Psychanalyse en France

féministes. Dès la fin du XIXème siècle, avec le soulèvement des Suffragettes en Europe et en Amérique, la cause des femmes gagne la place publique et tend à devenir un débat universel. Cependant la reconnaissance tarde à venir, et c’est dans une France (et de façon plus général un monde) en pleine effervescence, postérieure à la seconde guerre mondiale, qu’émerge vers la fin des années 70’s une deuxième étape dans lutte pour la libération des femmes. Ces dernières se regroupent sous le nom de

et la modernité Pour penser les termes de cette hypothèse de lecture, il faut envisager successivement les relations qu’entretient Céline avec la modernité, c’est-à-dire avec les philosophes des Lumières, avec la science et avec la psychanalyse. D’abord, remontons à Rousseau dont la présence est aussi évidente que paradoxale. L’intertextualité rousseauiste s’élucidera si l’on discerne - de façon aussi peu réductrice que possible - le « Rousseau des littéraires » de celui « des

ce qu’il est : plein de santé, de force physique, de force de caractère… C’est alors sans le savoir mais ce frère a réellement existé et l’histoire de ses parents n’est connue de lui qu’à moitié. Adolescent, il apprend par les mots simples mais francs de son amie et voisine que cet ami imaginaire est le fantôme d’un frère mort pendant la déportation, d’un premier mariage pour son père, d’une famille détruite… Toute cette vérité a été ensevelie dans le passé dans le désir de se cacher et de se taire…

Processus qui son conscient, correspond à la manière dont l’individu se perçoit lui-même et la manière dont il perçoit le monde qui l’entour (perception, émotion, sentiment, sensation, pensée,…) et d’autre part par processus qui son inconscient, la psychanalyse a mis en évidence que la plupart de nos activités sont déterminé en partis par des éléments qui on une signification qui nous échappe (psychologie étudie les mêmes valeurs). Processus neurophysiologiques, qui n’est pas observable de l’extérieur

QUELQUES ÉLÉMENTS DE L’HISTOIRE DE LA PSYCHANALYSE I. BIOGRAPHIE Le grand fondateur de la psychanalyse est Sigmund FREUD (Sigismund Schlomo FREUD). Il a toujours eu un rapport particulier avec la judaïcité. Donc, il est né le 6 mai 1856 à Freiberg en Moravie (aujourd’hui devenue République Tchèque) et il meurt à Londres, le 23 septembre 1939. Sigmund FREUD est le 1er fils de Jacob FREUD, qui a près de 40 ans et d’Amalia âgée à peine de 20 ans lorsqu’elle épouse Jacob. Jacob a été marié avant

une psychopathologie purement descriptive, une conception analytique et dynamique de celle-ci s’efforce de mieux comprendre le fonctionnement psychique, normal ou pathologique de l’être humain. Méthode d’investigation privilégiée du psychisme, la psychanalyse fait ensuite appel à un corpus théorique explicatif issu des découvertes de Freud et des recherches de ses successeurs. Elle se propose également de libérer l’individu de ses entraves psychologiques et de soulager son mal-être et sa souffrance

souci c’est d’interpréter le terrain. C’est la raison pour laquelle il s’intéresse aux démarches formelles de la théologie, du marxisme et de la psychanalyse. Tous les 3 modélisent pour éclairer la construction d’une réalité : réalité de la terre pour les géologues, réalité des gps sociaux pour le marxisme, réalité du psychisme de l’individu pour la psychanalyse. Il a très vite l’intuition que le monde est construit selon des structures implicites que l’esprit peut découvrir s’il les examine avec méthode

l’inconscient ................................................................. 15 2.1. Introduction............................................................................................................................................ 15 2.2. La psychanalyse comme psychologie du sujet ........................................................................... 15 2.2.1. La découverte freudienne .........................................................................................................

aucun organe lésé → trauma psychologique. 3- Naissance de la psychopathologie: Psycho: psychisme, Patho: souffrance, maladie, Logie: étude. La psychopathologie est donc l'étude des troubles psychiques (différent de la psychologie). En France, c'est Ribot qui introduit la psychopathologie. La psychologie se sépare alors de la philosophie. A partir de la naissance psychopathologie, on reconnaît un continuum entre le normal et le pathologique. Chacun peut un jour décompensé et être atteint

rejoint Marx et surtout Freud, ses contemporains, qui placent la responsabilité de l’Homme dans la société dans laquelle il vit et le déresponsabilisent en quelque sorte de ses actes par la psychanalyse, qui commence à être connue à cette époque. Freud va déresponsabiliser l’individu par le biais de la psychanalyse. La découverte de l’inconscient va permettre cette révolution. Certains automatismes, comme marcher ou parler, deviennent inconscients lorsque l’habitude s’installe. Si un individu est habitué