Puis Je Ignorer Ce Que Je Désire

l’art a considérablement changé le mode de pensée de l’homme. L’homme cherche à extérioriser ses émotions, sentiments grâce à celui-ci. Selon Hegel, l’art est la manifestation du désir de production de soi-même dans les choses extérieures. En effet, de l’homme de Neandertal[i] à l’Homo Sapiens, l’homme a toujours désiré laisser son empreinte sur le monde extérieur. L’auteur ou l’artiste, à travers son œuvre, extériorise cette volonté. Mais, cette tranche de la population n’est pas nombreuse. Certains

(Émile Chartier, dit) "L'amour comme un vertige, comme un sacrifice, et comme le dernier mot de tout." Alain-Fournier (Henri Alban Fournier, dit) "Il y a l'amour [...] Et puis il y a la vie, son ennemie." Jean Anouilh "Si Dieu avait voulu que l'amour soit éternel [...] il se serait arrangé pour que les conditions du désir le demeurent." Jean Anouilh "La haine, comme l'amour, se nourrit des plus petites choses, tout lui va." Honoré de Balzac "Les gens qui aiment ne doutent de rien, ou doutent

est amoureux de la comtesse ; par ailleurs la tendresse de la comtesse pour le page est explicite dés la scène 1 de l'acte II. Aussi les obstacles au mariage de Figaro et de Suzanne sont-ils d'une part l'abus de pouvoir du comte et d'autre part le désir de Marceline. Le Mariage de Figaro est bien l'intrigue principale mais l'on ne sait pas qui sera son épouse. Ces différentes intrigues donnent lieu à plusieurs stratégies : Celle de Figaro, dirigée contre le comte , exposée dans un court monologue

réellement l'immortalité car notre espèce est mortelle). Tous ces sens peuvent être pris en compte. Vouloir : c'est un des termes clefs du sujet. Vouloir ce n'est pas désirer. La volonté est la faculté de se déterminer en se représentant le but à atteindre, pour des raisons ou des motifs. La volonté suppose donc une activité de la raison. Le désir, au contraire, peut être animé par des mobiles c'est à dire des déterminations affectives, passionnelles Le sens du problème Le verbe pouvoir a deux sens : "

amoureux de la comtesse ; par ailleurs la tendresse de la comtesse pour le page est explicite dés la scène 1 de l'acte II.   Aussi les obstacles au mariage de Figaro et de Suzanne sont-ils d'une part l'abus de pouvoir du comte et d'autre part le désir de Marceline. Le Mariage de Figaro est bien l'intrigue principale mais l'on ne sait pas qui sera son épouse.   Ces différentes intrigues donnent lieu à plusieurs stratégies : Celle de Figaro, dirigée contre le comte , exposée dans un court monologue

après, ce qui lui permettra de demeurer fidèle à son défunt époux, Hector, prince troyen. Hermione, promise à Pyrrhus et follement amoureuse de ce dernier, apprend la nouvelle de ce mariage et, poussée par la jalousie et un désir de vengeance, demande à Oreste de tuer Pyrrhus. Puis survient le face à face entre Hermione et Pyrrhus au cours duquel ce dernier se justifie et lui avoue qu’il aime Andromaque et qu’il s’apprête à l’épouser. Blessée dans son orgueil, Hermione le supplie de retarder ce mariage

lui-même. Vient ensuite la problématique, une question directe, avant l’annonce du plan : les deux axes du développement, les « cibles » et la « stratégie argumentative ». Dans ce passage Voltaire accuse de façon générale les chrétiens, puis il attaque plus particulièrement les catholiques, enfin c’est la société entière qu’il blâme pour son indifférence. Voltaire rappelle, au début du texte, tous les excès qui ont marqué l’histoire du christianisme. Son argument est souligné

caractère   d’écriture,   lettres,   alphabet  »  ;   puis   «  texte   écrit   en   général,  inscription,  livre  de  comptes,  registre,  liste  de  noms  »  ;  puis  «  papiers  ou   documents   de   toutes   sortes,   livre,   traité,   article   d’un   traité,   clause   d’une   convention  »  ;  puis  «  règles  écrites  (par  opposition  à  la  coutume)

Cela signifie que la méchanceté ne peut être que le fruit de l’ignorance, toujours le fait d’un défaut d’information, d’un défaut de formation philosophie parce que celui qui commet l’injustice ne le fait jamais de son propre gré, mais parce qu’il ignore les conséquences négatives pour lui-même, il se condamne à être malheureux. Socrate est condamné à mort en -399. Platon en est complètement traumatisé. Il se rend compte que non seulement l’erreur a le pouvoir de masquer la justice, mais aussi

chrétienne n’est pas du tout dominante ; au contraire, les chrétiens sont persécutés et se cachent. Le principal personnage de la pièce, Cipriano (Cyprien), ne connaît rien de la religion chrétienne. On ne peut lui reprocher d’enfreindre une loi qu’il ignore. D’ailleurs, contrairement à Faust, Cipriano revient de son erreur. Une fois qu’il comprend que le Démon est un maître trompeur, au lieu de sombrer dans le désespoir comme Faust, Cipriano se détourne fermement de la voie dans laquelle il était engagé