Rationalité Du Producteur

individualisme méthodologique. Ainsi, qualifié d' « Homo Economicus », le consommateur cherche à maximiser son utilité en fonction de ses ressources. Par conséquent, l'agent économique opère des choix cohérents quand il réalise des transactions. La rationalité du consommateur permet une classification de ses préférences et de respecter une cohérence dans ses choix, hormis naturellement, si des conditions exogènes surviendraient. De surcroît, le consommateur égalise son coût marginal croissant et son utilité

L’Etat peut fixer un prix planché ( ex : le SMIC ), en dessous lequel on ne peut pas descendre. Dans ce cas, il y a de la surproduction sur le marché du travail, cela s’appel le « chômage » . Les prix indiqués par le marché incitent les producteurs à augm leurs activités vers les produits dont le prix augm et dont la demande est forte. Si l’état fixe un prix plafond, on observe une situation de pénurie ou de rationnement ( D˃OF ). Si le marché est en équilibre, il n’y a donc ni surproduction

recherche purement logique, un concept limite auquel on mesure la réalité, avec lequel on la compare. Ainsi en économie, le modèle de CPP est un idéaltype qui permet de rendre compte la logique de fonctionnement de la concurrence, des comportements des producteurs…mais ce n’est pas la réalité ; en sociologie, « capitalisme » et « bureaucratie » sont des idéaux types qui rendent compte à la fois des logiques de fonctionnement des systèmes et des comportements des individus. d) Problématique : qu’est-ce qui

Economie Devoir vendredi 8H 30 9h45 question de réflexion et d’analyse, de cour chapitre 4 CHAPITRE 6 Microéconomie du producteur 1.1 Les rendements et le choix de la combinaison productive optimal On ne peut améliorer indéfiniment la productivité et le rendement. On finit par atteindre une limite technique ou économique. Dans le cas des logiciel on le peut car il y a un cout fixe élevé qui diminue avec la quantité produite. La loi des rendements décroissant s’applique a la courte

Varona Yohan Nouvelles théories économiques Marc Montoussé 2002 Bréal Chapitre I : Un renouveau de la macroéconomie ? 1 La microéconomie traditionnelle : rationalité des agents économiques et équilibre économique a)Les postulats de la microéconomie traditionnelle b)Les critiques traditionnelles de la microéconomie néoclassique §une critique mineure, mais décisive : la critique des rendements décroissants

désinflationniste : * Prix et revenus ont baissé de moitié * Augmentation du pouvoir d’achat C’est donc un cercle vicieux. Cause de l’inflation : * Inflation par la demande : excès de la demande sur l’offre du produit ou d’un service. Les producteurs augmentent leurs prix car ils ne peuvent ou veulent pas augmenter immédiatement leur production. * Inflation par les couts : Répercutions au niveau des prix sur la hausse des couts de production. Si le salaire augmente plus vite que la productivité

Section 2 : Les keynésiens Section 3 : Les post keynésiens Section 4 : Les monétaristes Section 5 : Les « supplie spiders » Conclusions Section 1: Les néoclassiques La demarche neoclassique Les hypotheses de depart Les consommateurs Les producteurs L'équilibre economies Le role de d’état Difficultés avec la théorie néo-classique 1) la démarche néoclassique Continuité des méthodes entre le 19e et aujourd'hui. Principes de base : -Individualisme méthodologique -Marginalisme -Equilibre

* La micro-économie repose sur l’étude des comportements individuels des agents économiques : * Producteur * * * Contrairement à la macro économie qui repose sur l’étude des agrégats économiques * I. L’approche micro-économique traditionnelle A. De la main invisible au tâtonnement Walrassien (= Léon * * Micro = * * La micro-économie repose sur le concept de main invisible développé par A * C’est cette main invisible qui gouverne l’économie

(maximisation du profit, rationalité parfaite, CPP, contraintes de prix et de technologie) Ø Les réponses aux critiques adressées à la théorie néoclassique (le « as if » de Friedman et le « pantin abstrait » de Machlup) 4 Chapitre 1: LA FIRME NEO-CLASSIQUE ET SES LIMITES 2. La remise en cause de l’approche néo-classique Ø La question de l’entrepreneur (Schumpeter) Ø La remise en cause du seul objectif de maximisation du profit (Berle et Means, Baumol) Ø L’hypothèse de rationalité limitée (Simon) Ø

consommateurs (ménages, mais pas seulement), les producteurs, l’Etat La spécificité et la force de la démarche en micro repose sur le postulat de rationalité des agents économiques. T. Weitzenblum La rationalité économique (I) Un agent rationnel : a des préférences, i.e. une façon de comparer les différentes situations dans lesquels se trouver, en a conscience, et cherche à maximiser sa satisfaction. T. Weitzenblum La rationalité économique (II) Est-ce aller trop loin que d’avancer