Quantitative Easing

accommodantes pourraient venir buter sur la volonté de désendettement des ménages et des entreprises ce qui limitera durablement une reprise soutenue du crédit malgré le niveau faible des taux d’intérêt. Si une analyse inspirée de la théorie quantitative de la monnaie justifierait la crainte d’un retour brutal de l’inflation sur le marché des biens et services (la croissance de la masse monétaire déclenche une croissance proportionnelle du niveau général des prix), les forces désinflationnistes

monétaires n'ont pas d'incidence sur les conditions de l'échange. La monnaie est un « voile » derrière lequel « les biens s'échangent contre des biens » (loi de Say) 2(*). Cette formulation devait être formalisée par Irving Fisher dans la théorie quantitative de la monnaie, au terme de laquelle le stock de monnaie ne détermine que le niveau général des prix : la masse monétaire (M) multipliée par sa vitesse de circulation (V) est égale au volume de production (T) multiplié par le niveau général des

les facteurs d’inquiétude quant à l’avenir du dollar sont aujourd’hui nombreux et s’additionnent. Selon Patrick Arthus, plusieurs indicateurs peuvent laisser croire à une poursuite de la dégradation du dollar. Tout d’abord, la politique du « quantitative easing » menée par la Fed depuis des années, et reconduite en 2012 (QE3), soit la facilitation du crédit pour relancer la croissance. Cette augmentation du nombre de dollars en circulation, conjuguée au maintien de taux d’intérêts faibles, entraine

est insuffisant à soutenir seul l'activité économique et la FED a dû consentir à développer d'autres instruments. • L'autre principal instrument développé consiste en l'achat massif d'actifs financiers. En pratique, cette politique dite de "Quantitative Easing - QE" consiste à acheter pour 85 milliards de dollars d'actifs tous les mois (45 milliards de dollars en obligations d'État américain et 40 milliards de dollars en actifs liés au financement immobilier). L'immense afflux de liquidités ainsi

L’inflation peut également soulager le poids de la dette souveraine des états européens mais grâce au mécanisme inverse à celui précédemment explicité : en effet même si la BCE a pour interdiction de monétiser la dette, elle peut pratiquer le quantitative easing c'est-à-dire, racheter de la dette d’un état membre sur le marché secondaire avec pour objectif de faire baisser les taux d’intérêts lorsqu’un pays souhaite se rendetter. Une telle politique crée de l’inflation pour baisser les taux d’intérêts

leur S perdre de sa valeur et pb ds consommation) et baissent la fiscalité. Puis, action au niveau des tx d'intérêts sur le marché monétaire, que l'on va diminuer pour relancer la Demande de crédit de la part des Ê et des Mnages. + « Quantitative Easing » (Banques Centrales créent massivement de la monnaie BC) ==> Pb : coordonner ces deux politiques (pas possible en Europe car politique monétaire est décidée par la BCE als que les politiques budgétaires sont décidées par chaque

cuts? Mr King believes the answer is “yes” and, speaking purely as an economist, he is probably right. Even though short-term interest rates are already near zero, the Bank has many more ways to stimulate demand. By resuming its policy of quantitative easing, the Bank could push interest rates on long-term government bonds, which are still at more than 3 per cent, much nearer to zero. This would reduce fixed mortgage rates and bond rates, encouraging homeowners to borrow and forcing savers to spend

faciliter de refinancement bancaire. Autrement dit, ces dernières vont financer, par la création monétaire, les titres qu'elles rachètent ou les prêts qu'elles accordent à l'ensemble du système financier. C'est ce qu'on appelle une politique de détente quantitative qui va jouer sur la quantité de monnaie en circulation. L'objectif principal de cette troisième mesure est d'éviter l'augmentation des taux d'intérêts longs sur les marchés financiers. Comme les banques centrales achètent des titres, cela permet

financières monétaires.   Les Agrégats Monétaires :         Les Agrégats Monétaires De La Zone Euro :       a La Théorie Entre La Monnaie Et L'Inflation    La quantité de monnaie en circulation -> La hausse généralisée des prix o théorie quantitative de la monnaie (I. Fisher 1867-1947) o théorie monétariste (M. Friedman 1912-2006, Nobel 1976)   Equation des échanges, base des théories monétaires (E.Fisher)     Soit : M = masse monétaire V = vitesse de circulation (constante) P = prix

au Ci. De + EU ont pb macro-éco : désequilibre énormes (dette publique am 88 % du PIB en juin 2010, déficit commercial :39 milliards en oct 2010…). Ces désequilibres st un risque pr le pays , que la po actuelle de la FED accentue : QE1, QE2 (quantitative easing : recours à la planche à billets pr soutenir act éco), + poss selon B Bernanke de recourir à un Qe3 => depreciation $. Csq de la crise éco récente a amené crise du $ : banques am qui créent $ ms qui ont aussi failli faire faillite et dt