Psychosomatique psychanalytique

famille de la noblesse. Il a été élevé avec sa sœur par trois gouvernantes (Grouscha, Nania et Miss Owen). Il faut savoir que de nombreux membres de sa famille étaient atteints de troubles mentaux. Notamment sa mère, qui avait divers troubles psychosomatiques, et son père, qui était dépressif et passait le plus clair de son temps dans des sanatoriums. Dès l’âge de 10 ans, Sergueï présente des signes de névroses. Il est ensuite tombé dans une profonde dépression suite à une gonorrhée contractée à l’âge

médecin dans la cour des philosophes A priori, il peut sembler étrange d’étudier Freud dans un cours de philosophie. Sigmund Freud (1856-1939) est un médecin, dont l’oeuvre part d’une analyse de l’hystérie et de la névrose, càd de ces maladies psychosomatiques, où l’on peut observer des symptômes physiques, mais où il est impossible de trouver des lésions organiques responsables de ces symptômes. Son but est d’expliquer, de comprendre et de soigner des maladies qui résistent aux thérapies traditionnelles

les autres, de s’intéresser à la signification et à l’origine d’un comportement, et de croire que partager ses difficultés avec autrui est bénéfique. Concepts apparentés : - Insight ou introspection : renvoi davantage au champ théorique psychanalytique. Intelligence psycho est le précurseur - Intelligence émotionnelle : habileté à saisir ses propres sentiments et ceux des autres. Utiliser cette info pour guider les CPT et les pensées. - Mindfulness : pleine conscience. Attention aux stimuli

comporte tout symptôme (écart à la norme, éventuellement mesuré statistiquement, anomalie à réduire), mais sur le versant de la souffrance qui s'y exprime, troisièmement, même s'il peut entrer dans telle ou telle catégorie particulière d'un savoir psychanalytique (phobie, symptôme hystérique, obsessions), c'est dans sa singularité qu'il pourra être entendu et dénoué : la résolution du symptôme et sa dissolution ne font qu'un, comme le formule Freud dans l'interprétation des rêves, en en imputant la découverte

générale que l’on peut esquisser à partir des textes psychologiques et psychosomatiques de cette période semble néanmoins nettement kleinienne. Mélanie Klein elle-même déterminait la question fondamentale de son approche comme étant celle de l’angoisse et des destins de l’angoisse. Et à l’instar de Mélanie Klein, Winnicott semble d’abord s’intéresser aux questions de l’angoisse dans les troubles psychiques et les affections psychosomatiques des enfants. Le fait de gigoter (la bougeotte), de même que les

pratiques addictives aux substances psychoactives à l’adolescence UEP Pratiques socio-éducatives Licence 3 de Psychologie GROULT Fanny N° étudiant : 21412632 Sommaire Introduction p.3 L’adolescence, une période de transition p.4 Une vision psychanalytique de l’addiction p.6 Les substances psychoactives p.8 Consommation de substances psychoactives chez les jeunes p.10 Les pratiques socio éducatives p.11 Les programmes de prévention p.14 Conclusion p.16 Bibliographie p.17 Introduction

insiste sur l'importance du feedback que le thérapeute facilite, "sans lequel le théâtre spontané ne serait qu'un aimable divertissement". Dr J.L. Moreno a vécu longtemps à Vienne où il a rencontré Freud, mais il n’a jamais adhéré aux thèses psychanalytiques. Il a toujours reproché à Freud de n'executer ses analyses que dans son bureau, contrairement à ce que Moreno prônera toute sa vie, dans l'environnement du patient. Pour Dr J.L. Moreno, les mots ne suffisent pas. Freud dit : "Que s'est-il passé

la monotone procédure suggestive". La régression temporelle permet de retrouver l'origine des symptômes: Une scène traumatique oubliée. La reviviscence canalise alors le "quantum d'affect" utilisé pour entretenir le symptôme. La théorie psychanalytique doit ses principaux concepts à sa pratique. Ce sont les suggestions post-hypnotiques qui démontrent à Freud l'existence de l'inconscient. La méthode cathartique l'oriente sur l'importance des traumatismes passés dans la genèse des névroses

position de Descartes (1596-1650) 12  Dualisme entre le corps et l’âme  L’esprit immatériel et le corps matériel interagissent de façon causal : les événements mentaux causent des évènements physiques, et inversement: ancêtre de la psychosomatique.  Sa méthode : il faut douter de tout pour établir toutes les vérités qui ne résistent pas au doute.  Cogito ergo sum – Je pense donc je suis : le monde matériel n'est qu'une occasion de penser, il ne constitue pas le réel auquel

celles-ci disparaissent lorsqu’elle se rappelle avec extériorisation affective (larmes et pleurs) à quelle occasion ces symptômes sont apparus pour la première fois : on peut parler d’évocation libératrice. L’hystérie est alors dite maladie psychosomatique = qui concerne «à la fois » le corps soma et l’esprit psyché, dont on insiste donc sur l’entremêlement ici, l’impossible (?) départage… Et on va pouvoir en comprendre la logique, y retrouver un sens. Ce qui manque de sens du point