Pythie

il accomplit de nombreux exploits, comme par exemple en délivrant Delphes du dragon Python qu'il tua avec ses flèches. Cette victoire lui valut le surnom d'Apollon Pythien, il donna également son nom aux jeux Pythiques de Delphes et à la prêtresse Pythie. Celle-ci était assise sur le trépied sacré d'Apollon, dans le sanctuaire du dieu et elle prononçait des oracles. Le péan, hymne sacré à la gloire d'Apollon, fut chanté pour la première fois à l'occasion de sa grande victoire et de l'acquisition du

offrandes votives Le chaudron ou trépied est au départ un ustensile de cuisine dans lequel on fait bouillir la viande. Mais comme il est en bronze, il devient rapidement un objet de valeur à offrir à la divinité, au point de devenir le symbole de la Pythie à Delphes. Celle-ci est d'ailleurs assise sur un trépied. On retrouve un nombre impressionnant de marmites à Olympie et à Delphes et en Étrurie Le bronze est travaillé à la technique du martelage (la feuille est martelée sur une âme en bois dont

Il brosse de Britannicus une image peu flatteuse, il noircit son ancien maître jusqu’à le rendre coupable. Agrippine l’ignore tout à fait et s’adresse directement à son fils pour le mettre en garde contre des conseillers aussi fourbes. Tel une pythie, Agrippine se projette dans le futur. Elle se voit comme la prochaine victime de Néron. Mais elle le prévient que même morte tout lui rappellera son souvenir. Elle lui prédit que ses crimes ne le laisseront pas en repos. Après avoir annoncé ce que

attisera l'imaginaire des artistes aussi bien que la convoitise des envieux. Et c'est sur une histoire d'Hérodote que nous finirons cette analyse ; « Moins d'un an après l'achèvement du trésor, les Siphniens qui avaient mal interprété un oracle de la pythie, virent leur île ravagée et leur population massacrée par les Samiens» Paradoxe d'un monde où la piété divine ne met jamais totalement à l’abri des entreprises humaines. Bibliographie  ANDONICOS Manolis, Delphes, Ekdotike Athenon S.A.

juge. Monarchie Tyrannie Démocratie Justice rendu directement et cela aux nom de Thémis déesse de la justice. Aussi les juges qui assistaient le roi sous la monarchie portaient le nom de thémistes. La volonté des de Thémis ce donnais par les Pythies femmes qui communiquait avec la Déesse. Dracon 621 avt J-C tyrannie création d'un code pénal qui prévois une peine à tout les crimes. La législation n'est plus divine mais humaine. Solon 593 avt J-C => ouverture vers la démocratie par la création

Puis-je savoir qui je suis ? " Connais-toi toi-même " : cette inscription placée sur le fronton du temple de la pythie de Delphes est très célèbre. Cependant cette devise delphique, qu'on attribua à tort à Socrate, n'était pas un encouragement à une connaissance psychologique de soi, mais un rappel à l'ordre. Elle avait pour but de remémorer aux individus qu'ils n'étaient que des mortels : elle invitait les voyageurs à la prise de conscience de leurs propres limites. On oublie d'ailleurs que cette

l’acropole, elle est aussi responsable des Arrhéphores et des festivités religieuse dans liée à son culte.Importance des médiatrices entre les hommes et le dieux -> les prophétesse sont entretiennent un liens encore plus étroit avec le divin -> la Pythie de Delphes, officie dans le temple d’Apollon -> elle délivre la parole des dieux.A contrario de la vie citoyennes les femmes ne sont pas exclues des cérémonies religieuse qui rythme la vie de la cité -> interviennent dans la plupart, il existe

qu’un instituteur, un greffier et non un avocat ou un procureur, un médiateur plutôt qu’un censeur. Il peut arriver que le journaliste ne remplisse pas sa mission, en démocratie, parce qu’il prétend jouer un rôle qui n’est pas le sien : celui de la Pythie de Delphes, chargée de transmettre les oracles des dieux, plutôt que celui de la vigie, apparemment moins glorieux, chargée de surveiller le large, en observation dans la mâture ou à la proue du navire. Là réside à la fois la grandeur et les limites

Antigone et Ismène. Ils vieillissent paisiblement quand soudain s’abat la peste sur le pays. La pièce de Sophocle commence à peu près à ce moment. Le peuple implore Œdipe d’agir. Celui-ci demande de l’aide à son oncle Créon et l’envoie consulter la Pythie. L’oracle révèle qu’Apollon est en colère, qu’il cherche le meurtrier de Laïos. Œdipe a fait appeler Tirésias pour connaître la raison de ce maux. Le devin, sous la contrainte, lui fait connaître la vérité mais Œdipe se fâche, il ne le croit pas

destin, s’il doit garder son efficace et sa puissance, doit demeurer obscur. Il doit prendre corps dans des mots pour se manifester aux hommes et leur rappeler sa redoutable puissance, mais ces mots doivent rester obscurs, avec la complicité des pythies, oracles, et autres sibylles… On a ainsi affaire à une formidable esthétique de l’obscurité, de l’ambiguïté, de l’oblique dans la mise en scène, moins du destin, que de la parole du destin. Bilan Cet épisode ouvre véritablement la pièce, en mettant