Psychisme

conduit irréprochablement à la fatalité. L'homme est impuissant face à l'inconscient. -Nous sommes en quelques sorte victime de notre inconscient car comme nous ne pouvons pas la controler , elle peut agir sur nous. Vu que qu'une partie de notre psychisme est inconscient et influe sur notre comportement, par conséquent , ses actions agissent indépendament de nous. Nous sommes donc victime de notre inconscient II) L'inscient n'introduit pas la fatalité dans la vie de l'homme. a) L'inconscient c'est

dernier doit donc lui rappeler qu’il est soumis au secret professionnel pour instaurer une réelle confiance avec lui. Le psychologue peut, dès lors, utiliser la neutralité bienveillante à l’égard de son patient pour que celui-ci puisse sonder son psychisme, et parvienne à s’interroger sur son acte et sur ses conséquences auprès de son entourage et des victimes. Le patient doit, à travers son histoire, reconstituer les erreurs qu’il a pu commettre et les raisons qui l’ont poussé à passer à l’acte

la psychanalyse commence avec les travaux de Joseph Breuer puis par ceux de Sigmund Freud et se continue de nos jours, même si plusieurs théories concurrentes ont vu le jour. Freud, à la fin du XIXe siècle élabora une théorie selon laquelle notre psychisme est dépendant de sa partie enfouie où affluent nos pulsions et s'enfouissent nos refoulements: c’est l’inconscient. Il est formé des désirs et d’idées qui ont été refoulé par la censure. Dans les conflits qu’il existe entre conscient et inconscient

première topique en 1900, dans "L'interprétation des rêves". Il divise l'appareil psychique en trois parties. La première, l'Inconscient, est constituée des contenus refoulés, qu'on ne peut connaître directement. C'est la partie la plus étendue du psychisme, puisque la quasi-totalité des activités psychiques sont inconsciente. C'est dans l'Inconscient que sont enfouies nos idées et nos désirs qui, à notre insu, déterminent une grande partie de nos actions. Ensuite, il fait état d'un lieu tampon entre

facteurs extérieur. En effet, on ne choisit pas de ne pas être soi-même, ce n'est pas volontaire. En revanche, on va croire, à cause de l'alcool ou de l'hypnose, que nous n'étions pas nous même alors que nous avons juste perdu le contrôle de notre psychisme et de notre métabolisme. En somme, être soi-même consiste en une étape irréversible de notre vie, mais en étant nous-même est-ce que nous nous connaissons vraiment ?

fondement de toute société et sans doute l'une des choses les plus pénibles que la société demande à l'individu. Freud va à présent expliquer comment l'individu arrive à se dompter soi-même. Parenthèse-Quelques notions Freud explique que le psychisme de l'homme est constitué de trois éléments : le ça, le moi et le sur-moi le ça, ce sont toutes les pulsions que l'homme a en lui. Cela comprend le suicide, le viol, le meurtre, les fantasmes incestueux ainsi que leur réalisations, etc... en

Pour Descartes, l’esprit s’identifiait avec la conscience sans possibilité d’erreur. Mais Freud va élaborer le concept de l’inconscient qui est à la fois psychique et distincte de la conscience. Pour Freud, l’inconscient est une instance du psychisme dont on ignore tout et qui se manifeste par différents effets. En 1900, Freud va élaboré sa première thèse, il distingue l’inconscient et le préconscient. L’inconscient est un système profond constitué de contenus refoulés qui n’ont pu avoir accès

conscient et volontaire, un et unifié, ne serait qu'un préjugé, typique de la tradition grecque et chrétienne. La contestation vient aussi de la psychanalyse. Freud (1856-1939), partant de l'étude des souffrances psychologiques, pose l'activité d'un psychisme inconscient opérant à l'insu du sujet réfléchi. La pensée consciente n'aurait pas la toute puissance que la tradition philosophique, morale, et religieuse, lui prête. Il y aurait, en tout homme, dès l'enfance, des images, des souvenirs et des pensées

part, elle est légitime. En même temps, la volonté d’une démarche scientifique est nettement affirmée, il emploie la notion d’inconscient comme hypothèse et a recours à l’observation de faits, tels que les actes manqués. Jusqu'à Freud, l’idée de psychisme était strictement analogue à celle de conscience. Freud rappelle lui-même la portée de cette interprétation : tout acte psychique bénéficie du témoignage de la conscience. La position de Freud, au contraire, est la suivante : il y a des actes psychologiques

au « moi ». Rater ça, alors que le texte est très explicite sur ce point, est un contre-sens à la fois facile à éviter (donc impardonnable) et lourd de conséquences, car c'est prendre la partie pour le tout (le moi conscient pour la totalité du psychisme) – et c'est précisément ce que critique Freud dans le texte. L'homme, quelque rabaissé qu'il soit au-dehors, se sent souverain dans sa propre âme. Il s'est forgé quelque part, au cœur de son moi, un organe de contrôle qui surveille si ses propres