Psychologie De Meursault

L’Étranger, Albert Camus (1942) Roman | ■ Un personnage-narrateur, Meursault, vivant en Algérie française reçoit un télégramme lui annonçant que sa mère vient de mourir, se rend à l’asile de vieillards de Marengo près d’Alger et assiste aux funérailles sans prendre l’attitude de circonstance que l’on attend d’un fils endeuillé (ne pleure pas, ne veut pas simuler un chagrin qu'il ne ressent pas) Un dimanche, Meursault, Raymond et Masson se promènent sur la plage, et croisent un groupe d'Arabes

Individu qui joue un rôle plus ou moins important dans un récit. Le personnage est une notion difficile à cerner. Dans le roman traditionnel, il est assimilé à une personne : ses traits naissent de l'imagination d'un écrivain (personnage fictif, ex. : Meursault dans l'Étranger, d'Albert Camus) ou sont empruntés à l'histoire (personnage historique, ex. : Richelieu dans les Trois Mousquetaires, d'Alexandre Dumas). Souvent, il présente une nature mixte, lorsque l'auteur, s'inspirant d'un personnage ayant véritablement

d’Albert Camus se manifestent dans la première pièce de thêatre d’Eugène Ionesco (1909-1994), intitulée la Cantatrice Chauve, rédigée en 1950. Cette pièce de thêatre de l’absurde, pour refléter la pensée existentialiste, expose l’absurdité de la psychologie des personnages et l’illogisme à travers les actions des personnages. D’abord, la pensée existentialiste de Camus est illustrée à travers l’aspect psychologique des personnages. D’une part, le personnage du pompier est présenté comme

l’abbé Grégoire – 16 Pluviose an II (4 février 1794) : sans lendemain. 1848 : abolition sous l’impulsion de Victor Schoelcher. I. La demande en mariage (du début jusqu'à « dès qu'elle le voudrait ») Marie qui est depuis peu la maîtresse de Meursault, exprime dans ce passage le désir de l'épouser. C'est l'occasion d'une confrontation de deux conceptions de la vie. 1. Une écriture désincarnée : La phrase : caractérisée par sa brieveté, et par la platitude syntaxique. Hormis les hypothétiques

Alors que dans les deux textes suivants, la nature est moins décrite, ceci est dû au fait qu’ils soient des auteurs du XX ème siècle, ils appartiennent au mouvement de l’absurde. En effet, ils s’attardent donc d’avantages sur les sentiments et la psychologie des personnages. Par exemple, pour le texte de Malraux, nous savons juste que la scène se déroule dans la ville «  building », alors que nous en connaissons énormément sur les ressentis et les mouvements du personnage ; Tchen : «  angoisse » ;

le lecteur plonge immédiatement dans « la tête » du personnage principal, Meursault. On ressent alors une espèce de malaise face aux pensées et aux actes d’un personnage déroutant. Qu’est-ce qui rend cet incipit original ? Afin de répondre à cette problématique, nous étudierons cet extrait en deux temps : en premier lieu, nous nous intéresserons à la narration; puis en second lieu, au personnage et à sa psychologie. 1. Une narration singulière 2. Un personnage particulier 1. Une narration

Nous lisons tous des romans. Si l’on varie le genre de roman on peut parfois observer que le héro ne réussit pas tout le temps. En revanche, le personnage possède toujours : des caractéristiques, un portrait, une fonction et un certain degré de psychologie. C’est pourquoi nous pouvons nous demander si un héro de roman doit-il forcément réussir pour exister et avoir sa place dans son roman. Soit, y-a-t-il d’autres moyens pour lui d’exister ? Nous analyserons ce sujet dans un plan constitué

mariage raté de Thérèse Desqueyroux qui excuse presque son crime, et même rend Meursault, pourtant criminel, héroïque, qui acquiert enfin un destin romanesque avec les coups de révolver « frappés sur la 1 porte du malheur » dit le texte de Camus. A ce moment-là même les lecteurs ne s’étant senti aucune sympathie pour ce petit fonctionnaire blanc à la vie monotone et devenu meurtrier d’arabe, peuvent s’identifier à Meursault dès lors qu’il est placé en position de victime. Plus largement, il se fait

Individu qui joue un rôle plus ou moins important dans un récit. Le personnage est une notion difficile à cerner. Dans le roman traditionnel, il est assimilé à une personne : ses traits naissent de l'imagination d'un écrivain (personnage fictif, ex. : Meursault dans l'Étranger, d'Albert Camus) ou sont empruntés à l'histoire (personnage historique, ex. : Richelieu dans les Trois Mousquetaires, d'Alexandre Dumas). Souvent, il présente une nature mixte, lorsque l'auteur, s'inspirant d'un personnage ayant véritablement

saisir d'un sujet brûlant et de le mettre en scène, jusque dans ses plus insupportables contradictions" J.C Lebrun L'Humanité. 14 octobre 2005 Khadra, comme l'auteur de L'Etranger, cherche l'explication des destins imperceptibles aux autres. Comme Meursault, comme Caligula, l'innocent Amine, au bout de son chemin, est condamné à mort. "Privé, comme l'écrivait Camus, des souvenirs d'une patrie perdue ou de l'espoir d'une terre promise." L'Attentat est une tragédie antique, et son héros, "le fruit vénéneux