Question rhétorique

Première Partie : Le thème de la mort L'attitude des hommes face a la mort. Montaigne rompt directement un tabou (l.1), affirmation catégorique Critique de la réaction des hommes face a la mort, dénonce l'absurdité de ce comportement (question rhétorique) Le mot «mort» fait peur, «Signe» Penser a la mort → se libérer de la peur de l'angoisse → liberté Comble de l'absurdité : le testament mal fait, « pâtissent » Euphémismes, périphrases (exemple des romains) → pour éviter le

publiques et de proposer des lois. Cependant, certains individus prennent avantage du principe de la démocratie en utilisant la rhétorique, l’art de la persuasion par la langue, en leur faveur. Dans ces conditions, Socrate, célèbre philosophe athénien, décide de visiter la demeure de Calliclès, un rhéteur sicilien, pour questionner le sophiste Gorgias sur l’art de la rhétorique qu’il enseigne. Après s’être entretenu avec Gorgias et Polos, l’élève de ce dernier, Calliclès intervient dans la discussion

voluptés » ---> personnifier ds une figure de justice = plaisirs capable de distinguer les plaisirs *l24 «  le corps...présente » ---> image péjorative pour le corps réduit le corps à une machine qui stock la graisse l10 pureté de l'âme *l16 question rhétorique ---> sous entendu personne: un ê.h ne peut pas laisser le corps prendre le dessus sur lui même. L'âme est tentée par les voluptés du corps. Pour S. seule la raison peut protéger l'ê.h. L'homme dominé par le corps est un animal. II-La mise

Gorgias, Polos et Calliclès. Socrate y combat la rhétorique, ce qui l'amène à s'interroger sur l'idée de justice, et sur la manière selon laquelle chacun doit régler sa vie. I. Entretien avec Gorgias. Socrate et Khairéphon se rendent chez Calliclès pour y entendre Gorgias, mais ils arrivent trop tard. Néanmoins, Calliclès les introduit auprès de ce dernier, à qui Socrate voudrait poser une question. Il lui demande en effet ce qu'est la rhétorique dont il fait profession. Après plusieurs demandes

tournée vers l'amour. Puis, l'introduction est courte et tient en 2 alexandrins et 2 octosylabes: montrant ainsi la simplicité et la rapidité. Les propositions se succèdent, et des enjambements sont faits. Il n'y a pas d'utilisation de figures de rhétorique, ce qui donne un discours fluide, facile à lire, spontané, sans double sens. Deux discours apportent de la variété à la fable, ils présentent les traits de caractère des deux amis, ils sont courts et le seul mot, un peu déplaisant qui dénote, est:

est opposant de César et soutient Pompée. Après différents heurts avec des hommes politiques notamment Vérès, il est condamné à l’exil à Thessaloniques en 58. Après son retour en Italie en 57, il se consacre aux lettres et rédige en 55 le traité rhétorique De oratore, somme de l’art oratoire en trois livres où il se fait le théoricien de l’éloquence. Cicéron aborde la vie publique en simple avocat au milieu d’une crise politique (séquelles de l’affrontement entre Marius et Sylla). Le De Oratore met

système éducatif qui change peu et lentement. L’opinion publique se passionne alors pour la réforme de l’enseignement des collèges et à la question de l’instruction du peuple s’ajoute celle de la formation. Ainsi les philosophes des Lumières vont s’intéresser à cette question notamment Jean le Rond d’Alembert qui expose son opinion à travers l’article « Collège » issu de l’Encyclopédie.

Manuscrit auteur, publié dans "Pratiques, 135-136 (2007) 3-14" André Petitjean (CELTED, Université de Metz), Alain Rabatel (ICAR, Université de Lyon 1-IUFM) Le style en questions Il est habituel, depuis longtemps, de souligner d’une part qu’il y a une évidence des faits de style1 − l’imitation des comportements, le pastiche des discours, le dévoilement des apocryphes… attestent de leur existence − d’autre part qu’il est indéniablement difficile de statuer sur leur définition, à preuve la coexistence

tels, avec le respect dû à tout être humain. Mais Las casas n'expose pas sa propre thèse, il conteste les arguments de son rival pour montrer qu'ils sont contestables. Linge 42, reprise d'un argument et d'un exemple de l'adversaire, questions rhétoriques qui renversent l'argument en sa faveur. Lignes 43-44, Las casas dit qu'il faut penser « le contraire » de l'argument de Sépulvéda. Même chose lignes 45-47. Incitation du public à réfléchir, ne pas se laisser aveugler par les

en enfant, non en adulte. Il n’est pas encore apte à raisonner et il faut le laisser profiter de son jeune âge. Pour être heureux, il doit être libre, ne devra pas subir de sermons, de châtiments. Force est de constater que dans cet extrait, à la rhétorique parfaitement huilée, Rousseau peint le tableau d’une enfance martyrisée sur l’autel d’une conception sévère de l’éducation qu’il stigmatise ici avec beaucoup de véhémence. I. Un tableau de l’enfance malheureuse Rousseau décrit ces enfants