Rationalité

des processus dynamiques et continus de prises de décisions. CYERT et MARCH ont mis en place la théorie du comportement de l’entreprise qui repose sur 4 principes de base pour la prise de décision : * La quasi-résolution des conflits : - rationalité locale : chaque unité dans l’entreprise doit s’efforcer de résoudre son problème pour elle-même à son niveau, à travers la délégation (de décisions) et la spécialisation dans les buts et les décisions. Cela permet à l’entreprise de passer d’une

FIRME ET MARCHE Chapitre introductif (1) Mots clés Subjectivité Information Rareté Utilité (gain) marginal(e), coût (marginal), coût d’opportunité Rationalité Allocation/coordination Prix Contrats Coûts de transaction Intégration horizontale Intégration verticale Conglomérats Robbins, Hayek, Smith, Coase, Williamson, Simon 2 I- LA DEFINITION DU PROBLEME ECONOMIQUE BESOINS INDIVIDUALISME METHODOLOGIQUE (par opposition au holisme) SUBJECTIVITE ACTION  BUT DE SATISFAIRE BESOINS SUBJECTIFS

fondements de sa théorie sont basés sur la critique de l’école classique en organisation. Selon lui, cette théorie n’est pas complète dans la réalité et présente des limites qui dépendent des Hommes et des environnements. Il a défini les limites de la rationalité humaine ainsi : - Ses capacités (réflexes et dons de chacun) - Ses motivation (valeurs et buts personnel) - La connaissance personnelle de la situation et l’accès à l’information A la suite de cela, il a décrit le processus de décision en

Plan du cours M1 Economie Psychologie des comportements Louis Lévy-Garboua 2009-2010 1. La rationalité limitée La ligne de partage entre économie et en psychologie Les biais cognitifs L’effet d’information non pertinente Le rejet du calcul marginal Les coûts irrécupérables Biais de jugement et heuristiques : le biais de conjonction L’illusion de contrôle Effet de dotation, disparité entre prix d’achat et prix de vente

Disjonctionet spécialisationclose....................................................................................... Réductionet disjonction.................................................................................................... La fausse rationalité.......................................................................................................... 18 19 20 Chapitre III - Enseigner la condition humaine . ... .. .. ... .. .. .. .. ... .. .. .. .. ... . ... ... . .. .. .. .. .. .. ..

plan théorique) et la plus efficace (au plan pratique) de connaissance, en considérant toutes les autres formes traditionnelles de savoir et de savoir-faire comme inférieures et dépassées au regard des possibilités sans cesse renouvelées que la rationalité scientifique offre à l’humanité. Qu’on songe à la médecine ou à la justice, on s’en remet en fin de compte à des « experts » dont l’autorité se fonde sur la maîtrise de démarches rationnelles et hypothético-déductives censées être « scientifiques »

compréhensive car l’objectif est de retrouver et de comprendre ce qui a motivé les individus. Déterminisme et individualisme ne sont pas antagonistes mais complémentaires. WEBER caractérise la société capitaliste comme une société rationnelle. RATIONALITE : c’est la mise en œuvre de la raison par le calcul. Weber cherche à trouver la singularité des sociétés modernes occidentales. L’action est fondée sur le calcul et l’efficacité. Il fait un catalogue d’actions rationnelles des capitalistes ;

force. La possibilité de recourir à la force est caractéristique de la norme de droit, norme obligatoire, qui se distingue en cela de la simple prescription morale. Le droit n’existe que dans l’intention de dépasser la rationalité individuelle en créant l’artifice d’une rationalité collective, sociale : l’Etat, incarnation de la raison, dans la perspective hégélienne. Ainsi, le droit contraint l’individu à un exercice restreint de sa liberté pour établir un système finalement préféré par l’individu

profondeurs de la conscience qui puisse être qualifié d'irrationnel, au sens où l'on y reconnaîtrait une existence à part entière, opposée à celle de la raison. Hegel reconnaît que la rationalité s'accomplit provisoirement, mais l'irrationnel n'existe pas en soi, il n'est qu'une étape de la rationalité elle-même. Ex. Les nombres irrationnels : les pythagoriciens découvrent une grandeur pour laquelle il n'existe pas de nombre: V2. Les limites de la raison se trouvent remises en cause

Identification d'un problème= I Recherche des solutions et évaluation des solutions= M Sélection de la solution et mise en oeuvre de la solution = C Evaluation de l'efficacité de la décision Herbert Simon a mis aussi en évidence la rationalité limité du décideur. Le dernier ne prend pas la meilleur décision c'est à dire la décison optimale parce qu'il ne peut pas intégrer toutes les données du problèmes ou imaginé toutes les solutions possibles, il s'arrêtera donc à une solution qui lui