Protection

1°) La protection sociale désigne tous les mécanismes de prévoyance collective qui permettent aux individus ou aux ménages de faire face financièrement aux conséquences des risques sociaux. Il s’agit de situations pouvant provoquer une baisse des ressources ou une hausse des dépenses (vieillesse, maladie, invalidité, chômage, charges de famille…) Les risques de la protection sociale sont les suivants : • la santé, qui comprend la maladie, l’invalidité, les accidents du travail et les maladies

contribution commune indispensable. Elle doit être également répartie entre tous citoyens, en raison de leurs facultés. Doc.5 : Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 1789 en les est les TD2 5EC2-T1 M.Desmares TD 2 : L’EGALITE FACE A LA PROTECTION SOCIALE Exercice n°1 : La carte vitale 1- Décris chaque vignette par oral (DV). 2- Identifie la carte verte et explique à quoi elle sert. La carte vitale permet à son titulaire d’être remboursé des frais de santé (soins et médicaments) auprès

interviennent dans le secteur social soit celui de l'aide et de l'action sociale, la sécurité sociale, et le secteur médico-social. 1) Les politiques sociales se caractérisent par les moyens qu'elles mettent en œuvre. - Les instruments de protection sociale. Une politique sociale c'est une politique reconnue comme telle par la société et qui généralement est consacrée par la reconnaissance d'une aide, par exemple l'aide à l'enfance et aux familles, l'aide aux chômeurs, etc. De façon générale

lien de subordination vers la société bénéficiaire. Ce type d’opération est effectué fréquemment entre sociétés d’un même groupe. Il s’agit d’un concept du droit du travail. 1. Aspects sociaux : expatriation / détachement La question de la protection sociale est une préoccupation essentielle pour le salarié qui part en mission à l’étranger. Deux régimes légaux peuvent être distingués au regard du droit de la sécurité sociale dans le cadre des opérations de mobilité : le détachement et l’expatriation

dans différentes structures publiques ou privées, notamment : • Organismes de protection sociale (caisses de sécurité sociale, mutuelles, groupes d’assurance, institutions de prévoyance…) ; • Établissements et services sanitaires (structures de soins, de prévention…) ; • Établissements et services sociaux et socio-éducatifs (centre communal d’action sociale, services d’action médico-sociale, service de protection de la jeunesse…) ; • Établissements et services médico-sociaux (pour enfants, personnes

Prestations et services Corrigé 1 3 04S1 CT PA 01 09 a. Chaque pays européen possède un système de protection sociale qui se réfère historiquement à deux modèles dominants. À partir de vos connaissances et en vous aidant du texte, expliquez comment le système français, s’est construit progressivement en s’inspirant historiquement de ces deux modèles. Dans le texte, comment appelle-t-on ce modèle français ? Les deux modèles sont les suivants. – Le modèle allemand (système Bismarck) créé en 1881

L'INSERTION 1 LA REALITE SOCIALE Le nombre de personne en situation d’exclusion n’a cessé de croître ces vingt dernières années en raison de la crise économique. La fin de l’Etat providence a engendré le déclin de la protection sociale fondée sur une logique d’assistance pour laisser place à l’action sociale. En réponse aux mutations de la société, les politiques publiques ont mis en place des textes législatifs à destination des personnes en difficulté, L’insertion de la population est devenu un

comptes 2009 de la protection sociale ont été publiés le mois dernier par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES). Les dépenses de ce qu’on appelle l’État providence – Sécurité sociale (maladie, invalidité, accidents du travail, vieillesse-survie, famille), emploi, logement, pauvreté-exclusion – ont ainsi atteint 624,5 Mds€, soit… 78 % de la totalité des impôts perçus par l’État. À elles seules, les sommes consacrées à la protection sociale correspondent

fondé sur une règlementation renforcée des marchés financiers, et d’une réhabilitation de la protection sociale pour ses vertus stabilisatrices face à la crise (soutien à l’économie et amortisseur social) s’éloigne à nouveau. Le primat du marché et de l’économie sur le social revient en force, emportant avec lui l’ambition d’un alignement vers le haut des systèmes sociaux. La soumission de la protection sociale aux exigences de la flexibilité du travail renforce la logique de l’activation des chômeurs

certaine cohésion, de la solidarité. L'entraide solidaire s'organise en sociétés. Vont ainsi ce créer des sociétés mutuelles. Ce sont des associations dont le but premier est la protection de leurs membres. Elles tiennent principalement lieu de mutuelles d'assurance à une époque (le XVIIIème) où il n'existe aucune protection sociale. Ces dans ce contexte d'évolution de milieux ouvriers que les sociétés mutuelles vont éclore. Pour cela l'auteur va traiter : Ligne 1 à 27 : La création des