Quantitative Easing

price of money – the interest rate. However, in March 2009 the Bank's Monetary Policy Committee announced that in addition to setting Bank Rate, it would start to inject money directly into the economy by purchasing assets - often known as quantitative easing. This means that the instrument of monetary policy shifts towards the quantity of money provided rather than its price. Low inflation is not an end in itself. It is however an important factor in helping to encourage long-term stability in

suivit. Alors qu’elle préconisait d’augmenter les taux, le taux fed funds est resté plutôt stable sur la période considérée. Et depuis 2001, nous avons un taux fed funds inférieur à la règle de Taylor, notamment à cause de la politique du « Quantitative Easing » opéré par A. Greenspan suite aux crises. Toujours selon la « Règle de Taylor », nous devrions avoir aujourd’hui un taux négatif, ce qui est le cas avec le taux quasi-nul de la FED. Encore une fois, s’il est vrai qu’une règle permet certains

politique souvent désignée par l’expression « politique monétaire non conventionnelle ». Il existe trois catégories principales de mesures non-conventionnelles46 : - les mesures d’augmentation massive de la quantité de monnaie (on parle de « Qantitative Easing »). Elles consistent, pour la banque centrale, à offrir sans limitation de la liquidité aux banques de second rang. C’est ce type de mesure qui a valu à Ben Bernanke le surnom de « Helicopter Ben »à partir de l’image d’une banque centrale inondant

économique mondial et ces comportements pèsent sur les monnaies qui ne s'orientent pas vers des dévaluations compétitives. Ainsi la fin de l'année 2010, la sous-évaluation du yuan chinois, la baisse du dollar favorisé par les politiques de quantitative easing ( assouplissement quantitatif ) peut être qualifié de guerre de monnaie, une guerre que paye chèrement l'Europe qui a assisté à une montée de l'euro complètement décorrélé de son activité économique. Ainsi la stabilité hégémonique favorise la

Impact in fine sur le niveau des prix et de la production. Contexte aujourd’hui de crise : dysfonctionnements des canaux de transmission. Nouveaux moyens d’action des BC : communication des BC depuis 2003 (les BC parlent de plus en plus), le quantitative easing : injection de liquidités par le rachat massif de bons du trésor (taux directeur déjà à 0% aux USA donc il faut trouver un nouveau moyen d’agir) la BCE refuse d’utiliser cet outil. I) Le canal du taux d’intérêts. Multiplicité des taux

internationale. En parallèle, a Banque d’Angleterre mène une politique monétaire expansionniste, avec le maintien d’un taux d’intérêt historiquement bas et la mise en place d’une politique monétaire non conventionnelle « d’assouplissement quantitatif » (Quantitative Easing) – achats de bons du Trésor britannique financés par émission monétaire, à hauteur de 375 Md£. Cette politique favorise l’inflation et la dépréciation de la livre. Le Royaume-Uni connaît depuis le début 2013 une nette amélioration de sa situation

exportations y est traditionnellement faible. Impossible de recréer de toute pièce les secteurs industriels délocalisés depuis des années, voire des décennies. En réalité, la nouvelle stratégie d’inondation monétaire inaugurée avec la politique de Quantitative Easing 2 a pour objectif économique de chercher à reflater l’économie américaine. Elle tente aussi de stimuler la valeur des actifs pour redynamiser Wall Street et revaloriser le patrimoine des Américains. Mais, ce n’est sans doute pas tout. Ici, l’histoire

940Md€ en 2008 a 2981Md€ récemment. Suite aux mesures d’urgences, la Fed a entrepris des mesures qui sont quantitatives même si le président Ben Bernanke a qualifier ces dites mesures de « credit easing ». Pour pallier a ces difficultés, la Fed a donc augmenté son bilan en procédant sur son actif avec une forte hausse des réserves des banques. La Fed rend effectif le QE1 ou le « Quantitative easing1 » début 2009 en achetant 300Md$ de titres du Trésor, 1250Md$ de titres MBS (mortgage-backed security)

sera pas limité en taille mais totalement stérilisé 2- Une licence bancaire pour le FESF qui pourrait refinancer ses obligations d’État avec la BCE 3- Un prêt au FMI au profit de la zone euro sous des conditions strictes 4- Une opération de « quantitative easing » (assouplissement quantitatif) pour maintenir les taux d’intérêt sous un seuil prédéterminé. Principales inquiétudes à propos d’une intervention de la BCE Diverses inquiétudes expliquent les réticences des dirigeants politiques allemands et

l’activité s’emballe au risque de faire grimper les prix. A l’inverse lorsqu’elle relève ses taux, l’activité baisse et la croissance baisse. Elle procède à des injections de liquidité régulière. En dernier ressort, elle peut même recourir au quantitative easing. Les CDS : Credit Default Swaps, ce sont des instruments financiers qui permettent de se couvrir contre le défaut de paiement d’un émetteur (entreprise, Etat) contre le paiement d’une prime. Le Credit Crunch, phénomène le plus redouté