Protéagineux

ensemble de changement s’est traduit en termes de productivité. Les rendements ont doublé, toutes cultures confondues. Les terres, désormais beaucoup plus productives ont été redistribuées entre les productions en faveur des céréales, oléagineux et protéagineux. Les surfaces fourragères ont été réduites. Cette évolution a été arbitrée depuis Bruxelles, grâce à la PAC. Cependant, la baisse des prix des produits agricoles a été tellement forte que l’augmentation du volume produit n’a pas réussi à la compenser

part ces cas particulier, on distingue principalement la culture pour l'activité concernant le végétal et l'élevage pour l'activité concernant l'animal. La culture, ou production végétale, est divisée en grandes cultures (céréales, oléagineux, protéagineux et quelques légumes), arboriculture fruitière, viticulture (production du raisin), sylviculture et horticulture. L'élevage, ou production animale, vise à faire naitre et élever des animaux pour la consommation directe (viande) ou pour leurs produits

11 %) par rapport à l’année 2008. Les fruits et légumes représentent 3,6 % de la surface végétale en mode de production biologique. Surfaces en bio et conversion (en ha) Toutes productions végétales Pâturages et fourrages Céréales Oléagineux Protéagineux Vigne Fruits Légumes PPAM (1) Autres productions végétales (2) (1) plantes à parfums, aromatiques et médicinales (2) y compris les jachères Evolution des surfaces 2008 vs 2007 4,8% 3,1% 11,8% 5,8% -15,4% 25,2% 13,5% 7,3% 24,8% -3,1% 583

maximum les installations (alimentation automatique, FAF...) Le dernier point auquel sont sensible les exploitants est l'environnement. Ils ont d'abord cherché à consommer leurs céréales pour diminuer les intrants, ils ont ensuite produits des protéagineux, ils ont acquis une presse à huile et aujourd'hui pour réduire la consommation en énergie fossile ils ont décidé de faire installer un système de chauffe-eau solaire pour l'eau chaude utilisée en transformation. Les facteurs de production Un

Ces besoins s’expriment en UFC : Unité fourragères Cheval. Une UFC correspond à l’énergie nette contenue dans 1 kg d’orge soit 2200 Kcal. • Protéiques, exprimés en matières azotées digestibles (MADC) dont les sources peuvent être des graines de protéagineux, tourteaux issus d’extraction d’huiles (soja, tournesol, colza…)… Les matières protéiques doivent couvrir les besoins en acides aminés indispensables de l’animal. Les besoins du cheval avoisinent les 60 grammes par 100 kg de poids vif. • Minéraux

hydrographique 100 000 200 000 300 000 400 000 500 000 600 000 584 734 467 500 382 205 340 980 409 100 332 000 245 000 129 000 24 100 63 167 32 465 5 180 67 236 Pommes de terre et légumes frais Oléagineux Légumes secs et protéagineux Autres Surface agricole utilisée (SAU) 1 661 332 ha Superficie totale de la région 2 750 667 ha 4 Agriculture et agroalimentaire les chiffres - édition 2009 La préservation des ressources naturelles • Avancement de la résorption de

Orientation Technico-économique des Exploitations (OTEX). L’appartenance d’une exploitation à telle ou telle OTEX est déterminée au pro rata de sa valeur ajoutée : si une exploitation tire les 2/3 de sa valeur ajoutée de la production de Céréales Oléo-protéagineux (COP), elle sera classée dans la catégorie COP. Les résultats exhaustifs des comptes des exploitations professionnelles sont disponibles sur le site du service statistique du ministère de l’Agriculture : http://www.agreste.agriculture.gouv.fr/

distinguer les filières végétales et animales qui font intervenir de nombreux acteurs, avec des outils adaptés aux spécificités des productions : FILIERES Filières végétales Fruits et légumes Grandes cultures (céréales, oléagineux, protéagineux) Viticole Plantes à parfum, aromatiques et médicinales (PPAM) Filières animales Laitière Viande (bovine, ovine et porcine) Avicole (pondeuses et chair) Apicole Aquacole Les filières biologiques françaises se structurent de plus

mondiale est estimée à 164 Mt, en hausse de 2,2 %. Le Pois protéagineux : une récolte française record Les aides mises en place favorisent la récolte française de pois secs (1 Mt) qui fait ainsi un bond de 97 %. Celle-ci est également en net progrès par rapport à la moyenne des cinq dernières campagnes (+ 35 %). Leur surface a plus que doublé, atteignant 244 000 ha. Entre juillet et septembre 2010, le prix moyen des pois protéagineux départ Marne s’établit à 188 €/t. Il progresse fortement au cours

familles ne semblent pas être intéressées par les produits bio et représentent pourtant la plus grosse partie de la population. _ la demande en produits biologiques progresse plus vite que l’offre1, notamment pour les céréales, les oléagineux et les protéagineux, et ceci malgré l’essor de l’agriculture biologique.Ce déficit est comblé par des importations croissantes. L’offre - Concurrent important et puissant : Gayelord Hauser (Bjorg) - Marché bio européen plus avancé Le macro environnement