Rachitisme

qui règnent dans les ateliers. Le travail ouvrier étant physiquement éprouvant, seuls les plus robustes résistent. Les enfants, soumis aux mêmes conditions de travail que leurs aînés, s'en trouvent irrémédiablement marqués, atteints notamment de rachitisme et autres problèmes grave de santé. Précaire, ce travail est également insuffisamment payé. De ce fait, on peut démontrer que le salaire versé ne permet d'assurer que le strict minimum, même si toute la famille est employée, enfants y compris

seul ». En fait tous ces enfants devraient rire. Il suscite l’intérêt du lecteur. Victor Hugo décrit avec réalisme l’état physique des enfants. Il insiste sur leur mauvaise santé « que la fièvre maigrit; quelle pâleur ! », leur fatigue « bien las ; rachitisme ! ».     Au vers 2 et 3, Hugo utilise une anaphore « ces » qui est un adjectif démonstratif afin de montrer concrètement le problème. L’auteur interroge puis répond, ce qui fait de ce poème un véritable texte argumentatif.     Il souhaite aussi

souffrances des Français qui se prolongent au cours des premiers mois de 1945. Insister sur la pénurie, ainsi que sur le froid de l’hiver 1945. Relever des preuves chiffrées de ces souffrances : plus du tiers des enfants des villes souffrent de rachitisme, un nouveau-né sur dix meurt à la naissance. Montrer les difficultés auxquelles sont confrontés les nouveaux gouvernants : précarité du ravitaillement, maintien du rationnement, lutte contre la persistance du marché noir, émeutes de la faim. Des

promiscuité dans des quartiers spécifiques • problèmes alimentaires et sanitaires : o mortalité très élevée : dans usines textiles britanniques : 30% des ouvriers meurent de la tuberculose o enfants frappés de rachitisme : enquête de 1878  ( en Angleterre : enfants ouvriers = 12 cm de moins que classes aisées ❑ absence de protection sociale et d’épargne • vulnérabilité / moindre accident de la vie (chômage, maladie, accident du travail) • misère

vitamine C →une pathologie courante chez les marins : le Scorbut (dents qui tombent, noircissent et se déchaussent).La vitamine D se trouve dans les poissons. Elle favorise l’absorption du calcium dans le sang. Une carence en vitamine D favorise le rachitisme. II.Les groupes alimentaires Il existe différents groupes alimentaires : féculents, fruits/légumes, sucreries, matières grasses, produits laitiers et VPO. Féculents (céréales, légumes secs, pomme de terre) Les féculents sont des aliments

mouvement » la mise en parallélisme de l'adjectif même nous montre bien l'aspect répétitive. L'auteur nous décrit également les répercussions du travaille sur les enfants:(vers 13) « ils sont déjà bien las »nous montres la fatigue,(vers18) « Rachitisme »,(vers1,11) « pas un seul ne rit »,« jamais on ne joue »ici l'auteur emploi un paradoxe car en effet tout les enfants rit et joue or ce n'est pas le cas ici se qui montre qu'ils ont un morale brisé,(vers 21,22) « Et qui ferait […] D'Apollon un

détruisent des enfantsargument 2, vers 18 à 22 : les hommes tuent des créatures de Dieuindignat° manifestée par :phrases de forme exclamative : Ô servitude infâme imposée à l’enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant /Défait ce qu’a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée, / La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, / Et qui ferait /D’Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! — c’est là son fruit le

Mousse qui flotte a la surface de l'estomac et empêche le liquide de remonter. Médicaments à action spécifique  Remplacement d’une substance endogène:  défaut de synthèse (insuline chez le patient diabétique).  défaut d’apport (vitamine D «rachitisme», vitamine B12 «anémie de Biermer»).  défaut physiologique de synthèse (œstrogènes après la ménopause). Médicaments à action spécifique Interaction avec le endogène:  métabolisme d’une  inhibition:  Exemple de l'angiotensine. substance

joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : - Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! Ô servitude infâme imposée à l'enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, oeuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les coeurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin !

seul ». En fait tous ces enfants devraient rire. Il suscite l’intérêt du lecteur. Victor Hugo décrit avec réalisme l’état physique des enfants. Il insiste sur leur mauvaise santé « que la fièvre maigrit; quelle pâleur ! », leur fatigue « bien las ; rachitisme ! ». Au vers 2 et 3, Hugo utilise une anaphore « ces » qui est un adjectif démonstratif afin de montrer concrètement le problème. L’auteur interroge puis répond, ce qui fait de ce poème un véritable texte argumentatif. Il souhaite aussi attirer