Rationalité Du Consommateur

distributeurs (Vente direct ,vente par intermédiaire à des réseaux,la vente sélective a travers des agents commerciaux ou concessionnaires exclusives), les clients,les assureurs,l’Etat car il va validé les normes de ventes,les associations de consommateurs(ex :UFC),les médias. Premier vecteur d’organisation :les entreprises américaines ont un département spécifique projet ou fusions qui permet aux opérationnelles de gérer l’activité économique quotidienne (Daily Business). Deuxième vecteurs des

Le marketing (parfois traduit mercatique en français1) est une discipline du management qui cherche à déterminer les offres de biens, de services ou d'idées en fonction des attitudes et de la motivation des consommateurs, du public ou de la société en général. Il favorise leur commercialisation (ou leur diffusion pour des activités non lucratives). Il comporte un ensemble de méthodes et de moyens dont dispose une organisation pour s'adapter aux publics auxquels elle s'intéresse, leur offrir des satisfactions

sociales) Il va être soit consommé (Dépenses de consommation finale = DCF) soit épargné (épargne brut = EB). Il y a deux approches de la consommation : Approche micro économique. On suppose que la consommation est un acte individuel et que le consommateur est rationnel. Il va faire un choix de consommation en fonction du prix  théorie néo classique. L’Etat ne peut pas changer ce choix (car il est individuel). Approche macro économique. L’Etat peut influencer le niveau de consommation parce que

conception de l'homme où le consommateur est raisonnable et conscient. Le message parle donc au bon sens du client, il y un besoin à satisfaire. Il faut un premier lieu attirer l'attention, puis susciter de l'intérêt, ensuite provoquer le désir, et enfin déclencher l'achat. Ces étapes ne sont qu'un modèle puisque il se peut que des facteurs changent la rationalité des achats du consommateur (émotion, pression...) La publicité mécaniste Dans ce cas, le consommateur est perçu comme passif. Il ne

de ce que j’ai choisi de faire. Ces coûts implicites sont des coûts d’opportunité. C’est en effet le fait de ne pas avoir pu exploiter d’autres choix au profit d’un choix, le sacrifice d’un besoin au profit d’un autre. La rationalité de l’action : La rationalité de l’action est une action qui vise à utiliser ses ressources rares dans le but d’une action précise. Toutes les actions que l’on réalise sont rationnelles car on y est poussé sans forcément s’en rendre compte. Nous cherchons tous

demande, comme le montre l’équilibre emplois/ressources, provient : * soit des consommateurs nationaux (via la consommation finale) * soit des consommateurs internationaux (via les échanges extérieurs) * soit des entreprises à des fins d’investissement (via la FBCF) * Les facteurs d’ordre psychologique * la confiance des agents économiques, qui les pousse à consommer * le développement de la rationalité * le développement de l’esprit d’entreprise via le goût du risque et l’apparition

( utilité de la dernière unité consommé). C’est fait que utilité en fonction de la consommation décroit et donc l’objet perd de sa valeur. Lois d’egalisation des utilités marginales pondéré par les prix qui préside comportement d’achat du consommateur. La valeur des biens provient de cette egalisation et non pas de la production. .......................... Mais limite a cette analyse car elle explique seulement variations de cette valeur dans les rapports d’echange mais pas provenance de valeur

L’entreprise ne peut plus se concevoir comme un lieu fermé sur lui-même, ayant sa propre rationalité en dehors des questions de société. Si cette prise de conscience remonte déjà à quelques années, les « manifestations » de cette ouverture se sont d’abord cantonnées à la communication externe de l’entreprise. Responsabilité sociale, politiques affichées d’apprentissage, accords sur la diversité, embauche de seniors ou lutte contre les discriminations, autant de déclarations d’intentions qui résistent

Choix Rmq : il est nécessaire de pouvoir contrôler cette prise de décision  4ème étape : phase de Contrôle 2/ La prise de décision de l’entrepreneur L’entrepreneur retient souvent l’intuition. goût du risque, décisions originales, peu de rationalité, prend seul la décision  Risque : lorsque l’E se développe, des difficultés émergent faut de délégation de pouvoir. 3/ La prise de décision du manager Le manager a la responsabilité des décisions qu’il prend  responsabilité juridique  utilise

et capitalisme méritent un examen critique. La première est une épure du mécanisme présidant à la régulation des relations établies entre une multitude d’agents poursuivant chacun ses objectifs individuels, qu’ils soient producteurs de biens ou consommateurs, épargnants ou investisseurs, employeurs ou travailleurs. Le capitalisme constitue un système économique, c’est-à-dire l’ensemble (cohérent) des structures économiques, juridiques, institutionnelles et sociales qui organisent les rapports que les