Rapprochement Entre Quatre Textes

De ces valeurs, certaines de ses valeurs sont historiquement stables par les mots utilisés, mais par définition elles accompagnent les évolutions de la société. Dans cette société, le système scolaire, l’organisation pédagogique sont très différent entre la fin 19ème et maintenant. A l’époque en France, il s’agissait plus d’une transmission de valeur avec organisation spécifique des deux écoles (école du peuple, école de la bourgeoisie comme l’écrit Prost, 1992) avec la rigueur hiérarchique correspondante

l'oeuvre qui s'impose plus encore que l'auteur. Un anonymat relatif de l'oeuvre est révélateur: littérature orale, textes qui se transettrent à l'oral. Il n'est fixé à l'écrit à Athènes au 6ème s pour les Panathénées qui regroupaient l'ensemble des grecs et étrangers. Chaque grande cité a eu une édition de L'Odyssée et L'Iliade. Modifications, au fil des récitations. (voirs textes) La banquet est un lieu de réunion, d'identité qui est conclu par la récitation du poème. Un aède, un chanteur chante

lecteur ou le spectateur. Dans un même texte, on peut trouver plusieurs registres et aucun registre littéraire n’est lié exclusivement à un genre littéraire. Les figures de l’analogie LA COMPARAISON Elle établit un rapprochement entre deux termes (le comparé et le comparant), à partir d’un élément qui leur est commun. Trois éléments sont nécessaires dans l’énoncé: le comparé, l’outil (ou terme) de comparaison et le comparant. Cependant, on peut y ajouter le point commun :

concerné : ce procédé s’appelle une diérèse (du grec di-airesis, « division »). « Sa/ bu/r[e] où/ je/ vo/yais/ des /con/ste/lla/ti /ons » (Hugo) Le procédé inverse, qui consiste à prononcer une seule syllabe, est une synérèse (du grec sun-airesis, « rapprochement »). Blaise Cendrars, traitant avec humour et dérision son métier de poète, marque une synérèse pour ce terme habituellement prononcé sous la forme de deux syllabes, po/ète, qu’il faut alors prononcer poèt – qui évoque l’onomatopée amusante : pouet

: ce procédé s’appelle une diérèse (du grec di-airesis, « division »). « Sa/ bu/r[e] où/ je/ vo/yais/ des /con/ste/lla/ti /ons » (Hugo) Le procédé inverse, qui consiste à prononcer une seule syllabe, est une synérèse (du grec sun-airesis, « rapprochement »). Blaise Cendrars, traitant avec humour et dérision son métier de poète, marque une synérèse pour ce terme habituellement prononcé sous la forme de deux syllabes, po/ète, qu’il faut alors prononcer poèt – qui évoque l’onomatopée amusante : pouet

questions • Avant de commencer à répondre à quelque question que ce soit, lisez les questions au moins deux fois, pour repérer d'éventuels échos entre elles et être mieux guidé par leur cohérence. • Chaque libellé doit être analysé précisément. Le(s) verbe(s) d'action qu'il contient est (sont) déterminant(s) : il y a de grandes différences entre "relever", "analyser", "montrer que", "commenter"... Demandez-vous ce qu'on attend de vous. • Attention aux questions implicites : par exemple, on

perdure-t-il en France ? Des éléments de réponses à cette question peuvent être donnés en utilisant la théorie de la structuration de Giddens. Le point de départ est une légitimation théorique et réglementaire. En même temps, une forme de domination entre les cabinets semble persister. Elle conduit à interroger la signification du dispositif du point de vue même des auditeurs. Mots clés : Co-commissariat aux comptes, théorie de structuration, réglementation. Abstract :

compagnon de Dionysos, mi-homme mi-bouc. Cette hypothèse semble étayée par Aristote qui affirme dans sa Poétique que la tragédie est d’origine satirique et légère[1]. Elle soulève toutefois des difficultés : le satyre n’est jamais appelé « bouc » dans les textes grecs et bien peu de choses semblent relier les tragédies grecques conservées et le genre satirique. Une autre hypothèse a également été formulée : le mot bouc viendrait, non du sujet de la tragédie mais du sacrifice de cet animal avant la représentation

l’art poétique est de parvenir à restituer une émotion. Dans « Les Pas », court poème de quatre quatrains octosyllabiques, le poète évoque l’approche discrète, dans le silence d’une attente vigilante et sensible, d’une personne chère et précieuse. Mais l’objet de cette attente et la nature même de l’émotion ne sont pas précisés et laissent place à plusieurs interprétations possibles. En effet le texte oscille entre un poème sentimental, un hymne presque religieux et une représentation du poète au travail

découverte, signalé la relation d'un conte égyptien, dit Le Conte du naufragé, avec l’épopée homérique, particulièrement avec l’épisode des Phéaciens1. La découverte de l'Epopée de Gilgamesh a suscité, cette fois de la part des sémitologues, d’autres rapprochements. Les hellénistes, pourtant, ont hésité à intégrer les données ainsi proposées dans leurs recherches portant sur ce texte fondateur qu’est pour la littérature occidentale l’Odyssée, texte à la fois si étudié et si mystérieux2. Dans sa thèse intitulée