Protocole Compassionnel

21, qui sont des plan d’action qui se déclinent au niveau national et également à tous les échelons de territoire possible. Kyoto, Japon, 1997 (entrée en vigueur n 2005) Objectif • Chiffrer des réductions d’émission de gas = protocole de Kyoto. Les différents pays signataires s’engagent globalement à réduire ses émissions de 5.2% par rapport à 1990. Situation complexe pour différents états : • Baisse de 8% par rapport à 1990, pour l’UE. • La France doit +/- stabiliser

rapport de 2 pages sur la comparaison des différentes normes environnementales en vigueur en Europe Après le protocole de Kyoto concernant les Nations Unies et ratifié en 2005, le Grenelle de l’environnement proposé par M.Juppé alors ministre de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement durables en 2007 énonce des modalités d’applications du Pacte Ecologique de Nicolas Hulot. Le projet de loi intitulé « Grenelle II » a donné lieu à plusieurs tables rondes dont la dernière synthèse de

La Californie est le département le plus diverse du monde et le plus riche au niveau écologique, quarante pour cent de la californie est couvert de forêt . La Californie lutte contre la pollution, elle apour objectif d'ici deux mille dix huit d'avoir un million de toits solaires Le dix huit janvier deux mille sept arnold swarzenegger signe pour réduir l'intensité de carbonne des carburants pour les véhicules calforniens, la Californie met en place la première norme mondial de limitaton de gaz à

qui s'est tenu en décembre 2009 au Danemark, a permis à de nombreux pays de débattre sur le sujet du changement climatique avec l’objectif de trouver un accord commun sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, ceci avant la fin du protocole de Kyoto en 2012. Ces sommets internationaux ont amené les différents pays à s'interroger au problème de la surexploitation des ressources et à la façon de modifier les comportements de consommation, de production de manière à ce que ceux-ci prennent

pays qui juge qu'il est « sous-développé ». Cela revient implicitement à considérer que le modèle du pays qui juge un pays « sous-développé » est un modèle de référence, adapté au contexte de ce pays. Les États Unis et la Chine n’ont pas signé le Protocole de Kyoto sachant qu’ils sont les deux plus grands pays qui émettent le plus de CO2. Poser le problème en termes de « mal-développement » revient ainsi à poser le problème de comment se développer, alors que le sous-développement, de par son sens

de l’eau et de l’électricité, utilisation des transports en commun). - Agir au niveau mondial En 1997, le protocole de Kyoto, négocié sous l’égide de l’ONU, se concentre sur le principal responsable du réchauffement climatique, les gaz à effet de serre. Il détermine un objectif de réduction de ces gaz de 5,2 % en 2012, par rapport à 1990. L’originalité de ce protocole est la création d’un « droit à polluer » concrétisé par des « permis de polluer » attribués à chaque entreprise. Les entreprises

L’objectif de cette 16e Conférence des Nations unies (COP16) était le même que celui de la conférence en Copenhague l’année dernière (décembre 2009): fixer les règles de l’après-Kyoto. Le protocole de Kyoto a été rédigé en 1997 dans la ville japonaise Kioto et règle la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le protocole arrive à échéance fin 2012. Les pourcentages d’abrégements diffèrent de pays à pays. Puis, l’Union européenne a déterminé les réductions pour chaque Etat-membre, de concert avec les

dépenses énergétique d’un pays. En effet, la protection de l’environnement n’est pas uniquement une question d’intérêt général mais aussi politique comme nous le démontre le Japon ; ce pays étant un exemple concret notamment grâce à l’instauration du protocole de Kyoto réduisant l’émission des effets de gaz en 2007, montre l’exemple aux autres pays tel que la Chine et l’Amérique, de la nécessité de préserver l’environnement en réduisant les dépenses énergétiques. Pour Mathieu Le Roux, la solidarité est

émissions de gaz à effet de serre par rapport à 1990 - Réduction de 20% de la consommation d’énergie par rapport au tendanciel à 2020 - Augmentation à hauteur de 20% de la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique Le Protocole de Kyoto s’inscrit de la même manière dans cette prise de conscience. Actuellement, en France, les énergies renouvelables représentent environ 15,4% de la production d’énergie primaire[4]. Sur le secteur des énergies renouvelables, l’énergie

émise en Chine est faible, un tiers de celle des pays de l’OCDE1. Toutefois, les émissions chinoises de gaz à effet de serre devraient doubler d’ici à 2030, et représenter alors 27 % du total mondial contre 19 % actuellement. […] La Chine a signé le protocole de Kyoto, mais en tant que pays en développement ne s’est pas engagée à réduire ses émissions. Comme l’Inde, elle considère que les efforts de réduction des émissions incombent aux pays développés […]. En doublant depuis 2001 les sommes consacrées