Quantitative Easing

canaliser l'offre de monnaie vers un agent dont on est sûr qu'il dépensera : l'Etat via son déficit budgétaire. Les politiques d'achat de titres de la dette publique par la BC représente une des formes les plus utilisées de ce qu'on appelle le quantitative easing. Agir sur la courbe des taux en influençant sur les anticipations : La banque centrale peut s'engager à maintenir son taux directeur à un niveau très bas voire nul pour une période de temps significative et cherche à encrer les anticipations

la croissance, le plein emploi, l'équilibre extérieur. Depuis le début de la crise économique de 2008, les Banques centrales ont de plus en plus recours à des politiques dites non conventionnelles dont l'assouplissement quantitatif (en anglais Quantitative easing). La politique monétaire se distingue de la politique budgétaire. Ces deux politiques interagissent et forment ensemble le Policy-mix. • Les objectifs de la politique monétaire D'après la théorie économique moderne, le but de

soutenir l’activité économique *baisse des taux de base jusqu’à 0% dans l’espoir de faire baisser les taux interbancaires (Z.I.R.P). *Injection massives de monnaie dans l’économie -Accroissement très important de la base monétaire. -Quantitative easing 1.0, 2.0, 3.0… Rachat des dettes des banques commerciales à conditions avantageuses par les banques centrales placés dans des fonds spéciaux. Section n°5 : La crise des dettes publiques I) La crise entraîne des tensions budgétaires Il existe

3 4 485.9 32 Document 48 / En quoi consiste une politique monétaire « non conventionnelle » ? in M. Aglietta, V. Coudert, Le dollar et le système monétaire international, op. cit. « La politique dite « non conventionnelle », ou de quantitative easing mise en place après la crise s’écarte de la politique habituelle essentiellement sur trois points : (1) les taux d’intérêt ont été abaissés à leur plancher de zéro ;(2) la Fed a fourni aux banques et même aux institutions financières non bancaires

et bonheur Doit-on considérer la résorption des déficits publics comme une priorité de politique économique ? 5) Causes et conséquences économiques des paradis fiscaux. 6) Un taux de taxation du revenu de 75% est-il confiscatoire ? 7) Le « quantitative easing » (assouplissement quantitatif de la masse monétaire) 8) Résorption des déficits publics : augmentation de la taxation ou réduction des dépenses ? 9) Quelle est la rationalité économique du recours à la sous-traitance dans les pays à bas coût

réduisant d'une part les effets d'éviction financière et en assurant la soutenabilité des trajectoires de dette publique qui dépend crucialement de l'écart entre le taux de croissance du PIB et le taux d'intérêt. De fait, ces mesures d'assouplissement quantitatives mises en œuvre aux États-Unis et au Japon accompagnent la mise en œuvre de nouveaux plans de relance budgétaire et garantissent ainsi une meilleure coordination des politiques économiques. Si le gouvernement britannique a fait le choix d'une forte

même à propos des prix puisqu’en microéconomique on utilisait des prix relatifs (et non exprimés en unités monétaires). Le problème est là: monnaie grande absente de la doctrine classique. Car la philosophie classique est assimilée à la théorie quantitative de la monnaie, très peu d’évolution, à tel point que classiques et néoclassiques s’accordent pour dire que la monnaie est neutre. Sa fonction principale est de faciliter les échanges, elle est l’intermédiaire, mais reste neutre sur ces échanges:

Banque centrale est prête à acheter. Plus la liste des « titres éligibles » est longue, plus les banques de second rang pourront faire des crédits et inversement. Ainsi, dans le cadre de la politique d'assouplissement des conditions de crédit (« Credit easing »), la Banque centrale se porte acheteuse « de titres représentant des crédits à l'économie : billets de trésorerie, obligations privées, bons hypothécaires... »  En définissant le volume de crédit qu’elle est prête à accorder aux banques pour une

intérieurs (les exportations étant un moteur accessoire). La Réserve fédérale décide donc de déverser des liquidités pour soutenir l'économie. Par exemple, elle augmente la masse monétaire en rachetant des titres de dette de l'Etat fédéral (« quantitative easing »). De la dette disparaît, de la monnaie apparaît. Elle a ainsi décidé de racheter pour 600 milliards de dollars de bons du trésor. S'il y a plus de monnaie, sa valeur baisse (c'est pareil avec les tomates sur le marché). La valeur du dollar

conservée pour elle-même. Dans cette optique, la monnaie remplit bien les 2 fonctions d'intermédiaire des échanges, d'unité de mesure mais la 3ème fonction de réserve de valeur n'est pas reconnue. - Critiques adressées à l'analyse classique: la théorie quantitative de la monnaie s'appuie sur l'hypothèse de la constance de la vitesse de circulation ce qui est difficilement vérifiable. De plus, la dichotomie sphère réelle/sphère monétaire découle du concept de valeur travail... or ce concept est contestable