Quantitative Easing

Théorie quantitative de la monnaie de Milton Friedman Introduction : Milton Friedman est un économiste américain né le 31 juillet 1912 à New York et mort le 16 novembre 2006 à San Francisco, considéré comme l'un des économistes les plus influents du XXe siècle[1]. Titulaire du prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d'Alfred Nobel (couramment appelé prix Nobel d'économie) de l'année 1976[2],[3], il a été un ardent défenseur du libéralisme. Il a travaillé sur des domaines

déterminer le niveau général des prix a travers la théorie quantitative de la monnaie.  Selon cette théorie, toute variation de la quantité de la monnaie entraîne une variation dans le même sens du niveau général des prix. La confrontation de cette offre de monnaie exogène est une demande de monnaie entièrement déterminée par la valeur des transactions s'exprime par l'équation de la durée quantitative: MV=PT  Cette équation fonde la théorie quantitative de la monnaie: si le volume des transactions et la

La théorie quantitative de la monnaie Selon la théorie quantitative de la monnaie, une variation de la quantité de monnaie entraîne de même sens du niveau général des prix. La quantité de monnaie détermine directement le niveau des prix. Cette théorie est développée par plusieurs d’auteurs dans différents pays. Il y a deux façons pour expliquer la théorie quantitative de la monnaie. Une par la théorie classique (John Hicks en particulier) qui ont formalisé la théorie quantitative à partir d'une

Corrigé type TD Economie Page 62 1. Irving Fisher (1867-1947) est connu pour sa formulation de la théorie quantitative de la monnaie selon laquelle un accroissement de la masse monétaire entraîne automatiquement une hausse des prix dès lorsqu’il est supérieur à celui de la production. Cette théorie sera ensuite reprise dès les années 1970 par les monétaristes et Milton Friedman en particulier. 2. Une bulle spéculative en bourse s’était formée en 1929, permise à la fois par la faiblesse des taux

prix réel au prix monétaire. Bodin l’explique par l’équation M (quantité de monnaie disponible dans l’économie) = p (niveau des prix). T (volume des transactions). On explique le prix nominal à partir de la quantité de monnaie. C’est la théorie quantitative de la monnaie, c’est le fondement de la théorie monétaire elle va apporter la possibilité de mesurer en terme monétaire des rapports d’échange. On dit alors que l’approche de ces auteurs Classiques et Néo-Classique c’est une approche dichotomique

 THEORIE  MONETAIRE .................................................................................. 1   CHAPITRE  3   LA  THEORIE  QUANTITATIVE  DE  LA  MONNAIE ................................................................................ 1   I.   Les  différents  versions  de  la  théorie  quantitative  de  la  monnaie.............................................. 1   1.   2.   3.   4.   1.   2.   3.   Des  hypothèses

grand économiste américain, a eu un rôle majeur dans l’histoire des théories et pensées économiques modernes. En effet, il a remis en cause la théorie reine du milieu du XX° siècle ; la théorie keynésienne. Il a donc réintroduit la théorie quantitative de la monnaie qui avait été précédemment abandonnée par les Keynésiens. Effectivement, pour lui la demande de monnaie, qui va influencer les variables réelles, n’est pas déterminée par le taux d’intérêt mais par la richesse des agents. La révolution

différentes. Exemple : « Comparer le quantitativisme monétaire néoclassique et le quantitativisme monétariste ». Dans ce cas, vous devez absolument éviter la démarche suivante : • La Théorie Quantitative de la Monnaie chez les néoclassiques ; • La Théorie Quantitative de la Monnaie chez les monétaristes ; • Similitudes et différences entre les deux. Ici, vous ne traitez pas le sujet, vous examinez chacune des approches, mais vous ne les comparez

relatifs sont fixés par le marché Ceux qui considèrent la monnaie active : elle est intégrée au raisonnement parce qu’elle agit sur les comportements  politiques monétaires possibles I)Le quantitativisme monétaire A)Les prémices de la théorie quantitative Balbutiements au XVIe S, débat entre Bodin et Malestroit au sujet de l’inflation : Malestroit : elle est due à une dépréciation de la monnaie du fait du rognage des pièces Bodin : il considère qu’elle est due à l’afflux d’or provenant d’Amérique

à nier la fonction « réserve de valeur » de la monnaie. 1.1.3 – Le volume de monnaie en circulation peut influencer les prix. La relation entre monnaie et prix s’exprime par la célèbre équation de Fisher, connue sous l’appellation théorie quantitative de la monnaie, dont l’expression est la suivante : M V = P Q Avec : P = prix V = vitesse de la circulation M = Masse monétaire Q = Volume de transaction On considère que V et Q sont constants (au moins à court terme), car ils sont déterminés