Pélléas Et Mélisande Maeterlinck

pédag. GF - Le Grand Meaulnes - Page 7 — Z48105$$$1 — 18.04 7 ces belles impressions que vous voudriez me communiquer directement. Je ne veux avoir affaire qu’à des événements 1. » Marqué par le symbolisme de Régnier, puis de Rimbaud, Laforgue, Maeterlinck, l’auteur du Grand Meaulnes souhaite dès 1905 « être romancier, et surtout poète 2 ». Cette ambiguïté révèle le désir d’explorer une voie médiane. La poésie l’emporte d’abord, mais un mot de Gide frappe bientôt Fournier : « Ce n’est plus le temps

querelle des Littératures du Nord et du Midi ouverte par Mme de Stael, la période du Symbolisme avaient été marquée d’un fait nouveau : l’apport d’une importante « brigade » d’écrivains belges à la poésie française. Avant 1914, les noms de Maurice MAETERLINCK et d’Emile VERHAEREN s’imposent au 1er plan tandis que, parmi les autres poètes d’expression française, le Lithuanien Milosz n’est connu que de petits cercles et que, vivant déjà à Paris, l’Autrichien RILKE est encore simple secrétaire de RODIN

plus qu'il ne dit. Les symbolistes œuvrent pour une poésie affranchie de la plupart des règles classiques. La poésie sera fluide, musicale et incantatoire. Le roman: Contes cruels d'Auguste de Villiers de l'Isle‑Adam. Le théâtre : Pélléas et Mélisande de Maurice Maeterlinck. Ubu Roi d'Alfred Jarry. La poésie: Les Complaintes de Jules Laforgue. Poésies de Stéphane Mallarmé. Une Saison en enfer, les Illuminations d'Arthur Rimbaud LE DECADENTISME Courant d'idées, qui naît à la fin du XIXe siècle, le

busnach germinal 1889 Maeterlinck la princesse maleine henry céard les résignés zola madeleine ancey les inséparables Claudel tête d'or 1890 Maeterlinck l'intruse Maeterlinck les aveugles Maeterlinck les revenants Rachilde la voix du sang 1891 ancey la dupe Dujardin Antonia Rachilde madame la mort Sardou thermidor 1892 Eugène Brieux Blanchette Claudel la jeune fille violaine François de Curel l'envers d'une sainte Maeterlinck pelléas et Mélisande Dujardin le chevalier du

importante pour le XXème siècle. Importance du symbole découvert en France grâce à la dramaturgie de Wagner. Mauclair et Dujardin rêvent d’un théâtre qui incarnerait les grands archétypes au travers de figure symboliques surhumaines. Certains comme Maeterlinck ou Saint-Pol Roux cherchent à redonner au théâtre une dimension liturgique. Pourtant, pour qu’un théâtre sacré puisse exister, il faudrait une métaphysique collective commune à la scène et à la salle, ce qui n’est depuis longtemps plus le cas. De

Le Déjeuner sur l'herbe » au Salon des Refusés. En 1907, Pablo PICASSO entraîne l'art pictural loin de la représentation du monde réel avec « Les Demoiselles d'Avignon ». Dans le domaine musical, en 1902, la représentation du drame lyrique « Pelléas et Mélisande » de Claude DEBUSSY donne lieu à une véritable cabale de la part des critiques : «… Un tel art est malsain et malfaisant… (cette musique) nous dissout parce qu'elle est ellemême dissolution. Existant aussi peu que possible, elle tend à la diminution

Gustave Kahn (l’inventeur du « vers libre »), Henri de Régnier, Vielé-Griffin, les belges Verhaeren et Maeterlinck, mais aussi le jeune André Gide (André Walser, 1891) furent d’ardents symbolistes. Bien que la poésie et le roman soient leurs modes d’expression privilégiés, les symbolistes s’emparèrent progressivement de la scène, avec des pièces de Maurice Maeterlinck (l’Intruse, 1890; Pelléas et Mélisande, 1892), de Paul Claudel (Tête d’or, 1890), de Villiers de l’Isle-Adam (Axel, 1894) ou encore de Saint-Pol

Texte 6 : La tirade de Suzanne (première partie, scène 3) • Texte 7 : Antoine contre son frère (deuxième partie, scène 3) Parcours de lecture Crise personnelle, crise familiale • Texte 8 : Int�rieur de Maeterlinck, (les tergiversations du vieillard) Lecture cursive • L’Intruse de Maurice Maeterlinck • Le Voyageur sans bagage de Jean Anouilh • Incendies de Wajdi Mouawad La litt�rature d’id�es du XVIème au XVIIIème siècle D�claration des droits de la femme et de la citoyenne d’Olympe de Gouges Parcours

on la rencontre, déconcertante." Héraclite, Fragments. "Ne cherchez pas la faute, cherchez le remède." Henry Ford. "On se trompe toujours lorsqu'on ne ferme pas les yeux pour pardonner ou pour mieux regarder en soi-même." M. Maeterlinck, Pelléas et Mélisande. "Le bon est celui qui se sent à moitié responsable des actions du méchant." Khalil Gibran, Le sable et l'écume. "Si le juge était juste, peut-être le criminel ne serait pas coupable." F. Dostoïevsky, Les frères Karamazov.

LITTERATURE DU XIX SIECLELE THEATRE FRANCAISE AU XIX SIECLEBIBLIOGRAPHIE · Victor Hugo , Hernani , éd. G. Gengembre, Paris, Pocket, 2009 · Victor Hugo, Ruy Blas , éd. G. Rosa, Paris, Librairie Générale Française, 1994 · Musset, On ne badine pas avec l’amour , éd. F. Lestringat, Paris, Flammarion, 1999 · Labiche, un chapeau de paille d’Italie