Qu Est Ce Qui Plait Dans La Tragédie

Il nous apparaît "pâle, livide, le sang appauvri, la bouche livide, fiévreux". Sa lucidité paroxystique lui fait voir de manière exacerbée la souffrance de l'humanité, les guerres et les maladies qui la ravagent incessamment. Impuissant devant la tragédie humaine, il devient désespéré puis il déchaîne sa violence contre Dieu. 3. Maldoror le violent frénétique Maldoror devient alors un symbole infernal. Etre protéiforme, il se transforme en aigle, en poulpe, en grillon d'égout ou en cygne noir

Napoléon. Au château, le jeune homme gagne rapidement le cœur des enfants et il prend l'habitude de passer ses soirées d'été en compagnie de Mme de Rênal qu'il surprend agréablement lorsqu'elle tente de lui faire un cadeau. La fierté du jeune homme plaît à cette provinciale rêveuse, qui tombe amoureuse de lui sans s'en rendre compte. Mais le tempérament fier et ombrageux de Julien va bientôt tout gâcher : il refuse une augmentation de salaire proposée par Monsieur de Rênal et repousse les avances d'Élisa

L’indifférence est l’absence d’imagination morale ; la cruauté est une imagination immorale. Quant à la pitié non interventionniste, elle n’est possible que dans des cas limites comme devant le monde animal d’une part (reportage animaliers) ou une tragédie d’autre part (spectateur), où nous n’avons pas à intervenir. Sinon, dans le registre des rapports humains, la pitié non agissante ne suffirait pas et serait considérée devant la loi comme une « non assistance à personne en danger », cad serait punie

imitent et la fiction oppose un univers falsifié imaginaire ( la plus fausse des facultés) à la réalité atteinte par la raison. L'art est un décalque du concret, lui-même copie des essences et le poète se présente comme un moraliste, notamment dans la tragédie grecque ou il chante la démesure, ( l'ubris) qui s'oppose à la notion centrale de la morale grecque, la métrion, la mesure. Or, si l'artiste imite, il ne peut en aucun cas parvenir à l'intellection du vrai puisque l'imagination est déréalisante.

mauvais usage de cette technique. L’autorité de la parole en question : quel est le type de discours légitime ? La parole poétique (I) – la parole judiciaire et politique (II) – la parole rationnelle (III) I) La parole poétique (mythe / épopée / tragédie) : le discours de l’aède ou du tragédien est-il légitime pour fonder la culture commune de la Cité ? A – Le rôle traditionnel du poète, médiateur de la parole divine ; caractère sacré du discours poétique, porteur d’une vérité communiquée

rengainer sa moralité. Mais le feuilleton provoqua un scandale, Louis Ulbach dénonçant, dans “Le Figaro”, l'invasion de «la littérature putride» qui ne décrivait que des scènes obscènes. On traita Zola d'«égoutier», de «misérable hystérique qui se plaît à étaler des pornographies». Puis le livre fut publié en librairie. Devant l'indignation de nouveau suscitée, Zola, lors de la seconde édition (1868), ajouta une préface où il défendait l'aspect scientifique de sa méthode en faisant l'apologie du

coup du destin. S'offre à nous un conte de fée où tous les éléments du merveilleux inondent de magie cette scène de bal. Cependant, on peut s'étonner qu'une ombre funeste plane sur le couple, on trouve alors une mise en scène qui relève de la tragédie. Dans une société de Cour où les apparences sont primordiales et trompeuses, la rencontre s'avère être un piège. La fatalité fait partie des invités conviés à ce bal orchestré. L'amour entre la princesse et de M de Nemours jaillit du regard. En

La Fontaine reprend le genre et le sujet d’Esope, mais il apporte des nouveautés pour créer une œuvre originale et personnelle. Il choisit la forme versifiée, utilise le discours direct, rend la scène plus vivante, presque théâtrale. Ce qui lui plait, dans la fable, c’est de pouvoir transmettre une leçon à travers des récits comiques où les vices et les défauts des hommes (ici, la crédulité) sont représentés par des personnages ridicules. - lecture de Perrault : quel thème nouveau introduit-il

interpréter comme un refus du monde réel. Le beau ne correspond pas à un concept. Ne pas confondre le beau et l’agréable, l’agréable s’adresse uniquement à mes sens, tandis que le beau touche aussi à mon intelligence. Selon Kant « le beau est ce qui plait universellement et sans concept » : je ne peux donc fournir aucun concept pour exprimer la beauté d’une chose. Le langage ne peut donc pas rendre compte du beau qui réside dans l’Art ou dans la Nature. Kant distingue la beauté adhérente (jugement

d'imiter. 3 CHAPITRE IV: Origine de la poésie, - Divisions primitives de la poésie. Epopée; poésie ïambique (ou satirique). - Origine de la tragédie et de la comédie. - Premiers progrès de la tragédie. 4 CHAPITRE V: Définition de la comédie; ses premiers progrès. - Comparaison de la tragédie et de l'épopée. 5 CHAPITRE VI: Définition de la tragédie. - Détermination des parties dont elle se compose. - Importance relative de ces parties. 6 CHAPITRE VII: De l'étendue de l'action. 8 CHAPITRE