Questions Réponse De Procédures Pénal

ñ 15. Le rÙle du C.S.M. dans la formation initiale des magistrats. ñ 16. Le rÙle du C.S.M. dans la formation continue des magistrats : un bref historique. ñ 17. Le rÙle du C.S.M. dans la formation continue des magistrats : líÈtat actuel de la question. La formation dÈconcentrÈe. ñ 18. Le rÙle du C.S.M. dans le dÈroulement de la carriËre des magistrats. ñ 19. Le rÙle du C.S.M. dans la nomination des chefs de juridiction. ñ 20. Les conseils judiciaires. ñ 21. La fonction disciplinaire du C

situation, la définir afin de trouver la juridiction compétente. (Monsieur A roule à 150 km/h en agglomération, alcoolisé à 0.60g/l de sang, fuit les policiers et provoque un accident). Différence entre meurtre et assassinat : la préméditation. Matière pénale sur la pensée. (Intention bien antérieur avant de passer à l’acte) Individu de moins de 13 ans : Irresponsable Individu entre 13 à 16 ans : Juge d’enfants Individu entre 16 et 18 ans : Jugé comme un adulte, peine divisé par 2. Individu de 18

Assemblée plénière, 2 arrêts 9 mai 2008 L’assemblée plénière a tranché la question de savoir à quelles conditions l’héritier d’une victime décédée peut obtenir la réparation du préjudice du défunt devant le juge répressif ? Lire les arrêts : la solution donnée est la suivante « Si l’héritier peut en principe obtenir du juge pénal la réparation du préjudice causé à la victime directe, c’est à la condition que des poursuites aient été diligentées par la victime elle-même ou par le ministère public

DROIT PÉNAL LE DROIT PÉNAL EST UN DROIT COMPLEXE ET D’UNE LOGIQUE IMPLACABLES. LE VOCABULAIRE JURIDIQUE DU DROIT PÉNAL EST AUTONOME. BIBLIOGRAPHIE : MANUEL DE DROIT PÉNAL GÉNÉRAL DU PROFESSEUR MAYAUD, PUF PRÉCIS DALLOZ DROIT PÉNAL GÉNÉRAL DE DESPORTES, LE GUNEHEC MICHEL RASSAT TRAITÉ DE DROIT CRIMINEL TOME 1 DE MERLE ET VITU CODE PÉNAL : UTILISER UNIQUEMENT LE PREMIER LIVRE BULLETIN DES ARRÊTS DE LA CHAMBRE CRIMINELLE DE LA COUR DE CASSATION INTRODUCTION LE DROIT PÉNAL GÉNÉRAL EST

SOMMAIRE INTRODUCTION P7 I. APPORTS THEORIQUES P9 « LA PRISE EN CHARGE DES ENFANTS ET ADOLESCENTS EN DANGER ET/OU DELINQUANTS » A. Bref historique : de l’enfermement aux prises en charge éducatives P10 1. L’enfermement, réponse traditionnelle à la délinquance juvénile P10 2. Vers une évolution des pratiques P10 3. 1945, une année révolutionnaire P10 4. Depuis 1945, l’évolution et l’actualité P10 B. Le système français actuel de la protection

DROIT PENAL SPECIAL      Support du cours :  Un recueil de textes est disponible au service cours. Il n’y a pas de syllabus.  Examen :  L’examen est écrit et est composé de questions théoriques et d’une question qui amène à réfléchir au droit pénal et à la construction des infractions. Pour cette dernière question, il faut faire référence aux textes du recueil de lecture. On peut amener les textes de loi, les textes du recueil de lecture et tout autre document que l’on estime utile.  Pré-requis : 

du XIXème siècle, sous la Restauration, lors de l’établissement du régime parlementaire en France, responsabilités pénale et politiques ne sont pas distinguées et les ministres apparaissent rapidement à la merci du corps législatif. Par la suite, et sous l’influence certaine du régime parlementaire britannique qui a vu la responsabilité politique s’affranchir de la responsabilité pénale dès 1782 avec la démission de Walpole et de son gouvernement solidaire, ces deux responsabilités vont se séparer

assureurs. Au plan pénal, le but du droit pénal et du droit des assurances est très différent, le but du droit des assurances c’est d’indemniser les victimes, alors que le but du droit pénal c’est la sanction et la répression. Pendant très longtemps on a cherché à dire qu’il y avait un principe d’indivisibilité entre faute civil et faute pénal, mais maintenant elles sont clairement individualisée, en 2000 la Cour de cassation les a séparés, et aujourd’hui donc droit pénal et droit des assurances

Procédure civile. Bibliographie : - Cadiet et Geuland, Droit judiciaire privé. Edtion 2011, Litec. - Couchez et Lagarde, Procédure civile, 16ème édition 2010, Siret. - Ginchard, Ferrand et Chainais, Procédure civile, Hyper-cours, 2011. Bibliographie secondaire : - Douchy-Oudot, Procédure civile, Lextinso, 5ème édition, 2012. - Fricero, L’essentiel de la procédure civile, Galino, 2012. - Strickler, Procédure civile, Paradigme, 2010. Examen : Ecrit 1h, 2 questions

La compétence universelle en matière pénale doit-elle être limitée ? INTRODUCTION: "Competenz, competenz", expression qui définit ce qu'est la Souveraineté selon Georges Jellinek. Ainsi, un Etat souverain a la compétence de sa compétence c'est-à-dire la possibilité d’affirmer sa compétence, de choisir ce qui peut être fait ou non. Cette Souveraineté peut être exercée à travers deux compétences étatiques: - la première est territoriale, le territoire constituant un "espace" sur lequel va