Protectionnisme Argument En Faveur

d'autres cieux. La conclusion de l'accord sur la libéralisation des services financiers en 1997, entré en vigueur le 1er mars 1999 dans le cadre du General Agreement on Trade in Services (GATS), s'est traduite par l'engagement de plus de 100 pays en faveur d'une libéralisation du secteur des assurances. 4. La libéralisation : Au Maroc, la libéralisation est venue pour clore plusieurs années agitées: liquidation, assainissement... Elle consistera en la mise en place de tarifs élaborés sur des bases

produisaient beaucoup trop.   c. A l'intérieur de l'Union Européenne, on entendait la critique que le système menait à des surplus.    De l'extérieur, on critiquait le "dumping subsidié" des produits agricoles européens sur le marché mondial et le protectionnisme du marché vis-à-vis de produits de l'extérieur.   d. L'accent fut mis sur le qualité plutôt que sur la quantité.   e. L'adhésion de 10 nouveaux pays membres, fortement dépendants du secteur agricole en comparaison avec les anciens Etats membres

romains. 3 SOMMAIRE CHAPITRE 1 ÉLÉMENTS ESSENTIELS 9 10 13 15 18 CHAPITRE 3 RÈGLEMENT DES DIFFÉRENDS 55 59 60 1. Qu’est-ce que l’Organisation mondiale du commerce? 2. Les principes qui inspirent le système commercial 3. Les arguments en faveur d’un commerce ouvert 4. Les années GATT: de La Havane à Marrakech 5. Le Cycle d’Uruguay CHAPITRE 2 LES ACCORDS 1. Une “contribution sans précédent” 2. La procédure de groupe spécial 3. Étude de cas: chronologie d’une affaire CHAPITRE 4 QUESTIONS

Qu’est-ce que l’Organisation mondiale du commerce? 9 RÈGLEMENT DES DIFFÉRENDS 1. Une “contribution sans précédent” 55 2. Les principes qui inspirent le système commercial 10 2. La procédure de groupe spécial 59 3. Les arguments en faveur d’un commerce ouvert 13 3. Étude de cas: chronologie d’une affaire 60 4. Les années GATT: de La Havane à Marrakech 15 CHAPITRE 4 5. Le Cycle d’Uruguay 18 1. Régionalisme: partenaires ou rivaux? 63 2. L’environnement:


suite
à
la
chute
des
marchés
financiers
à
Wall
Street,
les
Etats‐Unis
rapatrient
 leurs
capitaux.
Toutes
les
économies
sont
touchées
puisqu’on
est
dans
un
système
de
 change
 fixe.
 Tous
 les
 Etats
 cherchent
 alors
 leur
 salut
 dans
 des
 mesures
 de
 protectionnisme
 national.
 En
 1931,
 les
 Anglais
 décident
 de
 la
 fin
 de
 la
 convertibilité
 avec
l’or
et
vont
créer
une
zone
Livre
Sterling.
L’Allemagne
établit
un
contrôle
total
des
 changes.
 Le
 Japon
 suspend
 la
 convertibilité
 du
 Yen
 en
 dollar


commerce est un instrument puissant que les pays doivent pouvoir manier de la façon qui correspond le mieux à leur niveau de développement. 23 On peut s’inquiéter que des pays, principalement développés, recourent à de nouvelles formes de protectionnisme qui créent de nouveaux obstacles au commerce. Cette tendance s’est accentuée avec la crise économique et certaines régions du monde développé se sont repliées sur elles-mêmes, ce qui augure mal de l’avenir du commerce mondial. A l’OMC, l’Inde

Possibilité de termes différents - Mussolini n’en est peut-être pas le seul auteur, on peut supposer qu’il ait reçu la collaboration d’autres personnes pour rédiger son discours. Mussolini, dans ses discours, afin de s’attirer les faveurs du monde ouvrier, joue sur l’affectif. Il décrit son « émotion » quand il visite les usines, rappelle qu’il vient d’une famille modeste et prétend se sentir proche des ouvriers. Il se présente ainsi comme un défenseur du prolétariat. De plus, il prétend

représente l’aboutissement logique des évènements du XXe siècle. La mondialisation de l’économie et l’ALÉNA La mondialisation de l’économie aurait débuté dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, encouragée par Roosevelt qui considère que le protectionnisme serait l’une des causes de la crise des années 1930. En 1944, la conférence de Bretton Woods a mis en place le système monétaire international afin de stabiliser les monnaies et de favoriser les échanges économiques internationaux. Le FMI et la

aspect avait été négligé : l'environnement. Pour certains analystes20, le modèle de développement industriel n'est pas viable ou soutenable sur le plan environnemental, car il ne permet pas un « développement » qui puisse durer. Les points cruciaux en faveur de cette affirmation sont l'épuisement des ressources naturelles (matières premières, énergies fossiles pour les humains)21, la pénurie des ressources en eaux douces susceptible d'affecter l'agriculture22, la destruction et la fragmentation des écosystèmes

exemple) tranche résolument en faveur d'une relation de causalité allant de l'hégémonie à la stabilité par la médiation des régimes. Il ne présente toutefois pas ses arguments de façon toujours très serrée sur le plan analytique pour que l'on puisse y voir une théorie achevée. Deux arguments sont évoqués (qui seront par la suite largement discutés dans la littérature ; [Keohane, 1980], [Snidal, 1985], [Lake, 1993]) : l'argument des "biens collectifs internationaux" ; 'argument de la "régulation centrale"