Question Philosophique La Vie Heureuse Seneque

et que Zeus, se sentant lésé, ordonne à Héphaïstos de modeler une nouvelle créature. Magnifique et désirable, elle reçoit des talents de tous les dieux, ce qui lui vaut le nom de Pandore (tous les dons). Athéna lui insuffle également la vie et lui apprend l'habileté manuelle (elle lui enseigne entre autres l'art du tissage) et l'habille ; Aphrodite lui donne la beauté ; Apollon lui donne le talent musical ; Hermès lui apprend le mensonge et l'art de la persuasion et lui donne la

avaient accepté cet argument, ils les auraient traité comme des objets, des choses privées de conscience, de liberté et de responsabilité. Une première thèse apparaît donc : la conscience apparaît comme le fondement de la liberté subjective mais deux questions s'imposent, d'une part, le sujet vit dans une condition objective donnée. Cette condition n'a t-elle pas d'influence sur ce que nous sommes? Le sujet se fait-il lui-même comme le prétend Sartre? (II. Liberté ou déterminisme?) D'autre part, nous

quotidiennes ..................47 Les émotions et passions violentes ..........................47 Les désirs inaboutis ou cachés .................................48 Les pesantes inerties..................................................49 Vers une vie apaisée : le rôle des sages ........................50 L’existence des sages.................................................50 Imiter le sage .............................................................51 Les émotions vues par un sage : Théophraste

Dieu ne m'a jamais rien dit». Il se définit comme un athée et pense que l'homme peut se passer de religion, la philosophie en étant l'un des moyens. Il est l'un des membres du Comité consultatif national d'éthique( c'est un organisme de réflexion philosophique, scientifique...) depuis mars 2008. Il se décrit comme un philosophe matérialiste( ce sont les philosophes qui affirment que les éléments de la nature et leurs phénomènes se suffisent à eux-même, à leur formations, mouvement, développement...)

DISSERTATION Sur le thème de «La vie», le sujet de dissertation était le suivant : La vie est-elle autre chose que le théâtre de la cruauté ? Beaucoup de candidats de 2010 auraient eu intérêt à prendre connaissance des rapports établis par le jury ces dernières années. Ils y auraient trouvé, plus d'une fois répété, le conseil de daigner LIRE ATTENTIVEMENT les libellés des sujets qu'ils doivent traiter. Cette année en effet, beaucoup de candidats ont cru que les concepteurs de sujets avaient eu

nier l'existence d'une morale, voire à encourager à leur transgression systématique. La morale vise d'une part à la conservation des formes collectives d'organisation sociale, de la société, de l'intérêt général, d'autre part à l'agrément de la vie des individus en société. Elle peut renvoyer à l'ensemble des règles de conduite diffuses dans une société donnée (politesse, courtoisie, civisme), ou encore à des préceptes énoncés explicitement par une religion ou une doctrine (morale religieuse

| | | |TC : Les Stoïciens |PUF | | |*Sénèque |De la vie heureuse |Ar, MN, GF | | |v.– 4/+65 | |

corrélation, dans une culture, entre domaines de savoir, types de normativité et formes de subjectivité”5. La question centrale devenait donc celle des processus de subjectivation : comment un sujet en vient-il à faire l’expérience de soi-même? Comment les sujets reconnaissent-ils la vérité sur soi? Comment se constitue-t-on comme sujet? La première réponse que Foucault avait fournie a ces questions esquissait la subjectivation comme un processus réactif, de résistance au pouvoir. D’ailleurs le refus de

DIDEROT Entretien d’un père avec ses enfants Présentation, choix des extraits, notes et dossier par LAURENCE RAULINE, professeur de lettres Du même auteur dans la même collection Jacques le Fataliste Madame de La Carlière (in Trois Contes philosophiques) Le Neveu de Rameau Supplément au Voyage de Bougainville © Éditions Flammarion 2010. ISBN : 978-2-0812-3819-0 ISSN : 1269-8822 SOMMAIRE ■ Présentation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L’esprit des Lumières Diderot ou la liberté

effet toutes les 40 secondes : des émotions (angoisse, peur, tristesse, amour etc. ) du suspense, et de l’humour ou du rire. Il faut rire, c’est obligatoire : être positif. Comme s’il n’y avait pas d’alternative entre l’optimisme, i.e la forme heureuse de l’imbécillité, et le pessimisme i.e l’imbécillité malheureuse. Il est vrai qu’un simple constat, froid, sans passion, éclairé des données n’est pas de nature à déclencher un enthousiasme délirant. Il en va de même des autres médias qui s'accordent