Psychologie Personnages Dom Juan

obéit à des raisons institutionnelles, à des rapports de pouvoir, y compris pour les sociologues, qui ont fait beaucoup de mal à ce niveau-là. P Ducalet : les services documentaires des centres de formation ont une appétence très forte pour la psychologie, puis la sociologie. Ils sont passés d'une vision monolithique à une autre vision monolithique. Il nous apparaît que la plupart du temps les difficultés des enfants étaient détectées avant l'âge de 5 ans. Après, il y a plus ou moins une forme d'adaptation

Médiques).Sophocle ( 495-406) choisit des sujets mythologiques. 7 pièces nous sont parvenues qui ont inspiré Anouilh, Cocteau ou Giraudoux : Antigone , Electre , Oedipe-Roi. Euripide ( 480-406) est le premier à affiner la psychologie des personnages et à les humaniser. Il met en scène des sujets mythologiques : Electre-Médée-Iphigénie en Aulide…) -Le grand auteur comique est Aristophane ( 445 av J-C). Il raille les politiciens , les démagogues , les hommes de lois , les citoyens dans

père et fils. Vous rédigerez une synthèse objective et ordonnée des documents suivants. • Document n°1. : Extrait de Totem et tabou (IV, 5), de Sigmund Freud, Gallimard, 1913 (traduction Samuel Jankélévitch). • Document n°2 : Extrait de Dom Juan, de Molière, 1665. • Document n°3. Extrait de Mémoire de ma mémoire, de Gérard Chaliand, Julliard, 2003. • Document n°4. Saturne dévorant un de ses enfants, tableau de Francisco Goya, entre1819 et 1823. • Document n°1. : Au début du

dominants sont : la poésie et le théâtre. Shakespeare est l’emblème de ce théâtre baroque. Pièces à machines, théâtre dans le théâtre traduisent cette esthétique baroque où rêve et réalité se confondent. C’est l’épanouissement du libertinage dont Dom Juan est l’emblème : libre penseur, il se révolte contre Dieu. Contexte historique : les guerres de religion ont bouleversé les idéaux humanistes et détruit l’unité de la Chrétienté ; la révolution copernicienne a fait prendre conscience à l’humanité

libertinage. * Le libertinage : Dom Juan (un libertin). Pascal réunit, prend des notes mais ne termine pas car il meurt. Sa belle sœur et son père les éditent quand même  « Les pensées ». Thème de ce texte : La place de l’homme dans l’univers. PASCAL s’adresse à un libertin.  Libertinage = philosophie que refuse l’obéissance à toutes institutions.  Ex de libertin : Dom Juan. Au 17e siècle, le libertinage

arrangé tout cela ». Sa tirade finale décrit avec philosophie la différence des conditions comme une épreuve. Il annonce qu’un navire emmènera bientôt les personnages à Athènes. La pièce s’achève sur une scène dansée et chantée à l’italienne, où des esclaves célèbrent leur libération : « La vertu seule a droit de plaire » . Quels sont les personnages dans L’île des esclaves ? Iphicrate : Iphicrate est le maître d’Arlequin, décrit par ce dernier comme un galant ridicule. En grec, son nom signifie « celui

Platon définit le misanthrope comme : « celui qui, après des désillusions, prend en haine tous les hommes, et finit pas croire qu’on ne peut rien trouver d’honnête chez aucun d’eux. » Cet âpre désespoir s’incarne chez les Anciens en plusieurs personnages illustres : Antoine chez Plutarque qui songe à se retirer seul près de Pharos ; Timon d’Athènes, qui refuse tout commerce avec les hommes. Timon, préfigurant les pensées d’Alceste, aurait dit un jour : « Je hais les méchants, parce qu’ils sont méchants

caractérise par l'absence de narrateur primaire (1). En sorte que la seule instance disponible pour un PDV est le person nage. Encore faut-il préciser que nombre d'exemples de PDV du personnage relèvent de contextes narratifs à la troisième personne (Banfield 1995, Rabatel 1998), alors que les tours de parole des personnages renvoient à l'énonciation personnelle, ce qui limite énormément les PDV hétérodiégétiques, le texte de théâtre reposant rarement sur le plan d'énonciation historique, sauf dans quelques

mensonge, normalement. Alors, dans quel but falsifier la parole et les faits ? La pièce met en scène un quatuor, sur la trame « A aime B mais doit épouser C, qui aime D ». Ce canevas va donner lieu à un empilement de ruses, mises en place par les personnages pour parvenir à leurs fins, et connaître, dans ce but, les véritables mobiles et sentiments des autres. Si le ressort théâtral, et sa capacité à déclencher le rire, sont bien connus, faut-il s’arrêter à ce premier effet ? Les enjeux de la mise en

didentification le lecteur entre peu peu dans la peau du personnage dont il lit ou voit les aventures. Le cas le plus flagrant est sans doute ici celui du roman ou des BD daventures (type Indiana Jones, ou Bob Morane) le hros runit en lui toutes les vertus auxquelles le lecteur doit aspirer. La littrature, dautre part, offre lavantage indniable de faire rencontrer dautres hommes pas des tres de chair, certes, mais des personnages dont la psychologie est parfois si complexe quils nont rien envier ceux