Pulsions

des pulsions – pulsions sexuelles et pulsions du Moi – puis de distinguer principe de plaisir et principe de réalité. Avec l’étude des Mémoires du président Schreber et Pour introduire le narcissisme, il aborda certains problèmes touchant à la pathologie psychotique, paranoïaque ou schizophrénique. Par la suite, il formula une seconde topique – Moi, Surmoi, Ça – (précisant qu’une partie du Moi demeurait dans l’inconscient), et aussi un nouveau système de pulsions – pulsions de vie et pulsions de mort

bonheur : Etat de satisfaction parfaite, de contentement du corps, du coeur et de l'esprit. but : 1. Terme vers lequel on tend. 2. Représentation qu'on a de ce terme (Synonyme dessein, intention, visée, fin). 3. But d'une pulsion (psychanalyse) : activité à laquelle pousse la pulsion et aboutissant à une résolution de la tension interne (le coït). existence : Par opposition à néant: le fait d'être ou d'exister. Par opposition à essence: mode d'être de l'homme, en tant qu'il ne se laisse enfermer dans

qu'au moi et au surmoi. Les pulsions du ça ne sont pas disposées à rester inconscientes. Elles sont naturellement et en permanence à vouloir pénétrer dans le conscient pour s'y satisfaire et essayent d'envoyer vers la surface du conscient certains de leurs dérivés. Pour les éléments refoulés du ça, l'analyste est un auxiliaire et un libérateur. Dans la mesure où les instances du moi se sont appliquées, à l'aide de leurs méthodes propres, à refréner les pulsions du ça, l'analyste apparaît comme

représentation du corps (portage, massages, peau à peau…). Selon S. Freud : S. Freud définie trois instances. Le « CA », est un réservoir pulsionnel. Le « MOI », est une instance moïque canalisant le « ça » et le « surmoi », elle gère les pulsions plus ou moins maitrisées. Elle créer des mécanismes de défense. Le « SURMOI », est l’intériorisation des interdits et des exigences. S. Freud propose trois stades qui sont: Stade oral. Le stade oral est selon ma compréhension, un stade où

qu'inspire la civilisation ». 3 Y a-t-il un progrès humain comme il y a un progrès technique ? • Freud est le père de la psychanalyse, cette «psychologie des profondeurs». Dès 1920, il met l'accent sur la pulsion de mort (Thanatos), puissance destructrice inhérente à la nature humaine et sur la pulsion de vie (Éros), force créatrice. Pessimiste quant à la capacité de l'homme de s'améliorer (il a vécu la Première Guerre mondiale, la montée du nazisme en Autriche qui l'oblige à quitter Vienne et à s'exiler

groupe désire vivre selon le principe de plaisir, c'est-à-dire satisfaire ses désirs, ce que permet de faire de façon hallucinatoire le rêve. Le ça est donc d'autant plus présent dans le groupe qu'il est envahi par la multiplicité et la diversité des pulsions libidinales de chacun des membres du groupe. Pour tenir compte du principe de réalité, le Moi archaïque désigne un leader, ou bien le Moi commun considéré comme autonome vont permettre le sens critique du groupe et son autorégulation. Un Surmoi

ne seront pas aidantes pour Maxime. À cet âge, ils ne possèdent aucun jugement moral. Si Maxime mort son ami, il le fait sans se douter que c’est mal. Les enfants avant 3 ans, ne comprennent pas le bien et le mal. Son comportement dépend de ses pulsions et de son milieu. Maxime n’a pas encore appris que mordre un ami c’est mal et que caresser un ami c’est bien. Donc si l’éducatrice assoit Maxime sur une chaise pendant 3 minutes et lui demande de s’excuser auprès de l’enfant mordu, il n’aura pas

de l’enfant commençant a la fin du stade anal. Elle est refoulé durant toute la période de latence pour ressurgir ou non a la puberté en névrose constitué. La névrose infantile est organisatrice de la vie pulsionnelle de l’enfant, pour Freud les pulsions partielles anales, orales et phalliques doivent s’unifier au court de celles-ci. Avant la maturité génitale, l’enfant est inachevé sur la plan sexuel, il passe par un développement psycho-sexuel (stade oral, anal, phallique, position paranoïde-schizoïde

bizarres qu’on ne savait pas soigner « les hystéries ». Freud remet en question le normal et le pathologique. En effet pour lui nous sommes tous des névrotiques ainsi la barrière entre raison et folie est mince, ce qui nous permet de contenir nos pulsions est du à une meilleure construction, dans notre histoire, de nos barrières psychiques. Le normal Le pathologique - Conflits - hystérie - Auto reproche - névrose obsessionnelle - Rancune - paranoïa - Deuil - délire Les différents stades

sont ni des animaux occupés à satisfaire leurs besoins et leurs envies, ni de purs esprits guidés par leur volonté rationnelle. L’homme, comme le dit Pascal, n’est « ni homme ni bête », c’est un être de désir. Sans doute est il d’abord animé par des pulsions et par des besoins d’origine corporelle, mais il éprouve aussi des désirs. Le désir n’est pas réductible à un besoin organique. Exemples : désir amoureux, de gloire, de richesse, de puissance, de sagesse ou de savoir. De plus, le besoin peut