Réalité

3 DIMENSIONS ORDRE SYMBOLIQUE R M S REALITE F IMAGINAIRE CHERCHER LA COHERENCE ENTRE LES TROIS DIMENSIONS P. Stern – Interconsultants 1 2003 CERCLES DE LACAN Le réel et la réalité Le réel : ce que j'envisage comme probable. La réalité : ce qui arrive vraiment. La réalité gênante -> peur, angoisse de la réalité, se masquer la réalité. Prendre le réel pour la réalité. La réalité : on ne peut pas se mentir. La réalité oblige à changer, à bouger, à évoluer. (Exemple :

destructive. Car si l’action qui naît du Désir détruit, pour le satisfaire, une réalité objective, elle crée à sa place, dans et par cette destruction même, une réalité subjective. L’être qui mange, par exemple, crée et maintient sa propre réalité par la suppression de la réalité autre que la sienne, par la transformation d’une réalité autre en réalité sienne, par l’ « assimilation », l’ « intériorisation » d’une réalité « étrangère », « extérieure ». D’une manière générale, le Moi du Désir est un

l’évidence : l’apparente réalité de notre rêve a rejoint la virtualité de notre mémoire. On confond donc la réalité avec notre rêve. La réalité se définit par le caractère de qui existe effectivement, de ce qui existe en fait. Problématique : Quel lien peut-on établir entre le rêve et la réalité ? I - Comment distinguer le rêve de la réalité ? 1) Le rêve expliqué par des individus et communautés 2) Le rêve et l’état de veille 3) Une illusion par rapport à la réalité II – L’influence des rêves

1 : Bergson donne comme définition de l'artiste celle d'une personne qui saisit mieux que les autres hommes la réalité authentique des choses car il les voit telles qu’elles sont , c'est à dire sans ce voile , ces conventions interposées entre l'objet et l'Homme lorsqu'il regarde ces objets . Pour lui une personne qui est capable de dépasser ces conventions et de voir la réalité elle-même est un artiste ! Il l'établit par un processus bien précis . Il semble d'abord mettre en évidence

n’est pas étrangère à la diffusion de la confusion de la vérité et de la réalité. En effet, Platon pense la vérité comme indépendante de la pensée et du discours. Il y a selon lui une réalité vraie qui ne s’oppose pas tant à une « réalité fausse » qu’à une réalité dégradée et aux apparences qui la constituent. Le monde sensible, auquel nous sommes attachés en raison de notre corporéité, est un monde ayant un faible degré de réalité en ce sens qu’il est peuplé de copies des Idées intelligibles. Or ce

à la réalité. Il reconnaît ainsi la prétention du roman qu'il place sous éloge en évoquant la dignité; le roman, selon lui, « cherche », c'est-à-dire à pour but de « peindre la vie ». Autrement dit, il a pour finalité d'imiter la réalité. C'est la mimésis. Cependant il va donner raison à « ceux qui en parlent avec dédain », pour ne pas dire les détraqueurs qui méprisent le genre romanesque, et affirme que le roman échoue dans son objectif car il « falsifie » la réalité, il ment sur la réalité, faisant

un exemple pour... n'arrive pas forcément à nos buts. On peut être tenté de se mentir pour mieux accepter nos échecs. -on peut être trôp exigeant avec soi et se mentir car on ne voit pas la réalité telle qu'elle est. Comme les filles minces qui veulent maigrir sans cesse. -on peut se mentir, si une réalité est trôp dure... Dissertation philo : Peut-on se mentir à soi-même ? Mentir, c’est induire en erreur en donnant une fausse représentation de ce qui est. Lorsqu'autrui me ment, il sait et me

sujet vaste de la « vérité ». Il se pose la question sur ce qu'est un jugement vrai, son essence. Plus précisément, à travers ce texte il se pose la question de la concordance avec la réalité : est ce que le jugement vrai copie la réalité ? L'auteur soutient que la plupart de nos affirmations ne copient pas la réalité. Pour cela, il effectue dans un premier temps un raisonnement, puis illustre celui ci par un exemple avant de conclure. Nous verrons successivement ces différentes parties. Tout

souvent tentés de prétendre que la réalité est changeante, provisoire et particulière de sorte que la vérité est relative à chacun de nous, relative à chaque observateur. Tel est le point de vue notamment des sophistes dans l’Antiquité qui, comme Protagoras, soutiennent que « l’homme est la mesure de toutes choses ». Ils entendent par cette formule que la réalité dépend de l’appréhension que chaque individu en a. Le présupposé de ce jugement est que la réalité est essentiellement sensible, objet

Puisque le mot « réalité » comporte une ambiguïté, alors préférons lui un autre mot, la Vie. Dis autrement : Selon Proust, l’art n’est pas là pour nous détourner de la vie, mais au contraire, pour nous y ramener par le biais de la sensibilité. Proust dit d'ailleurs dans Le temps retrouvé: «la vraie vie, c’est la littérature». Proust ne signifie cependant pas, comme on pourrait le penser, qu’il faille fuir notre propre vie pour nous réfugier dans un autre monde abstrait et irréel qui serrait celui