Province du Brabant wallon

................................................................23 1.3. Subsides accordés par la Région de Bruxelles-Capitale.....................................................................23 1.4. Subsides accordés par les Communautés, les Provinces et les Communes...............................24 1.5. Conclusion............................................................................................................................................................26 CHAPITRE 2 – LA DEMANDE

économistes dont on a parlé découpent leur espace en régions, qui sont d’abord des éléments physiques. Espace économique, dépassant la réalité objective, pas une simple assise géographique (qui serait par exemple de travailler sur une commune, une province, un pays, etc.). C’est un espace économique, et pas une simple assise géographique. C’est un espace qui est aussi acteur ; l’espace crée lui-même des mécanismes économiques (qu’il faut mettre en évidence). L’espace, parce qu’il est acteur, est lui

administrée centralement à partir de Bruxelles et seules les communes et les provinces avaient une certaine compétence. La cause du fédéralisme belge est à trouver dans une double revendication. D’une part, les flamands revendiquent une plus grande autonomie linguistique et culturelle. Ils prônent dans ce but la création de Communautés linguistiques unilingues. D’autre part, les Wallons, préoccupés par le déclin de l’économie wallonne et le développement simultané de l’économie flamande qui bénéficie d’une

payés. Les autres (7.670) sont capacitaires : leur droit de vote est fonction de leur diplôme ou fonction professionnelle. Ils sont magistrats, notaires, avocats, ministres de culte, officiers, universitaires... Les 200 députés élus, issus des 9 provinces proportionnellement à leur population respective, sont installés le 10 novembre. Ils s’attaquent à l’adoption de la constitution, qui sera promulguée le 7 février 1831. La Belgique devient une monarchie constitu- complexe tionnelle et représentative

nettes différences entre le nord néerlandophone (443 hab./km2) au 1er janvier 2003) et la partie sud, francophone (200 hab./km2), ce qui la situe encore au niveau du top 5 européen), particulièrement au sud du sillon industriel (57 hab./km² dans la province de Luxembourg, la plus méridionale). Cette forte concentration n’empêche pas une large majorité de belges (75%) de loger dans une maison individuelle dont ils sont souvent propriétaires (68%). Comparée à ses voisins européens, la Belgique apparaît

soit agréée par la COCOF (à savoir, Télé-Secours et le Centrale de Services à Domicile). Des interventions financières sont également proposées par des mutualités, C.P.A.S., administrations communales, centres de coordination de soins à domicile, provinces ; celles-ci, varient plus ou moins selon leur origine. Il n’est pas anodin de préciser que des initiatives voient également le jour au niveau provincial (ex : Télépronam à Namur), les mutuelles, quant à elles, proposent parfois ce type de services

une télévision régionale active dans le domaine culturel, un réseau de lecture publique de pointe, plusieurs musées reconnus au niveau national et international. Depuis l’instauration de la Commission provinciale du Loisir de l’Ouvrier en 1919, la Province du Hainaut a fait du développement culturel une de ses priorités ; aujourd’hui installée à La Louvière, la Direction Générale des Affaires Culturelles du Hainaut est présente sur tous les fronts. Elle promeut le patrimoine culturel hainuyer et soutient

Wallonie et Bruxelles, n'est pas une mince affaire. C'est pour cela qu'il est confié, depuis ses débuts, aux cinq cellules du réseau interuniversitaire de diffusion des sciences, le réseau Scité: •Atoutsciences (FUNDP) pour la province de Namur; •ScienceInfuse (UCL) pour le Brabant wallon; •InforSciences (ULB) pour Bruxelles; •Réjouisciences (ULg) pour la région Liège-Luxembourg; •Le Carré des Sciences (UMONS) pour le Hainaut. Expositions, conférences, ateliers, rencontres; biologie, astronomie, chimie,

On parle donc de discrimination indirecte. L’interdiction de refuser une personne handicapée accompagnée d’un chien d’assistance dans les bâtiments ouverts au public et dans les transports a été renforcée par des décrets en région bruxelloise, wallonne et flamande[5]. Ce n’est qu’en de très rares circonstances qu’il est désormais possible de refuser l’accès (par exemple, dans des locaux où sont réalisés des actes médicaux). C. Le harcèlement discriminatoire [pic] Le harcèlement est aussi

n'ont souvent d'autre choix que : - d'acheter en commun (la Ville de Bruxelles a d'ailleurs mis sur pied des bourses d'achat collectif); - de quitter Bruxelles pour aller s'installer en Brabant wallon ou flamand. Mais la pression immobilière y est telle que certains n'hésitent pas à s'installer dans d'autres provinces ; - de faire appel à des proches pour financer leur achat ; - de faire appel aux prêts du Fonds du logement qui permet aux ménages ayant des revenus faibles ou moyens d'accéder à la propriété