Protection Du Consentement En Dehors Des Vices Du Consentement

Le dol et le consommateur La protection du consom mateur vis-à-vis des professionnel usant de manœuvres frauduleuses c’est une lutte contre la déloyauté de ces cocontractant peu scrupuleux visant a tromper leur client du fait de leur position très souvent très dominante. les moyens utilisés par ses professionnels sont nombreuses et toute tende a déséquilibrer les obligations à leur profit. Les consommateurs se sont les parties faibles dans ces relations et les pouvoirs publiques le plus souvent

plus important en droit de la famille avec une multiplication des décisions rendues en ce domaine (réserve d’interprétation lors de l’adoption du pacs, reconnaissance de plusieurs libertés comme le droit de se marier de fonder une famille et la protection du droit à une vie familiale normale pour les étrangers). Ce mouvement de constitutionnalisation du droit de la famille va aller croissant avec la QPC, les juges du conseil constitutionnel vont être appelés à contrôler à posterieuri la constitutionnalité

1832 al 1 établi un lien entre la société et le contrat. Chapitre 1: Les conditions de fond (art 1108 c.civ.) Section 1 : Le consentement A/ Intégrité du consentement Le consentement doit être exempt de vice (intègre) : l'erreur (sur le type de société ou sur la personne dans le cas d'une société de personne est possible), le dol, voire la violence. B/ Le consentement doit être sincère et non simule - S'il y a dissimulation (convention secrète) : entre les parties l'acte secret l'emporte (s'il

de fidélité, liens de recommandations ou la commande. La recommandation c’est ce lien de dépendance qui existe entre le vassal et son seigneur. En matière familiale, les germains ont une approche clanique de la famille : celui qui va assurer la protection des membres du clan. Le jeune garçon va se placer dans une nouvelle famille, sippe ou fara, le clan familial ou militaire. Ce garçon entre dans l’âge adulte lorsqu’il reçoit des armes. A partir de ce moment il y a deux possibilités : Soit il continue

droit romain jusqu'au Code Civil : Le droit romain à élaboré très tôt une théorie des contrats, à l'heure actuelle, on distingue encore les contrats consensuels, des contrats solennels (ou réel). - Contrat consensuel : il est formé d'échange de consentement. - Contrat solennel : c'est un contrat qui nécessite pour sa validité un écrit et un contrat réel, il nécessite pour sa validité la remise d'une chose. En revanche, il n'y avait pas dans le droit romain l'équivalent de l'article 1382 (principe

seulement susceptibles d’être résiliés. Contrat dans l’espace: il faut opposer les contrats solennels qui impliquent pour leur validité une forme (ex: acte notarié). Opposé au contrat consensuel qui nécessite pour leur validité seulement un échange de consentement sans formalisme (ex: la vente). Deux autres distinctions art 1102 et suivant du c.civ, au niveau du contenu du contrat d’abord, il y a le contrat unilatéral à ne pas confondre avec l’acte unilatéral. Le contrat unilatéral implique seulement la

des deux parties, mais il ne fait peser d’obligations juridiques que sur l’emprunteur (qui doit rembourser la somme d’argent empruntée). Cette distinction est importante en ce qu’elle permet de déterminer les règles de preuve applicables (le consentement, le formalisme). ° Contrat à titre onéreux – contrat à titre gratuit Le contrat à titre onéreux est celui qui assujettit chaque partie à faire ou à donner quelque chose. - contrat à titre gratuit Au contraire, le contrat à titre gratuit

sociétaux. Règles existantes ne permettent pas de s'adresser à un certain nombre de personnes. On trouve donc un certain menu imposé pour rentrer dans les règles existantes du droit de la famille, on trouve donc certaines personnes qui se trouvent en dehors du milieu de la famille. Ex: homosexuels Loi du 15 Novembre 1999 loi sur le pacs où l'on trouve plusieurs aspects innovateur la loi permet l'ouverture du concubinage quel que soit leur sexe la loi crée aussi un contrat susceptible d'unir deux personnes

des deux parties, mais il ne fait peser d’obligations juridiques que sur l’emprunteur (qui doit rembourser la somme d’argent empruntée). Cette distinction est importante en ce qu’elle permet de déterminer les règles de preuve applicables (le consentement, le formalisme). ° Contrat à titre onéreux – contrat à titre gratuit Le contrat à titre onéreux est celui qui assujettit chaque partie à faire ou à donner quelque chose. - contrat à titre gratuit Au contraire, le contrat à titre gratuit

conditions spécifiées doivent être remplies Sous-section 1. — Conditions touchant au statut des parties. (Vices dérivant du défaut de capacité) Article 8. — Capacité de conclure des traités Sous-section 2. — Conditions (autres que de forme) touchant à l'origine du traité ou à la façon dont sa conclusion a été obtenue. (Vices dérivant du défaut de consentement) Article 9. — Caractère général du consentement Article 10. — Observation des prescriptions constitutionnelles ou autres prescriptions légales internes