Que Deviendrait Une Société Sans Artiste

projet créatif numérique 10 ARTISTES • 10 THEMES • 10 MOIS • 10 PSD NOUVEAU PSD PAR MOIS GRATUIT DURANT H Collection réunissant 10 des meilleurs artistes numériques Français. TEN • COLLECTION www.fotolia.fr/ten É DI TO PA R OL E G T S C H E LT Z OF F EDITO par Oleg Tcheltzoff, Président et co-fondateur de Fotolia : « Fotolia lancera la collection TEN le 9 décembre prochain dans les quatorze pays où elle est implantée. TEN, comme 10 artistes, 10 thèmes, 10 mois et 10 PSD

Au fil des années, la poésie a perdu de sa popularité auprès des sociétés. JUsqu’à la fin de la seconde guerre mondiale, la poésie était le moyen le plus efficace, pour diffuser ses idées. Au service d’une cause, la poésie était très utile où l’esthétique devient un argument. Durant l’occupation il y eu une polémique sur les auteurs qui disaient que la poésie était nécessaire, en tant qu’instrument au service d’une cause. Mais Gautier, lui ne voit pas la chose de la même façon « Moi, n’en déplaise

fiction d’apprentissage), à converser sur WhatsApp (organisation, vie privée), à regarder des photos souvenirs, à écouter de la musique (électro, rap, élecro-pop française, rock, dub, reggae), à en rechercher et à en chercher les références et les artistes. J’ai passé en moyenne 1 heure à consulter mon ordinateur par jour. J’y ai écrit des mails, fait des recherches Wikipédia et Google, m’y suis divertie avec des vidéos YouTube (clips, bilans culturels, lifestyle, humour) et y ai regardé des séries

nommons les choses. Mais si les mots, selon la formule de Bergson, ne sont que des étiquettes, peuvent-ils exprimer véritablement la réalité ? Les mots sont-ils fidèles à ce qu´ils désignent ou à ce qu'ils représentent pour celui qui l'énonce ?Et que deviendrait le monde si les choses étaient perçues comme banales, identiques à tous les autres ? Ains nous verrons dans un premier temps que les choses sont utilisées comme moyen pour notre seul besoin, puis dans un second temps que les mots forment une barrière

dans la nature ». Peut-on affirmer de la sorte une totale relativité des goûts, chacun ayant le sien, c’est-à-dire chacun considérant beau ou laid ce qui lui plaît ou déplaît sans se soucier de devoir annoncer le moindre argument ? Dans ce cas, il deviendrait impossible de désigner de grands chefs d’œuvre, de distinguer le beau du laid. Toutefois, on reconnait par ailleurs que l’on peut manquer de goût et que le goût s’éduque. Cela présuppose une norme de goût. L’histoire de l’art est traversée par

dans les Spleens, mettent en scène la mort dans La Mort des amants, des pauvres ou des artistes, et semblent exalter le vice dans les Femmes damnées ou les Litanies de Satan pour ne citer que quelques-uns des poèmes du recueil condamné en 1857 par la justice française ? La maladie, la mort, la monstruosité et le mal en général sont en effet, dans leur morbidité, des objets propres à nourrir l’inspiration des artistes et à fasciner leurs spectateurs. Mais ce parti-pris des « poètes maudits », obéissant

n’était pas fait pour travailler, et que cette tâche était alors réservée aux esclaves. Mais au fil des siècles, le travail est apparu comme une activité indispensable pour l’homme et est aujourd’hui considéré comme une valeur fondamentale dans les sociétés occidentales modernes. Ce caractère omniprésent du travail dans la vie des hommes amorce alors de nombreux questionnements, comme celui de savoir si le travail a le pouvoir de nous faire perdre ou gagner notre vie. Qu’entend-on par perdre et gagner

Ce relativisme prend trois formes : 1. Le relativisme culturel : Norme issue de la société, d’une culture donnée  Pas de beauté en dehors de la norme que l’on a acquise, apprise. Beauté physique : peau blanche au Japon, peu bronzée en Occident. Espagne : Belle corrida, spectacle barbare dans les pays Nordiques.  Beauté normative  Conditionnement culturel  Reflet de l’ethnocentrisme de la société. Le relativisme historique : La beauté serait relative à des circonstances historiques

Ce relativisme prend trois formes : 1. Le relativisme culturel : Norme issue de la société, d’une culture donnée  Pas de beauté en dehors de la norme que l’on a acquise, apprise. Beauté physique : peau blanche au Japon, peu bronzée en Occident. Espagne : Belle corrida, spectacle barbare dans les pays Nordiques.  Beauté normative  Conditionnement culturel  Reflet de l’ethnocentrisme de la société. Le relativisme historique : La beauté serait relative à des circonstances historiques

aux mots comme par l'utilisation fréquente des figures de styles , comparaisons et métaphores. La poésie s'est constamment renouvelée au cours des siècles avec des changements de style adaptés à l'époque. On peut par exemple distinguer le poète artiste soucieux d'abord de beauté formelle comme Charles Baudelaire, le poète « lyrique » comme Victor Hugo, ou encore le poète engagé comme Arthur Rimbaud. Le poète exploite toutes les ressources de la langue en valorisant aussi les mots : chaque