Puisqu'il faut vivre

possible pour lui de vivre dans un monde beau comme il l’aurait voulu. On sait que c’était une volonté puisqu’il emploie les mots « bien peu », ce qui montre qu’il aurait préféré ou pensé avoir plus que cela. De plus, « il reste en [son] jardin bien peu de fruits vermeils ». Il connaît tout de même de « brillants soleils ». C’est donc un été bouleversé par les intempéries qu’installe Baudelaire dans le premier quatrain de son poème. Cette saison est associée à son enfance, puisqu’il commence sa strophe

envie de se procurer. On désire lorsque nos besoins naturels ne nous satisfont pas. Lorsque l’on désire, nous avons conscience de ce besoin ; il nous permet de nous affirmer en tant que personne. Il est naturel de désirer, mais selon Schopenhauer, il faut supprimer toute forme de désir afin de se contente du minimum et de ne pas être attiré par la culture, qui favorise le désir. On peut avoir besoin de ce qu’on ne désire pas et on peut désirer ce dont on n’a pas besoin. Il est nécessaire et vital

qui nous unit à la nécessité. Comme l'animal, l'homme doit se tourner vers la nature pour y trouver sa nourriture ; être de besoins, l'homme doit passer une grande partie de son temps à pourvoir à ces derniers ; comme on dit : "Nous travaillons pour vivre".    Pourtant, si le travail consistait uniquement à satisfaire nos besoins, nous pourrions rapidement cesser de travailler pour, enfin, ne rien faire! Mais qu'entend-on par là ? Que voulons-nous dire quand nous disons que ce que nous souhaitons,

qui nous unit à la nécessité. Comme l'animal, l'homme doit se tourner vers la nature pour y trouver sa nourriture ; être de besoins, l'homme doit passer une grande partie de son temps à pourvoir à ces derniers ; comme on dit : "Nous travaillons pour vivre".Pourtant, si le travail consistait uniquement à satisfaire nos besoins, nous pourrions rapidement cesser de travailler pour, enfin, ne rien faire! Mais qu'entend-on par là ? Que voulons-nous dire quand nous disons que ce que nous souhaitons, c'est

lois, même si elles sont indispensables à notre vie quotidienne peuvent nous nuire, puis nous analyserons quand est-ce qu’il est possible de désobéir. Tout d’abord, obéir aux lois est un devoir pour chaque citoyen car elle nous permet de mieux vivre en société sans nuire autrui, en organisant la vie en commun. En effet, la violence de l’Etat fait naître le besoin de règles qui fixent des limites aux caprices de chacun et ouvre la voie à une coexistence pacifique au sein de la communauté humaine

alors, à cause de cette diversité culturelle, faut-il renoncer à parler d'une humanité ? Ou bien, au contraire, existe-t-il un principe d’unité de l’espèce par delà les différences culturelles ? Et si tel est le cas, comment penser un tel principe ? Est-il extérieur à la pluralité des cultures et s’agit-il d’une nature première et originaire de l’homme, antérieure à toute culture, comme semble l’être la détermination biologique, ou bien au contraire ne faut-il pas le rechercher au sein même des différences

qu'il devient poète, car il est poète, et même poète lyrique (…). C'est la vie terrestre triomphante que son réalisme ne cesse de dépeindre". Les textes fantaisistes et comiques de Rabelais délivrent ainsi un message plus sérieux, comme affirmer qu'il faut goûter à la vie, et rire, "pour ce que rire est le propre de l'homme". Cette représentation de la création littéraire s'exprime dans ses ouvrages d'abord par la joie et les plaisirs du corps, dépeins de manière crue et comique tout au long des textes

Pour bien le comprendre, il faut d’abord expliquer ce qu’est la nature. En effet celle ci peut avoir de multiples et differentes defenitions. Par exemple, la nature physique, la nature humaine, la nature vu par la religion (la creation du monde) et les lois de la nature. En fonction de la defenition que l’on donne, l’expression peut avoir un sens different. Beaucoup de philosophes ont parler de la nature comme Aristote, Platon ou encore Jean Jacques Rousseau. Puisqu’il decider de defendre mais aussi

exemple, la fidélité, dans une relation, le couple sait ce qu’est la fidélité mais doit ensuite l’appliquer. On ne pourrait pas se contenter de seulement une contemplation de la philosophie puisqu’il faut aussi en discuter ou en faire une réflexion du sujet philosophique pour bien comprendre ce que c’est. Il faut faire des raisonnements puisque c’est grâce à ceux-ci que l’on découvre plus. L’auteur nous dit aussi, dans sa définition : « (…) qui a la vie pour objet, (…) », qu’est-ce qu’il veut dire

l’autonomisation de « l’élève ». Vivre, c’est s’installer dans un rapport de force. Nous ne sommes pas toujours rationnels. Nous sommes parfois dirigés par des pulsions, des passions, des désirs, des pensées inconscientes. Nous possédons une capacité de réflexion. Se poser la question, c’est émettre un doute, et donc, penser par soi-même.L’Education est ambigüe car : elle enseigne la liberté, qui nous permet de remettre en cause la société, mais elle nous apprend à nous insérer et vivre dans cette même société