Quels Gredins Que Les Honnêtes Gens

mouches, des hirondelles qui mangeaient des araignées, des éperviers qui mangeaient des hirondelles. «Tous ces gens-là, dit-il, ne sont pas philosophes.» Pythagore, en entrant, fut heurté, froissé, renversé par une multitude de gredins et de gredines qui couraient en criant: « C'est bien fait, c'est bien fait, ils l'ont bien mérité !- Qui? quoi?» dit Pythagore en se relevant; et les gens couraient toujours en disant: «Ah! que nous aurons de plaisir de les voir cuire ! » Pythagore crut qu'on parlait

Police finira par venir l’arrêter, il sera envoyé à Cayenne. Lisa et la belle Normande se réconcilient, tout redevient prospère à la charcuterie et la belle normande épouse M. Lebigre. Claude est dégoûté et finit le livre en disant: « Quels gredins que les honnêtes gens! « Le Ventre de Paris » est un roman d’Emile Zola publié en 1873. C’est le troisième volume de la série des Rougon-Macquart, suivant La Curée de près, et puis "Le Ventre de Paris", c’est bien entendu les Halles, les Halles centrales

qu’à lui” => situation paradoxale pour quelqu’un qui se marie. Conclusion Bel- Ami est un antihéros que Maupassant considérait comme “une graine de gredin”. Il doit son succès au milieu (milieu de décadence des mœurs, de corruption) dans lequel il a évolué. Dans ce dénouement, on voit bien transparaître le pessimisme de Maupassant : les gens honnêtes n’ont aucune chance de faire carrière contrairement aux escrocs. Maupassant dépeint fidèlement la société de la IIIème République, ainsi que le climat

pensent qu’à assouvir leur faim avec ses provisions. De plus, l’auteur exprime le manque flagrant de jugement des bourgeois. Comme l’indique la citation suivante :« Cependant la comtesse et la manufacturière qui avait dans l’âme la haine irraisonnée des gens comme il faut pour la République, et cette instinctive tendresse que nourrissent toutes les femmes pour le gouvernement à panache et despotiques »(l.41) le jugement des bourgeois est souvent à leurs yeux péremptoire, mais celui-ci est parfois aveuglé

pendant aux tableaux que brosse Zola avec ses descriptions des étals. C’est lui qui prononce la phrase finale, peut-être la plus importante du roman, qui traduit en quelques mots l’idée principale véhiculée par le Ventre de Paris : « Quels gredins que les honnêtes gens ! » ; phrase que Zola avait en tête avant même de commencer à écrire une ligne du livre. D’après l’auteur de la préface, Zola, jeune à l’époque (32 ans), cherche à prouver qu’il possède un vrai talent d’esthète, qu’il sait former de

noblesse par le comte et comtesse, et les marchands et l’élite possédante par M. et Mme Loiseau et M. et Mme Carré-Lamadon. Maupassant a dit, « Ces six personnes formaient le fond de la voiture, le côté de la société rentée, sereine et forte, des honnêtes gens autorisés qui ont de la Religion et des Principes » (Boule de suif 43). Boule de suif (Élisabeth) et M. Cornudet, ayant moins de prestige et à la réputation, même mineur, ont été immédiatement exclu de la conversation lorsqu'ils sont reconnus

Police finira par venir l’arrêter, il sera envoyé à Cayenne. Lisa et la belle Normande se réconcilient, tout redevient prospère à la charcuterie et la belle normande épouse M. Lebigre. Claude est dégoûté et finit le livre en disant: « Quels gredins que les honnêtes gens! »

élément de critique sociale. Maupassant veut peut-être montrer un monde où ce sont les arrivistes qui réussissent et non les honnêtes gens. Il poursuit ici la critique de la société. CONCLUSION : Le héros ou plutôt l’antihéros est au sommet de sa gloire et est en route vers une carrière politique. Cette page illustre la réussite scandaleuse d’une crapule, d’un gredin. Ce passage est la concrétisation des désirs de Duroy dans l’incipit : il a tout, l’amour, l’argent, la gloire. Maupassant illustre

mouches, des hirondelles qui mangeaient des araignées, des éperviers qui mangeaient des hirondelles. «Tous ces gens-là, dit-il, ne sont pas philosophes.» Pythagore, en entrant, fut heurté, froissé, renversé par une multitude de gredins et de gredines qui couraient en criant: « C'est bien fait, c'est bien fait, ils l'ont bien mérité !- Qui? quoi?» dit Pythagore en se relevant; et les gens couraient toujours en disant: «Ah! que nous aurons de plaisir de les voir cuire ! » Pythagore crut qu'on parlait

profané => Bel-Ami est un héros qui triomphe dans l’impureté Conclusion Bel- Ami est un antihéros que Maupassant considérait comme “une graine de gredin”. Il doit son succès au milieu (milieu de décadence des mœurs, de corruption) dans lequel il a évolué. Dans ce dénouement, on voit bien transparaître le pessimisme de Maupassant : les gens honnêtes n’ont aucune chance de faire carrière contrairement aux escrocs. Maupassant dépeint fidèlement la société de la IIIème République, ainsi que le climat