Quelle Stratégie Argumentative Vous Semble La Plus Efficace

modalisateurs qui vont exprimer le jugement de l’orateur, dans le domaine du souhaitable (si l’on pouvait un jour obtenir la paix) ; du probable (il arrivera sans doute/ peut-être que…), du certain (il est sûr que…) ou du doute (je crois, il me semble que..)  Employer des indices de la subjectivité de l’orateur : vocabulaire mélioratif (éloge) ou péjoratif (blâme)  Employer des déictiques (des indices de temps et de lieu qui situent le discours par rapport à celui qui s’exprime) : demain,

L’objectif final est de participer à une joute interclasse. L’information et la pensée critique sont les deux familles de situations touchées par cette séquence. En lecture, l’élève devra s’informer en ayant recours « à une variété de médias en plus d’une variété de textes courants ». Puis, il devra poser un regard critique sur ces textes. (MELS, p.174) En écriture, il devra appuyer les propos qu’il tiendra en communication orale en élaborant des justifications et des argumentations. (MELS, p

real-life examples of prosecution and defence speech taken from a documentary film about French courts. In addition to the well-known syntactic, semantic and attitudinal functions of intonation, we attempt to show how prosody is linked to the argumentative strategy used by the speaker in order to persuade the audience with both a global discourse and particular utterances on internal levels. Introduction Le discours judiciaire est l’un des trois grands genres rhétoriques définis par Aristote

témoignent, dés le V° siècle avant J-C, du développement de la rhétorique. Elle se développe à Athènes à travers l’art des sophistes qui enseignaient la relativité de toute thèse en soutenant des opinions opposées sur un même thème. Les Sophistes les plus célèbres sont Protagoras (un des fondateurs de l’éristique (art de la controverse) et Gorgias (il développe de genre épidictique). Socrate et Platon leur reprochent leur déni du vrai et leur opposent une rhétorique dialectique qui cherche à atteindre

déclinant de diverses façons. l Convaincre, persuader, délibérer sont trois modes d’argumentation. Il vous faudra d’abord les définir, c’est-à-dire les distinguer les uns des autres, puis voir en quoi ils peuvent se compléter pour une argumentation efficace. l Enfin, on vous demande aussi d’agir par vous-même : savoir apprécier une argumentation afin d’y trouver votre propre place. Le but de cet objet d’étude est donc double : comprendre et faire ! 95 Les bases de l’argumentation On ne parle pas

Tard dans la vie Je suis dur Je suis tendre Et j’ai perdu mon temps À rêver sans dormir À dormir en marchant Partout où j’ai passé J’ai trouvé mon absence Je ne suis nulle part Excepté le néant Mais je porte caché au plus haut des entrailles À la place où la foudre a frappé trop souvent Un coeur où chaque mot a laissé son entaille Et d’où ma vie s’égoutte au moindre mouvement QUESTION (4) : Distinguez les rôles assignés au poète dans chacun des poèmes

logiques / et absence de liaison (asyndète/parataxe). -  Expliquer les mécanismes de l’ironie. -  Qu’est-ce que l’ironie ? Quels sont ses avantages, ses limites ? Questions sur les genres argumentatifs -  Quel genre argumentatif vous semble le plus efficace ? -  Quels sont les intérêts respectifs des différentes formes d’argumentation (essai, fable, conte philosophique) ? -  Donnez des exemples d’argumentations indirectes. Sont-ils moins convaincants qu’une argumentation directe ? -  Pourquoi

genre de l’apologue vous semble-t-il mieux approprié dans le combat des idées ? Vous fonderez votre réflexion sur des arguments clairs et des exemples précis tirés des textes étudiés en classe ou de vos lectures. Il existe deux grandes façons d’argumenter : argumentation directe et indirecte. La première, que l'on trouve, par exemple, dans un essai, consiste à démontrer une idée de façon très claire et irréfutable, alors que dans la deuxième, l’idée est plus dissimulée mais le récit

à les édifier. L’âge adulte oublie un peu ce goût du récit, considéré en tout cas comme moins sérieux que les autres formes d’argumentation. Cependant les écrivains comme La Fontaine et Voltaire savent le parti que l’on peut tirer de la force argumentative de la fiction. Pour La Fontaine : « Une morale nue apporte l’ennui, le conte fait passer le précepte avec lui ». Le corpus proposé est composé de différents textes : « Du Souverain ou de la République » de La Bruyère, « Paix » de Damilaville, « Guerre »

l'amener à réfléchir. Le dialogue est, à mon avis, mieux placer pour persuader le lecteur qu'un essai, ou une préface. En effet, la forme de la conversation, du débat me semble plus plaisante, plus attrayante qu'une longue argumentation qui s'avère parfois ennuyante et difficile à comprendre. Le dialogue est donc plus vivant, plus naturel, cela reste une réflexion critique mais qui a l'avantage de captiver le lecteur. Ainsi, le Mariage de Figaro, écrit par Beaumarchais, est une pièce extrêmement