Purdah

n'étaient pas cachés, obligation est faite aux femmes de porter des lunettes de soleil ou de cacher leurs yeux à l'aide d'un morceau de tissu fin permettant de voir sans être vues. Ce voile intégral accentue ainsi violemment la tradition séculaire du purdah[3]. Le philosophe Abdennour Bidar juge que le port de la burqa outrepasse largement cette tradition et qu’il ne se fonde sur aucune prescription coranique, y préférant pour sa part le voile laissant à découvert le visage, voire l’absence de tout voile

n'étaient pas cachés, obligation est faite aux femmes de porter des lunettes de soleil ou de cacher leurs yeux à l'aide d'un morceau de tissu fin permettant de voir sans être vues. Ce voile intégral accentue ainsi violemment la tradition séculaire du purdah (pratique empêchant les hommes de voir les femmes). Cependant Les salafistes, tenant d'un islam radical, restent minoritaires en France. Ils seraient entre 30000 et 50000. Mais ils progressent régulièrement, dopés par leur opposition à l'Occident

cours de la période médiévale4,12 avec la banalisation dans certaines communités des coutumes du suicide rituel, du mariage forcé et l'interdiction pour les veuves de se remarier. Les conquêtes musulmanes des Indes s'accompagnèrent de la pratique du purdah. Chez les Rajputs du Rajasthan, on pratiquait le Jauhar. Dans certaines provinces de l'Inde, les prêtresses Devadasis furent rabaissées au rang de prostituées. La polygamie se répandit chez les princes Hindous de la caste des Kshatriya22. Dans les

réfugiés. L'exemple des femmes pakistanaises est à cet égard frappant : nombre d'entre elles sont soignées pour des problèmes rénaux, car elles n'osent pas sortir de leur tente dans la journée pour se rendre aux toilettes. En effet, les normes du purdah (isolement des femmes) n'y sont pas toujours respectées. Toujours pour des raisons culturelles, elles ne conçoivent pas d’être examinées par du personnel soignant masculin. Il n'est pas inutile de se tourner vers les femmes humanitaires dans ce type

B. B. Le voile islamique: symbole de la pudeur et de la préservation II. Tradition: l'irreligiosité dans l'origine du voile intégral | A. Des sources historiques mais pas religieuses: La Purdah B. La burqa en France III. La burqa en France: Reflexion sur un débat d'Ethique ou d'étiquette Institut des Droits de l'Homme 23, place Carnot - 69286 Lyon Cedex 02 04.72.32.50.50   En France, pays laïc et garant de

Kopf rasiert mit Perücke (Scheitle), Kopftuch (Tichl) als Frau ausdrückt wie bei den Juden, oder mit einem Kopftuch, Schleier wie bei den Moslems, oder Hut, Kopftuch wie bei manchen Christen, oder einen Turban wie bei den indischen Sikhs, oder den Purdah (Schleier) wie bei den Hindu, ist alleine ihre Sache. Es gibt verschiedene Formen der Demütigung für eine Frau, aber es gibt nur ein Argument: der Schleier für die Muslime. Aber auf der anderen Seite, ich wurde mich beschämt fühlen, wenn ich in meiner

n'étaient pas cachés, obligation est faite aux femmes de porter des lunettes de soleil ou de cacher leurs yeux à l'aide d'un morceau de tissu fin permettant de voir sans être vues. Ce voile intégral accentue ainsi violemment la tradition séculaire du purdah[ ](pratique empêchant les hommes de voir les femmes). Cependant Les salafistes, tenant d'un islam radical, restent minoritaires en France. Ils seraient entre 30 000 et 50 000. Mais ils progressent régulièrement, dopés par leur opposition à l'Occident

n'étaient pas cachés, obligation est faite aux femmes de porter des lunettes de soleil ou de cacher leurs yeux à l'aide d'un morceau de tissu fin permettant de voir sans être vues. Ce voile intégral accentue ainsi violemment la tradition séculaire du purdah[3]. Le philosophe Abdennour Bidar juge que le port de la burqa outrepasse largement cette tradition et qu’il ne se fonde sur aucune prescription coranique, y préférant pour sa part le voile laissant à découvert le visage, voire l’absence de tout voile

tous les hommes libres du califat sont musulmans. Le califat compte de nombreuses écoles pour garçons (seules les filles de l’aristocratie en bénéficient et la pratique pour les femmes de vivre en recluses commence à être adoptée : on appelle cela le purdah). 2 Sokoto est un Etat très prospère tout au long du XIX e siècle : commerce, agriculture (millet et sorgho), artisanat (textile notamment, en particulier l'indigo). Société esclavagiste avec système de razzias des peuples non musulmans situés

subissaient la plupart du temps la pression des proches et de la famille et n’avaient pas vraiment le choix et parfois, étaient même contraintes de le faire par la force. Les conquêtes musulmanes apportèrent également avec elles la pratique du purdah (recouvrement du corps pour empêcher les hommes de voir le corps des femmes comprenant burqa, …) mais celle-ci est (presque) tombée en désuétude dans la communauté hindouiste. C’est seulement au 19ème siècle que la situation recommence à s’améliorer