Racine Anouilh Moliere

questionnaires de lecture et des commentaires composés • sur plus de 500 œuvres classiques et contemporaines • ... le tout dans un langage clair et accessible ! Connectez-vous sur lePetitlittéraire.fr et téléchargez nos documents en quelques clics : Anouilh, Antigone Aragon, Le Paysan de Paris Aragon, Le Roman inachevé Aurevilly, Les Diaboliques Austen, Orgueil et préjugés Auster, Brooklyn Folies Balzac, Le Chef-d’œuvre inconnu Balzac, Le Colonel Chabert Balzac, Le Père Goriot Balzac, Eugénie Grandet

œuvres et être capables de dire pourquoi elles sont intéressantes, d’un point de vue littéraire. XVIème siècle : extraits dans le livre de français Montaigne ; Rabelais ; Ronsard ; Du Bellay ; Shakespeare XVIIème siècle Racine, Corneille, Molière : connaître les titres de leurs pièces les plus célèbres pour chacun de ces écrivains, être capable de définir le genre de leurs pièces. La Fontaine : Fables Pascal : Pensées Descartes : Discours de la méthode ; savoir brièvement expliquer

qui ne plais guère à ce dernier. Par ailleurs les mythes restent l'inspiration premières des auteurs contemporains. Bertold Brecht et Sophocle se sont inspirées d'Antigone. Anouilh s'en est également inspiré pour en faire une figure de la résistance en 1944. Parmi les mythes on retrouve Don Juan le séducteur, repris par molière en 1665. ou encore Faust, (un professeur qui passe un pacte avec le Diable pour retrouver sa jeunesse), il vient des contes par Johan Spies il inspire ensuite Goethe ou encore

d'une œuvre déjà existante. Ce n'est pas une copie, mais une transformation. On s'inspire d'un écrit que l'on prend pour modèle et on cherche à imiter ou à s'écarter de l'œuvre de départ en gardant son propre style. Les grands écrivains, tels que Molière, parlaient d'hommage aux auteurs classiques. La réécriture s'est vue illustrée de manière diverses et variées. - La citation Comme son nom l'indique, la citation est un emprunt direct à l'œuvre d'un autre auteur. On le cite afin d'étayer son

tragédie classique ? P. CORNEILLE, Le Cid, I, 6, 1637 J. RACINE, Britannicus, II, 3, 1669 J. RACINE, Phèdre, I, 3, 1677 Image : J. RACINE, Britannicus, mise en scène de B. Jaques-Wajeman, 2004 194 194 195 195 Corpus ⁄ ¤ ‹ › ∞ 6 ‡ EURIPIDE, Les Troyennes, 415 av. J.-C. P. CORNEILLE, Horace, IV, 5, 1640 P. CORNEILLE, Cinna, III, 4, 1642 J. RACINE, Andromaque, III, 6, 1667 J. RACINE, Bérénice, IV, 5, 1670 J. ANOUILH, Antigone, 1944 OUVERTURE CONTEMPORAINE J.-P. SARTRE, Les

XVIIe siècle dit le Grand Siècle Baroque et Classicisme Roman et contes Poésie Moralistes Philosophie Molière : dom Juan, le Misanthrope, tartuffe, les femmes savantes (comédie) Racine : Phèdre, Bérénice, Britannicus, Andromaque (tragédie) Corneille : le Cid, Cinna, Horace… (tragédie, tragicomédie) Madame de Lafayette : La princesse de Clèves Honoré d’Urfé : l’Astrée Charles Perrault : Contes Fénelon : les aventures de Télémaque Boileau : art poétique. Malherbe Saint Amant la

I. Les chefs d’œuvre légués par nos ancêtres peuvent paraître dépassés et leur culte excessif 1. Certains ont vieilli et ne sont plus immédiatement accessibles à nos contemporains a) langage qui a vieilli (langue précieuse du XVIIème s, Corneille, Racine) b) les idées, les connaissances (Le Cid, La Princesse de Clèves, Andromaque) c) leur esthétique ( la symbolique des cathédrales, les règles des trois unités au théâtre) 2. Les œuvres contemporaines sont plus en accord avec notre vision du monde

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exemples les plus critiqués de remise en cause des règles classiques. Les auteurs ne s’attaquent pas seulement à la différence entre «genre noble» et «genre bas», mais ont également eu le pouvoir de remettre en cause leur société, ainsi dans Dom Juan de Molière, le personnage éponyme est un libertin de moeurs et d’esprit, c’est à dire un être matérialiste, dénué de croyances religieuses et prêt à tout pour parvenir à ses fins, il tente de séduire au cours de la pièce plusieurs jeune femme, et est sans cesse

apparaît sur le front, son teint verdit... Ionesco utilise ce procédé de grossissement, en figurant l’embrigadement par la dictature à travers l’image d’une transformation physique en animal sauvage. Dans le second extrait, tiré de Dom Juan de Molière, on assiste à la mort exemplaire d’un héros outrageux. Ici, les effets sont poussés à l’extrême  du tragique : l’aspect solennel de la scène de dénouement, présente dans les propos de la statue, côtoie l’emphase, traduite par les exclamations de