Quartier des Jacobins

d’impôt. Par conséquent, au sein même du tiers-état l’impôt va peser sur les plus pauvres. Au fil du temps, l’ascension sociale devient relative. En effet, les hautes dignités ecclésiastiques sont réservées à ceux qui peuvent prouver plusieurs quartiers de noblesses. De la même manière, les obstacles à l’anoblissement se multiplient. Tant est si bien que la bourgeoisie, puissante économiquement, souffre d’une totale absence de représentation politique. Par conséquent, cette frustration de la partie

frontières intactes. Ce qui va entrainer des refus, notamment en Vendée, fédéralisme dans le sud-ouest et la Normandie. On a aussi un retour avec les problèmes économiques. Il faut donc redéployer la décentralisation. On a après la centralisation jacobine, une sorte de continuité. Bonaparte n’ayant fait que réaliser un certain nombre de projet et de mise en œuvre qui avait été faite avant lui. Section 1 : L’œuvre de la constituante. (1789-1792) Histoire administrative Page 12 L’assemblée

du refus » exaltation honneur et fidélité. CONCLUSION dès 1815 ancêtres des principaux courants politiques d'aujourd'hui : - droite légitimiste défendra l'AR - droite bonapartiste rêvera d'Empire et véhiculera surtout des idées nationalistes - Jacobins décentralisateurs famille diverse des Républicains - les « Enragés », les « Babouvistes » socialistes. Bourgeoisie triomphante a établi fondements liberté individuelle MAIS question de l'égalité reste posée. SECTION 2 DE LA RESTAURATION AUX DEBUTS

philosophes : « Les anciens domestiques soupçonnaient que [Candide] était fils de la sœur de Monsieur le Baron et d'un bon et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l'injure du temps1. » On perçoit immédiatement, dans la fin de ce premier paragraphe de l'œuvre, le sarcasme moquant le conservatisme social de la noblesse arrogante, certes tel que

mater l'insurrection fédéraliste du Midi. Il s'active à approvisionner l'artillerie en matériel durant l'été 1793. C'est à cette période qu'il rédige le Souper de Beaucaire, pamphlet politique pro-jacobin et anti-fédéraliste. Fin août 1793, alors que Marseille vient d'être reprise par les Républicains jacobins et que la famille Bonaparte s'y installe, Toulon, tenue par les fédéralistes et les royalistes, se livre aux troupes britanniques et espagnoles. Article détaillé : Siège de Toulon (1793).

élections très faible car la vie politique n’est pas encore organisée. A Paris, les députés se retrouvent dans des clubs. L’assemblée législative est divisée en camps: - à droite les feuillants (264 monarchistes constitutionnels) - à gauche les jacobins et les cordeliers (Danton, Mara) - au centre les autres. Conflit qui trouve sa source dans le veto suspensif accordé au roi. En avril 1792, le corps législatif vote la guerre contre l’Autriche. En mais et juin 1792, le roi utilise son veto et

historique multiséculaire qui se comprend par l’évolution de l’état monarchique installé à Paris et qui a développé une monarchie absolue très centralisatrice puis une République qui a repris cette tradition dès la RF et qui explique l’appellation de jacobine (du nom du courant révolutionnaire qui en a assumé l’héritage lors de la réorganisation de la France en 1791). Le poids de Paris est exceptionnel et a longtemps éclipsé les autres grandes agglomérations françaises et les empêchant de jouer un rôle

| |En 1789, les libertés fondamentales sont établies : libertés de presse, de culte, de réunion, d’association. Un esprit nouveau | |souffle sur le pays : on discute de politique à l’Assemblée, mais aussi dans les clubs comme ceux des Jacobins ou des Cordeliers | |à Paris ; un peu partout, les journaux de diverses tendances politiques se multiplient. De 1789 à 1791, l’Assemblée constituante | |élabore la première Constitution française, qui est promulguée en septembre 1791. Le pouvoir

respect, l'amour des races de couleur, l'humanité envers nos collaborateurs d'Asie, d'Afrique, d'Amérique et d'Océanie. Là, semblait-il, M. Sarraut était très fort : fort de la Charte des Droits de l'Homme, fort de la tradition des philanthropes jacobins, fort de toute la métaphysique juridique de la démocratie et de la République, fort même des critiques parfois âpres et vives, que nos colons, nos officiers, nos savants ont adressées à sa méthode trop strictement morale et juridique accordant trop

conceptions politiques qui régissent l'organisation administrative de l'Etat et des collectivités Section 1 : le centralisme la France cultive l'image d'un Etat fortement centralisé c'est à dire que le citoyen a une image bien ancré du centralisme Jacobin : toutes les décisions partent du pouvoir central concentré à Paris. L'aménagement du territoire justifie cette pensée (18% de la population sur 2% du territoire). La France est un Etat de tradition centralisatrice. Un Etat unitaire où les compétences