Racine Et Les Règles De Bienséance Et Vraisemblance

Dissertation : « Tout est permis au théâtre » (Ionesco) I. Il semble que tout ne soit pas permis au théâtre 1) A certaines périodes (comme le 17ème siècle), des règles très strictes ont été imposée au théâtre, inspirées de la Poétique d’Aristote : la Vraisemblance, la Bienséance, les Vers et un niveau de langue (tragédie : élevé), le découpage en actes, les registres. On avait des genres parfaitement définis. Par exemple, le Cid, de Corneille, a été très critiqué (Chimène épouse le meurtrier de

morale ) -comédie ( les acteurs se mettent au niveau des spectateurs et critique le plus souvent un défaut ) Il y a plusieurs règles a respecter au théâtre classique : -Règle des trois unité ( unité de temps, de lieu, d'action ) -Bienséance ( consiste a enlever toute violence ou intimité sur scène) -Vraisemblance Dramaturges : Racine (1639-1699). Il est connu pour ses œuvres telles que (Alexandre les grand,1665), m (Andromaque,1667), (Iphigénie, 1674) ou encore (Phèdre

problèmes spécifiques. Ce langage n'est pas seulement celui des mots, mais il utilise aussi celui des gestes et des signes (costumes, décors, mouvements, musique, etc.), d'où la question de savoir si le théâtre doit être d'abord un texte parlé (comme chez Racine ou Claudel) ou s'il doit mettre l'accent sur les moyens d'expression qui lui appartiennent en propre (Artaud). Le langage théâtral, de plus, ne peut aller aussi loin que le roman dans la peinture des personnages ou dans la description des situations:

Vie de l’auteur : Jean Racine (1639-1699) 22 décembre 1639 : naissance à La Ferté-Milon, fils d’un contrôleur du grenier à sel. 1641 : naissance de sa sœur (marie) et perte de sa mère 1643 : son père meurt. Sa grand-mère paternelle va le recueillir et s’occuper de son éducation. 1649 : sa grand-mère le fait entrer dans un collège janséniste à Port-Royal. 1655 : il entre aux Granges où il reçoit l’enseignement de Lancelot (grec), d’Hamon (droit) et d’Antoine le Maître. 1657 : entrée au collège

respect des règles qui doivent permettre la production d'œuvres de goût inspirées des modèles de l'art antique marqués par l'équilibre, la mesure et la vraisemblance. Le classicisme concerne la littérature du XVIIe siècle, en particulier le théâtre, mais aussi d'autres arts comme la musique, la peinture ou l'architecture (voir l'architecture classique en France). Sommaire 1 Origine et définition de la notion 2 Littérature 2.1 Contextes 2.2 Caractéristiques 2.3 Théâtre 2.3.1 Les règles du théâtre

qui regroupe tous les arts en un tout unifié. Le théâtre baroque peut se définir, dans un premier temps, comme le négatif du théâtre classique. À l’analyse intellectuelle, le baroque préfère l’émotion, la perception ; face à la recherche de la vraisemblance, le baroque promeut l’illusion ; à l’unité de ton, le baroque privilégie l’inconstance et le paradoxe ; à la simplicité, le baroque oppose la complexité. Plusieurs auteurs écrivent des pièces de théâtre durant la période baroque tels que Corneille(

troisième aspect, lié aux précédents, est la recherche de règles, qu’elles soient de comportement (avec la bienséance et l’honnêteté), de composition (telles que les unités de théâtres), de compréhension (avec notamment l’idée de vraisemblance). L'art classique vise à l'intemporel ; il aspire à un idéal de beauté qu'il pense atteindre par la rationalité. Il se veut triomphe de la raison sur le désordre des passions. Clarté, harmonie, règles, ordre, mesure sont les mots d'ordre du classicisme. Cependant

protection à de nombreux artistes, finançant (rôle de mécène) les grandes figures culturelles de l'époque tels que Molière, le musicien Jean-Baptiste Lully ou le décorateur Charles Le Brun ainsi que le jardinier André Le Nôtre ou encore Corneille, Racine et Boileau. - il place l'Académie française sous son contrôle et devient son "protecteur" - construction du château de Versailles. 2. Structure sociale de la société d’Ancien Régime : les trois ordres. La noblesse : ordre qui défend l’Etat

légifèrent ainsi sur la bonne utilisation de la langue. Jean Chapelain et l'abbé d'Aubignac définissent les règles du théâtre classique. Ils diffusent ce goût auprès du public mondain des salons qu'ils fréquentent. Les canons littéraires sont définis aussi dans des ouvrages non théoriques, œuvres littéraires, ou préfaces les justifiant. Il en va ainsi chez les plus grands dramaturges : Molière, Racine et surtout Corneille qui fut mêlé à de nombreuses querelles et fit la somme de ses opinions sur l'écriture

personnages qui s'exprime sur un ton élevé et en vers d'avoir des dénouements funestes Il doit aussi y avoir la règles des trois unités ( unités de temps « pas plus de 24h » unité de lieu « un lieu unique » unité d'action « un sujet principal »), la règle de bienséances (il ne faut pas montrer des spectacles qui peuvent choquer comme la mort ou la violence physique), la règle de la vraisemblance ( le personnage, son discours et ses actes doivent être en accord avec l'époque qui sert de cadre à la pièce)