Racine Et La Litote

récit pour représenter une idée abstraite. Par exemple : La fable "Le Corbeau et le Renard" de La Fontaine est une allégorie de la flatterie. Hyperbole : Elle exagère une idée pour la mettre en relief. Par exemple : "J'ai une faim de loup." Litote : Elle consiste à dire moins pour suggérer plus. Par exemple : "Ce n'est pas mauvais" (pour dire "C'est bon"). Euphémisme : Il atténue l'expression d'une idée pour éviter d'être trop direct ou offensant. Par exemple : "Il nous a quittés" (pour

un même mot, ex : juin au lieu de ju-in Mot forgé : création d’un mot nouveau qui n’est fondé sur aucune racine existante, ce en quoi il se distingue du néologisme, ex : « Il l’emparouille et l’endosque contre terre… », Michaux, Le Grand combat. Mot-valise : terme créé à partir de deux mots contractés en un mot unique, ex : « foultitude », V. Hugo Néologisme : mot créé sur la base d’une racine lexicale existante. « Le cœur fou Robinsonne à travers les romans », Rimbaud, Poésies Périgrinisme : procédé

historique par brièveté, la rigueur de sa composition, son exigence de vérité. Tout en maintenant intact le charme du romanesque, l'auteur démonte les rouages de la vie de cour et analyse faiblesses et désirs de son héroïne. Beaucoup d'hyperbole et de litotes, un dénouement surprenant et soigneusement préparé et pourtant mystérieux, donnent au récit l'intensité d'une tragédie. Problématique : Comment ce portrait mêle-t-il grandeur et fragilité à la fois ? On montrera comment l'héroïne est présentée

summum. Elle est alors perçue telle un modèle comme l’avait été l’art antique. Aujourd’hui, le terme sert à désigner une littérature située dans la deuxième partie du XVIIème siècle. De grands auteurs de théâtre en forment partie tels que : Corneille, Racine, Molière, Lafontaine et Madame Lafayette. La notion de « classicisme » fut inventée par les romantiques français. Ces derniers, au XIX siècle, cherchent à se différencier du mouvement littéraire précédent qui contrairement à eux ne se laissent pas

espace d’une action et d’un temps limites (par la mort le plus souvent) Expression d’un enchainement ineluctuable fatal conduisant le plus souvant a la mort. Provoque une emotion proche d’une « horrer sacree ». Acte I sene1 Une sene d’exposition Racine utilise ici un stratageme pour nombree les personages en presance. Orest se nomme et nomme Pylade. Cela permet au spectateurs de metre tres vite un nom sur les personnages presents sur sene :a scene se deroule a la cours du roi Pyrrhus en Epire.

chasse ") cause : Phèdre V45 :Théra. : " elle s’obstine à taire " le silence est un thème principal (carré) V49-50 :Hipp : insistance sur fuir et "avouerai" V51 :Hipp. : allusion à la querelle politique V56 :Hipp. : Hippolyte fait une litote (faire comprendre ce qu’on veut dire en disant le contraire). Il avoue la vraie raison de sa fuite, il a peur d’aimer Aricie (élément perturbateur) V66-113 :Hipp. : -Insistance sur les héros (monstres et amours passagers) -Thésée peut-être excuser

d’Andromaque 1er extrait d’ Andromaque I, 4 Le XVIIe est l’âge d’or du théâtre français. Molière redonne ses lettres de noblesse à la comédie et un jeune dramaturge tragédien Racine détrône l’immense Corneille en 1660 avec sa pièce Bérénice . Toutefois c’est en 1667 que son premier grand succès intervient avec Andromaque . Andromaque est la femme d’Hector le plus grand guerrier

Commentaire Composé Andromaque, Racine Passage commenté des vers 1545 à 1583, Scène 3 et 4 de l’Acte V. A propos d’Andromaque, tragédie de Racine, Patrick Dandrey écrivait « les actions et les passions ont leur sombre liberté et (…) les hommes n’en sont que les serviteurs dupes et impuissants. L’originalité d’Andromaque n’est

confusément rattachés. » Le regard de Nemours surprend le « négligé » de la princesse et s’attarde sur son corps en partie dénudé, ce qui ne peut qu’attiser son désir. On note la litote pudique de la tournure négative : « elle n’avait rien » pour suggérer la nudité. Cette phrase n’est pas sans rappeler les vers de Racine dans Britannicus (1669) où Junie est évoquée ainsi par Néron : « Belle, sans ornement, dans le simple appareil D’une beauté qu’on vient d’arracher au sommeil. » Monsieur de Nemours

principes : - la clarté - la vraisemblance - la bienséance Le roman, le théâtre, la fable, la lettre, le portrait, la maxime, l'essai philosophique et le sermon Utilisation de maximes, litotes (pour respecter la Bienséance), symétrie et parallélisme Pierre Corneille, Jean de la Fontaine, Molière, Jean Racine, René Descartes, Madame de la Fayette, Madame de Sévigné, Jean de la Bruyère, Blaise Pascal, La Rochefoucauld Lumières S'inscrit dans la continuité des réflexions des philosophes du 17ème