Puis Je Juger La Culture

perse, une symphonie romantique, un masque africain, un vers du théâtre classique, entre mille autres exemples. Non seulement ces objets sont qualitativement différents (certains sont matériels, d'autres non), non seulement ils appartiennent à des cultures parfois sans rapport les unes avec les autres, mais les intentions qui ont présidé à leur production ne sont guère comparables : rendre gloire à un dieu, éloigner les mauvais esprits, célébrer la grandeur d'un roi, etc. Ces intentions nous sont souvent

fondement de la vie sociale et de la civilisation. Il serait possible de penser que l’un de ces deux aspects prime sur l’autre et le détermine. N’existe-t-il un « sens de la justice , un sens du juste » universelle qui nous rend apte à évaluer et juger les décisions et actions ? Pour voir cela, nous allons voir tout d'abord que le juste peut avoir une définition littéraire universelle à l'origine de la loi et du droit. En deuxième temps, nous verrons qu'au contraire, le juste ne peux avoir de définition

pouvons être certains est celui que la guerre a façonnée la culture – en tout cas la culture occidentale – depuis les origines. L’essayiste et journaliste suédois Stefan Jonsson l’exprime ainsi : « La culture occidentale remonte à deux textes fondateurs qui décrivent des guerres de conquête dans le moindre détail – L’Iliade et L’Enéide. Ces épopées ont, pendant des siècles, été considérées comme des modèles de comportement humain. Puis l’archétype du chevalier à marqué l’idéal occidental – vie saine

établissement. Ce lieu nous était inconnu et nous a mis en difficulté pour repérer le but de notre analyse. C’est pour cela que nous avons effectué une seconde observation qui nous a permis de cerner le thème choisi pour notre compte rendu. Nos cultures médiatique et télévisuelle nous a conduites à avoir des préjugés sur le lieu, le type de personnes jugées et leurs comportements lors des jugements. Avant de pénétrer dans cette établissement, nous pensions que le lieu était plutôt stricte, formel

2010 au vendredi 19 mars 2010 La culture L’art Que nous donnent à voir les œuvres d’arts ? | | - Penser l’art n’a de sens qu’en prenant acte des œuvres d’art, réalité matérielle : savoir jusqu’à quel point elles peuvent être pensée au-delà de toute utilité pratique. Quelle est la finalité de l’art ? Parler de la finalité de l’art, c’est entendre la finalité des œuvres d’art elles-mêmes. Qu’attend-on des œuvres d’art ? • Kant, Critique de la faculté de juger : rendre compte de ce qu’est l’esthétique

notre caractère. Enfin, "ce que je suis" désigne aussi ma culture, mes habitudes, ma vie sociale. Chaque être humain répond donc de lui-même en se rendant responsable de tous les éléments qui le constituent. Cette responsabilité n'est néanmoins possible que si l'être humain possède une certaine maturité. En effet, un jeune enfant ne peut se sentir responsable de ce qu'il est car il dépend entièrement de sa famille. Ainsi, on ne peut juger un enfant trop jeune responsable d'avoir été maladroit ou

Bonheur. Inventant chaque jours de nouveaux stratagèmes pour s’en rapprocher, l’homme s’est fait sa propre image du bonheur parfait. Mais quelle est cette image ? Comment peut on juger si le bonheur d’autrui est véritable ou ne l’est pas? Nous allons tout d’abord cerner ce que le mot bonheur signifie pour les hommes puis, voir en quoi la liberté ou son contraire manifeste un état de bonheur. Sommes nous tous heureux pour la même chose ? Cela ne varie-t-il pas avec notre vie et notre passé ?

notre comportement ? Nous exploiterons ces questions au cours de cette dissertation. Nous verrons dans un premier temps qu'avec le principe de supériorité il peut n'y avoir aucune remise en question. Ensuite nous aborderons notre perception des choses, puis les retournements de situation possible grâce à la remise en question ainsi que les conditions de vie. Enfin nous constaterons que la remise en question rend possible le fait d'agir pour le mieux, vis-à-vis de soi-même et des autres. Si l'on méprise

hommes se sont associés et ont appris à vivre ensemble. Comment l’homme a-t-il été contraint à vivre en société ? Dans un deuxième temps, nous montrerons que l’homme, bien qu’être civilisé, peut être tout à fait le contraire, être qualifié de barbare. Puis enfin, nous ferons la synthèse de cela afin de démontrer que l’homme est un être civilisé alors que dans certaines situations il ne l’est pas. Notions Le terme « civilisation » comporte deux sens. On peut définir la civilisation comme un ensemble

vivre dans un monde uniquement forgé par notre propre opinion et ne pas prendre en compte celui des autres ? Pour y répondre nous commencerons par expliquer le fait qu'il est nécessaire qu'un individu ait sa propre opinion pour raisonner par lui-même, puis nous démontrerons que les autres peuvent lui permettre de se remettre en question et d'approfondir ses pensées, de se trouver réellement. Pour terminer nous nous questionnerions pour savoir si l'opinion divise les populations ou au contraire les rapproche