longues que la norme des 12 mots et constituées de propositions principales et de propositions subordonnées conjonctives ou relatives. En respectant les principes énoncés vous veillerez à ce que la phrase complexe ne soit pas confuse. Elle doit être un agencement intelligent de phrases courtes. • Le titre Le titre récapitule

fatalité : -dès le début, on va se centrer sur les deux personnnages : « qqun qui entrait »l.4, ce qqun est repris ensuite par « il reprit qqun ».Le narrateur répète ce « qqun » pour le hasard. -insiste sur le fait que la rencontre est inévitable : proposition subordonnée de conseq. (l.7-8) »Si bien qu'il ... », (l.11-12) « tellement que ... »(l.36) « si remplie que ... » -> rapport cause à effetque l'on ne peut éviter. -Le narrateur montre que les personnages ne sont pas vraiment maîtres de leurs émootions