Proposition

Ils sont rapportés tels qu'ils sont prononcés (temps, pronoms, modalités (= déclarative, exclamative, interrogative, injonctive) ). Il arriva tard et déclara : « j'ai raté mon train ! » B. Le discours indirect Les propos apparaissent dans une proposition subordonnée qui complète le verbe introducteur. Le temps, les pronoms, les modalités restent celles du récit. Il arriva tard et déclara qu'il avait raté son train. C. Le discour indirect libre Le discour indirect libre, a pour effet de brouiller

coordonnants : « puis », « et » (3 fois) concourt au même effet cumulatif. L'impression produite est celle d'une extrême agitation mentale. ► la syntaxe répétitive des vers 12-16 : cette longue phrase commence par la proposition principale « Il me semblait » suivie de cinq propositions conjonctives introduites par « que ». Cette structure anaphorique convient bien à renforcer le sens du texte qui, à cet endroit, décrit l’installation progressive de l’idée fixe. La répétition existe tout autant dans

été le plus souvent que des déboires, sont présentées ici comme obéissant à une intention supérieure. Cette philosophie ridicule est dénoncée par un effet comique: contraste entre la cascade interminable des propositions conditionnelles qui racontent la vie de Candide et la courte proposition principale qui présente une action réduite et dérisoire : « vous ne mangeriez pas ici des cédrats confits et des pistaches ». 3) Pangloss semble être le porte-parole de l’auteur car sa parole domine le texte

« chacun » réduit la définition de la barbarie à un individu. De même, le verbe « appelle » connote une valeur conventionnelle, pas forcément vraie. La notion de barbarie n’est pas universelle. L’auteur insiste sur la relativisation de cette notion. La proposition subordonnée relative « où nous sommes » montre que notre référence n’est pas le monde entier. Ligne 4 « là est toujours la parfaite religion » L’adjectif qualificatif « parfait » montre l’ironie de Montaigne. Il se moque de l’ethnocentrisme occidentale

Recherche  Proposer aux élèves les propos de Max : "quand je serai grand, je serai président et j'aurai..." Demander aux élèves d'écrire sur leur ardoise "je serai " et "j'aurai". Ecrire les différentes propositions au tableau en montrant les ardoises à la classe.  Faire valider en éliminant les propositions phonétiquement incorrectes puis en cherchant la réponse dans le texte. --> écrire au tableau la bonne orthographe d'une autre couleur.  Reprendre la même démarche pour Alice (je) pour les propos

vertes et incolores, on ne conçoit pas non plus qu’elles puissent dormir, et encore moins dormir furieusement. Ainsi, toute phrase, pour être acceptable, se doit d’être constituée « d’éléments sémantiquement compatibles » afin de véhiculer une « proposition douée de sens ». En revanche, comme le dit la définition du Bescherelle, les éléments d’une phrase ne sont pas systématiquement ordonnés autour d’un verbe car il existe des phrases complètes qui ne comportent pas de verbe. Exemples : « Une merveille

souffrir 1 000 peines. III / La religion de l’amour D.G. veut plaider le droit d'amour, pour établir cette légitimité, il engage toute son expérience et « je » pèse sur tout le texte. Son implication personnelle est mise en évidence dans une proposition indépendante qui concentre tout son engagement « J'aime Manon ». C'est un amour revendiqué et affirmé, c'est un engagement absolu qui n'est pas relativisé par un adverbe (ex : « J'aime bien Manon ») Aucune précision circonstancielle et c'est une

s’agit d’une transposition des paroles : le contenu général est conservé, mais on abrège, on élimine les marques spécifiques du discours (éléments des fonctions expressive, impressive, et de contact). L’énoncé est rapporté sous forme de proposition subordonnée complétive dépendant d’un verbe introducteur. Les temps et les pronoms sont ceux du récit. Les référents déictiques propres au discours doivent être remplacés par les références du système du récit, puisqu’il n’y a plus de renvoi

conclusions. Si tout le monde croit avoir raison, cela ne peut pas marcher. Mais si chacun sait se remettre en question, lui et ses idées, cela devient plus vivable. Les conclusions que nous faisons doivent être modérées et ouvertes à d’autres propositions, et il ne faudrait pas croire être le seul à avoir raison. Or, en ne croyant pas avoir raison, nous doutons toujours. Et dans le doute, aucune amélioration n’est possible. Nous voici dans un dilemme : nous ne pouvons pas croire avoir raison

grammaticales. 2 point singe échappé au baluchon d'un marin participe passé pris comme adjectif suivi d’un complément circonstanciel de lieu épithète liée de singe (0,5 + 0 ,5) Qui vous regarde à travers les barreaux légers de la nuit Proposition subordonnée relative complément du nom singe (0,5 + 0 ,5) Une ville aimée 9,5 points 7. À qui s'adresse le poète à partir du vers 14 ? Relevez tous les pronoms personnels qui le montrent. 1 point t', te, nous (pronom personnel réfléchi)