Quantitative Easing

créer de la monnaie avec du crédit aux entreprises, aux particuliers. A noter que depuis 2008 la BCE a recommencé à créer de la monnaie en rachetant des actifs aux banques. Aux USA la FED avait commencé à le faire avec ses programmes dits de “quantitative easing”. Ces programmes créent de la monnaie réinjectée dans l’économie via les financements bancaires .... pour autant que cette monnaie ne soit pas utilisée par les banques à leur propre spéculation ... Pourquoi le recours aux marchés financiers ?

budgétaire.  La planche à billets : lorsqu’un pays augmente sa masse monétaire pour effacer son déficit budgétaire, les taux d’intérêts à long terme augmentent, et la devise du pays baisse ; c’est la politique monétaire appliquée au USA avec le Quantitative Easing. CONCLUSION La courbe des taux de rendement est un indicateur économique fondamental puisqu’elle est influencée et influence le niveau de croissance et l’inflation des Etats. Ce sont les missions principales des banques centrales, pourtant

injections de liquidité qui ont été efficaces aux Etats-Unis sont celles qui ont été faites dans les bilans des ménages, pas des banques. Accroître seulement la liquidité des banques n’est pas efficace si le secteur privé veut se désendetter ; le Quantitative Easing traditionnel, qui vise seulement à accroître les réserves excédentaires des banques, n’a pas d’utilité en situation de désendettement du secteur privé. »  qu’après 2009 il n’était plus possible d’agir par la baisse des taux du MIB  que la

différence s'explique également par la politique monétaire : lors de la crise de 2008, la Fed et le gouvernement Obama ont mis en œuvre un quantitative easing et une relance avec un déficit budgétaire accru. En revanche, l'Europe a mis en place une politique budgétaire stricte conforme à la règle d'or et n'a décidé de mettre en place le quantitative easing que le 22 janvier 2015. 3- Le chômage, un phénomène très hétérogène : Depuis la crise des années 1970, les pays de l'OCDE ont connu des tendances

UK)  new policy: doves I) A. Orthodox Methods Changing interest rates Open-market operations Changing reserve requirement: keep percentage of reserve in banks “Now with short term interest rates will stuck near zero….” B. Quantitative easing Lowering exchange of the interest rate when banks exchange with other banks Long-term bonds Reach new equilibrium II) A. Positive consequences Bigger output  lower unemployment Housing market Devaluation of currency  competiveness

autres monnaies). Les américains ont une banque centrale qui n’est pas indépendante et qui permet une policy-mix c’est-à-dire un mélange entre une politique monétaire et une politique budgétaire. Par exemple ils ont décidé de pratiquer la « quantitative easing » (= planche à billet = émission de monnaie) 2.2- Pays à zone monétaire La valeur de la monnaie est fixée par les marchés. La banque centrale est indépendante. Seule les pays de la zone euro se trouve dans cette configuration. La politique

Dans l’histoire, l’empire espagnol puis l’empire britannique ont déjà tenu ce rôle de pôle de consommation et l’on sait ce qu’il advint de ces empires moribonds ! Le déclin de l’empire américain est bien certain. Les émissions de dollars (Quantitative Easing) de 2009 et 2010 n’auront servi qu’à plomber le navire à la dérive. Les agences de notation anglo-saxonnes et les banquiers de Wall Street le savent pertinemment, en 2012 ne soyez pas étonné d’apprendre qu’ils convertissent une partie de leurs

aiment l’inflation Ce débat sur la nécessité d’éviter la déflation masque en réalité des éléments plus fondamentaux. Tout d’abord, au nom de la lutte contre la déflation et la récession, la BCE a suivi la FED en pratiquant une politique de QE (Quantitative easing) consistant à acheter massivement des créances et des obligations d’Etat (60 milliards d’euros par mois) : en clair à créer de la monnaie, et à pratiquer des taux d’intérêt extrêmement faibles. Ces taux d’intérêt bas, ainsi manipulés, permettent

Lorsque les taux nominaux atteignent leur plancher, la banque centrale n’est pas totalement démunie puisqu’elle peut mettre en place une politique monétaire non conventionnelle afin de stimuler par d’autres moyens la demande. On parle alors de quantitative easing. La banque centrale peut jouer sur deux caractéristiques de son bilan, sa taille et sa composition. En injectant massivement des liquidités dans le système bancaire à travers des opérations d’open market (OMO) classiques ou des facilités de

nombreux prêts et aides accordés par les institutions financières et de l'utilisation de la « planche à billets » par les banques centrales. L'expression populaire de « planche à billets » désigne l'assouplissement quantitatif (en anglais, Quantitative Easing) qui correspond à une politique monétaire « non conventionnelle » utilisée par certaines banques centrales dans le but d'injecter des liquidités dans l'économie et plus précisément dans le système bancaire du pays. La qualification de «non conventionnelle»