Racine Respecte Les Règles La Bienséance Et La Vraisemblance

des règles de construction claires et rigoureuses. Il revendique l’usage d’un style simple et naturel. Objectifs : - instruire le lecteur et le spectateur, tout en suscitant son émotion - retrouver le naturel et l’universalité des caractères et des passions - établir et respecter des règles strictes, pour chaque genre littéraire Procédés d’écriture : - utilisation de maximes et de formules générales - emploi de la litote qui préserve la bienséance - le respect de la

Daganzo(Lelection des alcades de Daganzo. {draw:frame} Juan de la Cueva : (1550-1610) Dramaturge sévillan, s'affranchit de l'exemple classique (grec) et institua, dans ses écrits théoriques (Ejemplar poetico, 1609), plus que dans ses pièces, les règles de la comedia : melange du tragique et du comique, abolition des unités de temps et de lieu,variété des mètres. Parmi ses pièces certaines rapportent les légendes et l'histoire de son pays : Los Siete Infantes de lara (Les sepyts Enfants de Lara,

esthétique fondée sur l’idéal de perfection. Les auteurs classés dans ce mouvement, obéissent à différentes règles: - celle de plaire et instruire est la règle d’or du classicisme ; il faut plaire pour pouvoir toucher le public, tout en le purifiant de ses passions. -celle du merveilleux et du sublime: naturel , simplicité -> s'oppose à la préciosité. -celle de la bienséance et de la vraisemblance: on ne doit pas mourrir sur scène. -celle des 3 unités: temps, lieu, action. Les grands genres : l'épopée

1637 avec Le Cid, ce drame occupe tous les esprits parisien de l’époque. Suite à la sortie de cette pièce Corneille se voit affronter la jalousie de ses rivaux, qui lui reproche entre autre de n’avoir pas respecté les règles d’or du théâtre (bienséance, vraisemblance) et de n’avoir pas respecté les trois unités (temps, lieu, action). Ainsi que d’avoir copié des auteurs espagnol tel que Castro ou Guillén. Cette querelle du Cid dura presque trois ans. En 1640, il écrit une nouvelle pièce, un nouveau

449), et l'activité se professionnalise[30]. Malgré le passage de un à deux, puis trois acteurs, l'acteur principal (le protagoniste) domine la pièce, par opposition au « deutéragoniste » et au « tritagoniste » qui doivent rester au second plan. Ces règles nécessitent l'usage d'accessoires tel que le masque, ce dernier couvre le visage et une grande partie de la tête, et comporte des cheveux. Il ménage des ouvertures pour les yeux et la bouche. L'origine rituelle de l'usage de masques n'est pas attestée :

« Je l’ai vu, vous dis-je, de mes yeux vu, ce qui s’appelle vu ». * L’anaphore : répétition du même mot ou groupe de mots au début d’un vers, d’une phrase ou d’un segment de phrase « Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire/Mon bras qu’avec respect toute l’Espagne admire ». * Le parallélisme : reprise d’une même construction dans deux groupes de mots (a-b/a-b) qui souligne correspondances ou oppositions « Rodrigue, qui l’eût cru ?/ Chimène, qui l’eût dit ? » * Le chiasme : parallélisme

d’avis que nous les cherchions » Respect de la bienséance langage courant / absence du niveau de langue familier Respect de la vraisemblance : * Le maître : Il parle plus/Il raisonne (analyse des événements)/Il maltraite l’esclave * L’esclave : Il ne raisonne pas/Il pense aux plaisirs immédiatsl’alcool 2 – Une scène d’exposition marquant l’innovation esthétique de Marivaux Théâtre en prose et non en vers Remise en question de la vraisemblance : Comment Iphicrate reconnaît-il l’île 

légendes. La tragédie classique respecte la règle des trois unités (unité d’action, unité de lieu et unité de temps). Elle doit respecter la vraisemblance et la bienséance. Le dénouement d’une tragédie est généralement tragique (par exemple la mort). Elle est composée de 5 actes. L’action (l’intrigue) est issue de l’histoire ou de la légende ; les personnages sont généralement illustres et sont tourmentés par de fortes passions. La tragédie classique avait ses règles, dont la fameuse règle des

des arts et de la vie intellectuelle, puis la manifestation de cet essor. I-LES FACTEURS DU DEVELOPPEMENT DES ARTS ET DE LA VIE INTELLECTUELLE AU GRAND SIECLE 1-La naissance des salons L’art se définissant comme étant un ensemble de règles intéressant une profession, celui-ci se développe avec la naissance des salons qui sont un lieu de rencontre entre artistes et littéraires. Ce sont des réunions périodiques de « beaux-esprits » qui se tiennent au domicile d’une dame de bonne société

structure fixe (1ère partie = prologue, 2ème parodos = l’entrée du chœur, 3ème =la scène, 4ème exodos= sortie du chœur). 5 actes de la tragédie. Le premier à théoriser le théâtre grec = ARISTOTE. Avec le mimesis = th. Doit mimer la réalité= règle de vraisemblance. Et la catharsis = doit servir pour purger les passions, vider les spectateurs de leur ressenti et frustration. 2ème théorie = personnages dionysiaques VS apolliniens. Dieu Dionysos = dieu du déséquilibre -> méchant. Apollon = de l’équilibre ->