Quesnay Et Ricardo

Au 18ème siècle, les physiocrates vont s'opposer aux mercantilistes en disant que l'économie est dominée par l'agriculture et que les problèmes économique de la France sont des problèmes de disettes. Le chef de file des physiocrates est François Quesnay, il y a aussi Mirabeau père et Turgot. Les physiocrates disent que l'accumulation d'argent ne sert à rien si on en fait rien et que de plus l'argent est stérile, il ne produit rien et qu'au contraire, l'agriculture elle produit. Il y a une véritable

déterminismes sociaux, . Marx est holiste dans la mesure où il raisonne sur la base de classes sociales. D’ailleurs, même les classiques anglais, formateurs originels de Marx, étaient holistes : Ricardo raisonnait sur un schéma à 3 classes (propriétaires fonciers, travailleurs, capitalistes), Smith également, Quesnay, … Dans l’analyse marxiste, peu de traces (à ma connaissance) de recherches de motivations individuelles (les goûts, la mode, les stratégies, n’ont pas retenu l’attention du gros barbu). Seuls

ou comment le mercantilisme et le libéralisme se succèdent dans une certaine continuité • Les Physiocrates (Quesnay, 1758) comme première école libérale (ou « ordo-libérale ») + naissance des premiers « modèles économiques de croissance » – L’ECOLE CLASSIQUE ANGLAISE (1776-1870) (TP) • Smith (1776) est dans la continuité des Physiocrates (mais avec une autre théorie de la valeur) • Ricardo (1817) comme construction la plus élaborée du modèle classique => modèle de croissance économique (condamnée

conséquences spatiales de son comportement. Des explications économiques orthodoxes comme : - Les théories des localisations (économie spatiale : Von Thünen, Weber, Christaller) - Les théories des échanges (économie internationale : Ricardo) - La new economic geography (Krugman) d) Une définition par l’histoire des sciences Fait référence à l’histoire des sciences occidentales, selon la chronologie suivante : - La tradition de la recension, de Colbert à la géographie

cercle vertueux de l’accumulation du capital. De plus, ce cercle est infini ; tous vont rajouter qu’il y ait une fin au cercle vertueux. Chez Smith, il y a un horizon lointain d’une crise, c’est l’état stationnaire lié à une baisse des profits ; Ricardo à la même théorie. Pour Smith, les économies capitalistes vont butter sur un problème de débouchés lui même provoqué par une saturation des besoins. On voit apparaître alors un excès d’offres sur l’ensemble des marchés, cela va provoquer une concurrence

Grundrisse (1858). 1) L’unité de la production et de la circulation. 2) La déduction de la baisse du taux de profit. 3) La composition et la baisse du taux de profit. 4) La critique de Ricardo et les effets de la puissance productive sur le surtravail. II. La critique des formulations de la loi chez Ricardo et les avancées de Marx dans le brouillon du Livre IV (1861-1863). III. La formulation de la loi dans le brouillon du Livre III (1863-1865). IV. Les conditions et les effets de la croissance

Grundrisse (1858). 1) L’unité de la production et de la circulation. 2) La déduction de la baisse du taux de profit. 3) La composition et la baisse du taux de profit. 4) La critique de Ricardo et les effets de la puissance productive sur le surtravail. II. La critique des formulations de la loi chez Ricardo et les avancées de Marx dans le brouillon du Livre IV (1861-1863). III. La formulation de la loi dans le brouillon du Livre III (1863-1865). IV. Les conditions et les effets de la croissance

. . . . . . . . . . . . . . . . e 3.1.1 Th´ orie objective de la valeur . . . . . . . . . e A. Valeur d’´ change et valeur d’usage . . . . . e B. D´ limitation du champs d’analyse . . . . . e ´ C. Smith : le travail comme etalon . . . . . . . D. Ricardo et le travail incorpor´ . . . . . . . . e 3.1.2 Th´ orie subjective de la valeur . . . . . . . . . e ´ 3.2 Le lib´ ralisme economique . . . . . . . . . . . . . . . e ´ 3.2.1 Impossibilit´ d’une crise economique g´ n´ rale e e e A. La main invisible

décisions individuelles les comportements des groupes, les relations entre les données globales c'est-à-dire les agrégats (consommation, revenu, offre, demande…). La macro est aussi ancienne que la science économique elle-même, aussi ancien que F. Quesnay (inventeur de l'idée de circuit économique) Le plus grand auteur qui s'est familiarisé avec la macro économie est Keynes. Bien entendu, les relations globales dépendent de comportements individuels, mais ces relations globales ne sont pas considérées

anglais vont inaugurer ainsi une nouvelle étape de la pensée économique. Avec le passage d'une analyse des richesses à une analyse de la production naît l'économie politique. La période mercantiliste marque le début du 16è siècle jusqu’aux écrits de Quesnay (physiocrate), en 1756. C’est donc une très longue période. Le courant mercantiliste n’est donc pas un corpus théorique à proprement parler et il recouvre des analyses hétéroclites, pas forcément établies dans une cohérence. Il s’agit plutôt d’une