Proposition

gérondif (en + verbe terminé par -ant) → ex : Son père lui chante une chanson en le berçant. CC de manière qui est ici un le verbe bercer au gérondif les propositions subordonnées circonstancielles → ex :Nous traversons la rue pendant que le feu est rouge. CC de temps qui est ici une proposition subordonnée circonstancielle introduite par la conjonction de subordination pendant que ► Il existe différents types de compléments circonstanciels selon la

à un portrait en clair-obscur : dans la partie claire la servante et dans l'ombre la figure de la mère. Une mère désignée par le pronom personnel « vous » qui souligne dès le premier vers la distance qui existe entre la mère et son fils. Et la proposition subordonnée relative qui suit « dont vous étiez jalouse » marque la rivalité qu'entretient la mère avec la servante. La mère de Baudelaire apparaît comme une mère non seulement absente mais surtout incapable de reconnaissance et de générosité envers

segment de phrase suivant : « la vraie femme de peine des champs qui a travaillé dès l'enfance et qui n'a jamais ri, tandis que le mari blaguait en buvant avec les pratiques » (l7). La différence de caractère entre les deux époux est exprimée par la proposition subordonnée circonstancielle de concession introduite par « tandis que ». Le père voit d'un bon oeil cette union entre M.F et son fils comme le montre l'expression suivante : « approbation satisfaite » (l26), qui est d'autant plus redondante que

CDN « confins des sphères étoilées » qui se déploie avec emphase (exagération) sur tout le vers 4. -Rimes unissent les contraires : « vallées/étoilées – mers/éthers » -Le rythme mime de façon mélodique cette envolée vers l’ailleurs. •Q2 → Proposition principale de la phrase rejetée au V5 : « mon esprit tu te meus » → mise en exergue (en évidence) du GN « mon esprit ». → élément central déterminé, il s’agit de l’âme du poète à laquelle il s’adresse en la tutoyant : « tu te meus, tu sillonnes

commun ou groupe nominal entre virgules qui aura la fonction d'apposition - groupe nominal prépositionnel ( = introduit par une préposition) qui aura la fonction de complément du nom - proposition subordonnée relative qui aura pour fonction de compléter son antécédent ( = c'est le nom qu'enrichit la proposition subordonnée relative) Présentation sous forme de tableau : Natures Informations complémentaires sur la nature Fonctions - adjectif qualificatif - participe passé employé comme adjectif

les observations constatées à propos des « fidèles » mais faire naître également dans l'esprit du lecteur quelques hésitations concernant la personnalité réelle de la maîtresse de maison. Mme Verdurin trône au-dessus de ses invités et la proposition principale qui la présente met en valeur l'allitération en [ s ] « assise sur un haut siège suédois en sapin ciré » sonorités sifflantes qui accréditent la tentation de voir en Mme Verdurin un tyran qui siffle ses ordres. Le choix des épithètes

par rapport aux quatrains (structure en écho ?) A la phrase unique des quatrains, répond la phrase unique des tercets. Dans les quatrains, on avait une proposition temporelle suive de la principale (par ex : « Quand (…(, je respire »), ici, on a la principale suivie de la temporelle (« je vois (…( pendant que (…(») L’odeur était en proposition principale dans les quatrains (« je respire l’odeur »), elle est à présent dans la subordonnée (« Guidé par ton odeur (…(, je vois ») On remarque que le

moyen, il verbalise, perds le control de lui-même, un adverbe d'amplification , une hyperbole, elle marque , elle corresponds a la réalité psychologique.   Les conséquences - la mise en scène, un spectacle. Quand ils commencèrent à danser - une proposition subordonnée circonstanciel de temps   LES MURMURES DE LOANGES- impression de qch ample Le registre de la louange On a vraiment l'impression de participer ds ce spectacle- ls lecteurs   La singularité de ce texte- le spectacle ds un spectacle

. qui » sont mis en relief dans cet exemple ; – le redoublement d’un constituant de la phrase par un pronom ; ex. : « Ce que fut le devoir d’application qui suivit cette première leçon, on l’apprendra plus tard [. . .] » ; dans cet exemple, la proposition subordonnée complément d’objet « ce que fut le devoir d’application [. . .] » est placée en tête de phrase et reprise par le pronom personnel « l’ » ; – l’accumulation (figure de style qui consiste en l’énumération d’éléments juxtaposés ou coordonnés)

sous forme de discours narrativisé puis indirect. Le discours narrativisé débute à elle faisait souvent à sa fille des peintures de l’amour jusqu’à où plongent les engagements, introduit par la proposition indépendante Mme de Chartres avait une opinion opposée. (Soit 2 propositions indépendantes + 3 propositions principales) Le discours indirect commence avec elle lui faisait voir + PS1 quelle tranquillité… + PS2 combien la vertu ; puis une autre principale mais elle lui faisait voir aussi + PS1 combien