Raconter Un Souvenir Marquant

Titouan Parc--Bernard 2nd 1Rapport de lecture : 1. Présentation de l’auteur et de son époque : L’auteur du « Cri de la mouette » est Emmanuelle Laborit. Emmanuelle Laborit est née le 18 octobre 1971 à Paris. Née  sourde , elle est la petite-fille du  scientifiqueHenri Laborit  ( 1914 - 1995 ) et la fille du psychanalyste et psychiatre Jacques Laborit

ironique, ainsi qu'un style réaliste et nerveux, très travaillé malgré son rythme rapide. Il souffrit de son absence de succès littéraire, et son œuvre ne connut la gloire qu'après sa mort. II nous laisse des autobiographies (La Vie de Henry Brulard, Souvenirs d'égotisme), des récits de voyages, des nouvelles, des critiques littéraires, mais surtout plusieurs romans : Le Rouge et le Noir, La Chartreuse de Parme, Lucien Leuwen. La scène proposée ici est la première rencontre entre le héros, Lucien, et

tous ses amis, passant normalement la soirée seuls aussi. Pendant ce temps, Dieu, l’ultime narrateur, les regarde … Durant ce repas où les souvenirs ravivés s’entremêlent sous le coup du bon vin, la neige commence à tomber, figeant les ardeurs de ceux prêts à partir, ouvrant les chambres d’amis habituellement closes pour une nuit impromptue. Dieu, amusé, raconte entretemps d’un ton vaguement intéressé l’apogée fatale de toutes ces vies réunies dans une maison. Mais comment va-t-on mourir ?

(ils peuvent parler de beaucoup de sujets), la composition dramatique (un effet chut qui provoque un plaisir immédiate), parler de la réalité, dans les contes on peut trouver particulièrement la capacité de montrer un point de vue (la personne qui raconte le conte peut être cruel ou se moquer de quelque chose).INTRODUCTION À L’UNIVERS DE MAUPASSANT (contes et nouvelles)Les contes et la nouvelle sont liés à un plaisir de lire. Le Flavio au Moyen Âge est destiné à la destination publique. On va trouver

dispersées dans ses nouvelles. Son second roman, Bel-ami, paru en 1885, connaît trente-sept tirages en quatre mois. Et si l'on ajoute à la littérature son sens bien normand des affaires, Maupassant dira en riant : « Bel-Ami c'est moi ! ». Des ouvrages marquants par le style, la description, la conception et la pénétration s’échappent de sa plume féconde. Il écrit trois ans plus tard ce que d'aucuns considèrent comme le plus abouti de ses romans, Pierre et Jean, en 1887/1888. Son aversion naturelle pour

témoin, acteur principal ou secondaire, raconte un souvenir présenté comme personnel (Un réveillon – Mon oncle Sosthène – Qui sait ?…). Il peut aussi s’adresser à un auditoire (collectif ou individualisé) et raconter un évènement de sa vie (Conte de Noël - Apparition - La main ...), ce qui justifie l’appellation de conte parfois utilisée par Maupassant, comme pour les récits à la première personne enchâssés dans un récit plus vaste où un personnage raconte au narrateur principal souvent quasi implicite

a-t-il une vertu de l’oubli ? La vertu est une disposition qui porte vers le bien. La vertu se réfère à la morale, à ce qu’elle juge bon et convenable de faire, de penser, de dire. L’oubli est la perte du souvenir du latin oblinere qui signifie effacer et s’oppose à la mémoire qui contient les souvenirs qu’on a gardés. Etant donné que l’homme se construit à partir de ce qu’il vit, de ce qu’il a retenu, de ce qu’il sait, dans ce sens, l’oubli, qu’il soit volontaire ou pas, peut agir aussi sur la construction

littéraires nous amène à réfléchir à son style particulier, la sincérité avec laquelle elle décrit en détail sa vie nous étonne, parce qu’elle dit à notre place les choses que nous n’avouerions jamais et la sécheresse avec laquelle elle parle de ses souvenirs douloureux nous émeut, puisque nous devinons que « cette froideur cache peut-être des larmes »1. Tout cela est mis en œuvre aussi génialement que nous devons admirer ses livres. Pour notre recherche de ses moyens de l’écriture nous avons choisi les

république instauré en 1848, frappé par un degré de proscription, HUGO quitta la France pour Belgique puis s’exila a jersey entre 1852 et 1855 et enfin a GUERNESEY entre 1855 et 1870. Ainsi l’exile et la mort de sa fille LEOPOLDINE furent des événements marquant dans la rédaction de l’œuvre LES CONTEMPLATIONS. 2-BIBLIOGRAPHIE

ROMAIN GARY LA PROMESSE DE L’AUBE Sa mère morte lui manque. Souvenir le plus marquant : quand elle est venue à Salons de Provence où il était sergent instructeur. Il a eu honte d’elle devant les soldats, puis honte de lui et l’a serrée dans ses bras. Il se souvient des dieux ennemis que, tout petit, elle lui a appris à combattre (dieu de la bêtise, de la haine…) : 13 ans, avec sa mère seule, à Nice. Leurs débuts pauvres, quand elle prétendait être végétarienne pour laisser la viande