Pseudo-science

devenir savant, car il l'est: et, en général, si l'on est savant, on ne philosophe pas: les ignorants non plus ne philosophent pas et ne désirent pas devenir savants: car l'ignorance a précisément ceci de fâcheux que, n'ayant ni beauté, ni bonté, ni science, on s'en croit suffisamment pourvu. Or, quand on ne croit pas manquer d'une chose, on ne la désire pas. On retiendra de la généalogie d' Eros, le démon de l’amour, qu'il participe, par sa mère Pénia, déesse de la pénurie, de la pauvreté, et par

justification historique de leur pseudo-supériorité et de leur main mise sur la planète que résume pour nous parfaitement l’économiste anglais David Hume : "Je suspecte les Nègres et en général les autres espèces humaines d’être naturellement inférieurs à la race blanche. Il n’y a jamais eu de nation civilisée d’une autre couleur que la couleur blanche, ni d’individu illustre par ses actions ou par sa capacité de réflexion... Il n’y a chez eux ni engins manufacturés, ni art, ni science. Sans faire mention de

femmes sont réduites à des détails physiques ridicules. « Pangloss » (étymologiquement, peut signifier « celui qui parle à tout moment », « bavard impénitent ». Sa pseudo science est réduite à une « cosmolonigologie » (ligne 36) : ceci renvoi à l'ambiguïté d'une science très compliquée, mais aussi au mot « nigaud » (idiot, bête). Cette science serait donc ridicule, comme le personnage de Pangloss lui-même. LES QUARTIERS DE NOBLESSE : 71 : nombre de quartiers, la mère de Candide n'en a qu'un de plus (72)

A travers ce texte, Alain aborde le thème de la vérité et plus particulièrement la nature de la vérité, le sens de cette notion. Il s’efforce de résoudre le problème que pose la prééminence du succès expérimental dans les sciences qui utilisent les mathématiques alors que les mathématiques privilégient la démonstration par le seul secours de la raison, c’est-à-dire sans recourir à l’expérience. L’auteur soutient dans cet extrait la thèse selon laquelle la vérité doit s’entendre en deux sens : une

bonne et mauvaise communication, « informer n’est pas communiquer », la notion de communication est omniprésente mais ne signifie pas toujours la même chose. Il existe autant de définitions de la communication qu’il existe de domaines concernés : sciences sociales, économiques, marketing, publicité, anthropologie, psychologie, etc. L’accent est tantôt mis sur l’aspect technique tantôt sur l’aspect subjectif de la communication. Ce terme est devenu un terme fourre-tout concernant tant la relation entre

final il le devient lui-même. Grâce aux Lumières, l'Homme a découvert le bonheur. Il ne sera donc plus question pour l'Homme d'avoir une vie remplie d'humiliation, qui fait qu'une personne puisse penser que plus tard il pourra rejoindre un pseudo-paradis. Grâce au "Mondain" (1736) Voltaire a dit que « Le paradis terrestre est où je suis ». D'un autre part on remarque que Rousseau n'est pas tout à fait d'accord avec cette vision du bonheur, car pour lui les personnes négligent le fait de cultiver

tout espoir, de toute perspective un tant soit peu lumineuse… Puis, « La possibilité d’une île », un roman que j’ai trouvé totalement raté et pour le coup très ennuyeux. Un titre magnifique, et un roman totalement raté… Une histoire oiseuse de pseudo science fiction, flirtant avec une idéologie qui faisait effectivement froid dans le dos… J’ai bien cru alors que l’auteur des années 90 qui avait éveillé mon intérêt pour la littérature française contemporaine était devenu une sorte de machine « pisse-aigre

Baumgarten et l'épistémologie d'une science du sensible définition A. La première Partant de la distinction platonicienne et aristotélicienne— reprise plus tard par les Pères de l'Église — entre les aisthêta (choses sensibles ou faits de sensibilité) et les noêta (choses intelligibles ou faits d'intelligibilité), A.G. Baumgarten ne doute pas, dès 1735, dans ses Meditationes philosophicae de nonnulis ad poema pertinentibus, de l'existence d'une science du monde sensible. « Les noêta […] sont

naissons ignorants et nous tenons pour vrai ce que nous apprenons des autres et de nous-mêmes. Voilà ce que nous pouvons retenir de la description symbolique qu'il fait des hommes prisonniers au fond d'une caverne obscure. Mais nous pouvons dépasser ce pseudo-savoir, fait d'opinions et de croyances diverses et instables, et sortir de la caverne pour connaître vraiment ce qui est et la cause de ce qui est. Ce qui est ce sont les premiers principes des choses que Platon nomme « Formes » ou « Idées ». Elles

que nous ne naissons pas homme ? Pour répondre à cette objection, il suffit de considérer les « pseudo-théories » qui réduisent l’homme à ses origines animales. Commençons par Darwin qui veut nous faire croire que « nous descendons du singe ». Pire encore, ces matérialistes comme La Mettrie, qui n’ont rien compris à Descartes et croient pouvoir tout expliquer à partir des sciences de la matière. En réduisant l’homme à son corps et ce dernier à une machine explicable par la physique