Pythie

Nature est ensuite comparée à une forêt. Baudelaire envisage l’univers perceptible par nos sens. La Nature est évoquée sous la forme du temple, lieu de communication privilégié entre notre existence et l’au-delà. Baudelaire renvoie peut-être à la pythie de Delphes dont les propos obscurs pour le commun des mortels étaient compréhensibles seulement pour les prêtres (le poète) qui les traduisaient à destination des fidèles. Le premier quatrain est bâti sur la double métaphore filée du temple et de

métèques (« ceux qui vivent avec »), et sont honorés au titre de citoyens extérieurs à Athènes. Les Grecs avaient estimé qu’ils formaient une communauté plus large et qu’ils devaient se réunir, comme à Delphes, pour se faire soigner ou pour consulter la Pythie. On peut aussi citer Olympie et ses jeux, qui permettaient de donner le sentiment d’appartenir à une communauté plus large, de l’ensemble du monde hellénique. Ils se réunissaient aussi en cas de crise, notamment quand des rois tentaient d’envahir

folie de le piquer. Hercule devint fou et avec son arc, il tua ses enfants. Après s'être rendu compte de son crime, Hercule s'en alla, désespéré, à Delphes pour interroger Apollon, le dieu des arts. Le dieu lui répondit, par l'intermédiaire de la pythie que, pour se repentir, il devrait servir pendant douze années, son cousin Eurysthée, roi de Tyranthe. Hercule se rendit donc voir son cousin qui lui ordonna d'accomplir douze travaux. 1) Le lion de Némée (Lion) 2) L'hydre de Lerne (Cancer) 3) La

des travailleurs. en Inde (d'après Aristocratès dans son histoire des Spartiates) : rencontre avec les Gymnosophistes. Retour à Sparte où il est rappelé ► décide de composer une constitution. Il se rend à Delphes pour interroger Apollon par la Pythie, son oracle. A son retour à Sparte : convoque les trente citoyens les plus importants sur l'agora, qui l'aident à composer sa constituion, "la grande Rhêtra". II/ La Grande Rhêtra connu par deux textes : Tyrtée : poète grec du 7ème siècle. Origine

lui portait un mystérieux amour, elle qui a un an l’avait conduit au Liban, auprès de l’hiérophante du temple d’Adonaï, qui lui avait prédit combien il serait grand… Ils s’exilèrent en Grèce, dans le lieu le plus saint, là où prophétisait la Pythie à Delphes. Il fut initié aux mystères de la divination du culte solaire par la jeune Théocléa du collège des prêtres d’Apollon. Vers 40 ans, il s’installa à Crotone, ville florissante située, en Calabre à l’extrémité du golfe de Tarente en

destin, s’il doit garder son efficace et sa puissance, doit demeurer obscur. Il doit prendre corps dans des mots pour se manifester aux hommes et leur rappeler sa redoutable puissance, mais ces mots doivent rester obscurs, avec la complicité des pythies, oracles, et autres sibylles… On a ainsi affaire à une formidable esthétique de l’obscurité, de l’ambiguïté, de l’oblique dans la mise en scène, moins du destin, que de la parole du destin. Bilan Cet épisode ouvre véritablement la pièce, en mettant

« sévère »: les Tyrranoctones: ceux qui ont éliminés les tyrans d'Athènes. Il y a un mouvement dans l'espace tout en étant figé. Possèdent une musculature juvénile. La Pythie de Delphes: transmettait la parole de Dieu. l' « Aurige de Delphes »: il tient les rennes. Il était accompagné d'un complexe de chevaux. C'est une offrande à la Pythie. Les yeux sont remplis de verre pour lui donner une impression de réalité. Le sculpteur savait que les chevaux cachaient la partie inférieure du vêtement donc il s'est

Peut-on se connaître soi-même ? « Peut-on se connaître soi-même ? ». Cette question n’est pas sans rappeler la célèbre injonction inscrite sur le temple de la Pythie à Delphes dont l’intitulé exacte est « Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les Dieux ». Ce précepte est un appel à la sagesse hautement paradoxal. Il s’agit en effet d’un appel à la sagesse puisque pour les philosophes grecs antiques, la connaissance de soi-même est synonyme de sagesse. Le caractère hautement

Ses « souvenirs » prennent un poids, une matérialité, à travers son verbe. « Et mes chers souvenirs sont plus lourds que des rocs ». L’allitération en *r+ mime ce raclement du réel recréé. Le poète devin voit le passé et l’avenir (Tirésias, ou la pythie de Delphes). Effet d’attente, pendant toute une strophe (la 4ème, v.13 à 16 : le lecteur attend le complément, c’est-à-dire la vision du poète. L’adverbe de lieu : « Là », et surtout le passage du présent d’énonciation au passé simple, créent cet

DM Mythologie Le mythe de Persée Eirini LEONTIDM MythologieLe Mythe de PerséeLe mythe grec de Persée. Après une présentation rapide des sources qui nous le font connaître, vous définirez très précisément à quel type de mythe il appartient et en proposerez une interprétation à différents niveaux, et tâcherez de définir pourquoi ce mythe a eu une grande postérité dans la littérature et les arts jusqu’à aujourd’hui. Le mythe de PerséeQuand le roi argien, Acrisios, voulait connaître son destin par rapport